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  • Auteurs: Knud Meister
  • Auteurs: Marah Woolf
  • Auteurs: Maurice Bernard

N° 3.514 - Yann, détective (Knud Meister, Carlo Andersen)

4,94 €
Pour fêter le 75e anniversaire de la fondation de son usine, Monsieur Schmidt, le directeur, décide de faire préparer des gratifications exceptionnelles qui seront remises le lendemain à chacun des membres du personnel. Or, vers 10 h du soir, le caissier et son assistant sont attaqués par trois hommes armés alors qu'ils sont en train de faire la répartition et les enveloppes disparaissent… Tous les indices semblent désigner le caissier Henry Holm comme coupable. Il est donc emprisonné, bien qu'il ne cesse de proclamer bien haut son innocence. C'est alors qu'intervient Yann, le fils du commissaire Helmer. Intrigué par un étrange coup de téléphone et par l'attitude suspecte d'un employé qui brûle des documents, il entreprend sa propre enquête… Ce premier roman d'une passionnante série policière rendra célèbre le sympathique Yann.

Les brumes d'Avallach (Marah Woolf)

7,48 €
Après le décès de sa mère, Emma, dix-sept ans, quitte les États-Unis pour rejoindre la seule famille qui lui reste sur la petite île de Skye en Écosse. Là-bas, elle rencontre Calum, un étrange jeune homme. Tour à tour prévenant et glacial, il semble cacher un secret inavouable. Ce que l’adolescente ignore, c’est qu’en se rapprochant de lui elle les met tous les deux en danger de mort. Emma découvrira que les légendes des brumeux Highlands sont plus réelles et dangereuses qu’elle ne l’aurait imaginé. Et qu’avec Calum ils sont peut-être le dernier espoir de deux mondes que tout oppose.

N° 230 - Le passé est mort (Maurice Bernard) - Yvonne DE CARLO en couverture

3,50 €
Le passé est mort Roman d'amour inédit par Maurice Bernard Extrait : — Une transfusion est nécessaire immédiatement, dit le professeur Malret, après qu'il eût examiné le blessé qui venait d'être transporté dans sa clinique. Celui-ci avait été trouvé chez lui, baignant dans une mare de sang, le poignet gauche portant la marque d'une entaille profonde par où s'était échappé la vie. Un coup de téléphone avait prévenu le service intéressé de la clinique de l'urgence du transport. Dans le portefeuille du jeune homme on avait trouvé ses papiers d'identité. Il s'appelait Jean Berty, 25 ans, demeurant rue Mercelis, pas très loin de la clinique. Sa carte portait comme profession : peintre. C'est tout ce qu'on savait de lui. Il était là, livide, sur la civière roulante. Aucun signe de vie ne se manifestait en lui. On l'aurait cru mort si les faibles pulsations qui se révélaient encore au pouls n'avaient prouvé le contraire…
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