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  • Auteurs: Denis Bajram
  • Auteurs: Léopold Remon

Cryozone T1 : Sueurs froides (Thierry Cailleteau, Denis Bajram)

8,50 €
A bord de l'U.N.S.S. Neil Alden Armstrong, premier vaisseau terrien lancé pour colonier une planète étrangère, 9600 hommes et femmes reposent en stase cryogénique afin de supporter les 20 années du voyage, tandis qu'une équipe de 400 permanents veille sur eux et sur la navigation. Mais une explosition à bord bouleverse la routine du voyage en endommageant les systèmes d'animation suspendue. Afin de préserver la vie des colons, l'équipage se voit contraint de les réveiller d'urgence, sans respecter les procédures de sécurité. En reprenant conscience, ceux-ci ont faim… Faim de chair humaine !

Cryozone T2 : Syndrôme Z (Thierry Cailleteau, Denis Bajram)

9,95 €
A bord de l'U.N.S.S. Neil Alden Armstrong, premier vaisseau terrien lancé pour colonier une planète étrangère, 9600 hommes et femmes reposent en stase cryogénique afin de supporter les 20 années du voyage, tandis qu'une équipe de 400 permanents veille sur eux et sur la navigation. Mais une explosition à bord bouleverse la routine du voyage en endommageant les systèmes d'animation suspendue. Afin de préserver la vie des colons, l'équipage se voit contraint de les réveiller d'urgence, sans respecter les procédures de sécurité. En reprenant conscience, ceux-ci ont faim… Faim de chair humaine !

Universal War One T1: La genèse (Denis Bajram)

8,00 €
Entre Saturne et Jupiter, au coeur des jeunes Etats les plus prospères de la Fédération des Terres Unies, la troisième flotte de L'United Earthes Force veillait inlassablement sur la périphérie du système solaire. Elle assurait par son gigantisme un incroyable sentiment de sécurité à ses habitants. Mais LE MUR est apparu. Si grand, si sombre. Insondable. Ici commence la Première Guerre Universelle

N° 1696 - Sa vraie maman ! (Léopold Remon)

2,92 €
Extrait : C'était une pauvre demeure que celle où la vieille Marie Méry se mourait. Une grande pièce au sol dallé, une alcôve et un petit réduit où l'on gardait quelques provisions, composaient le modeste intérieur. Des bouquets d'oignons suspendus décoraient les poutres. La vaste cheminée, quelques misérables meubles ornaient la pièce principale qui s'ouvrait de plain-pied sur le jardinet. Parfois, deux ou trois poules effrontées s'aventuraient jusqu'à la paillasse où dormait Pierrette. C'était toute la basse-cour de Marie Méry qui nourrissait ces volatiles de quelques miettes, et leur laissait le soin de dénicher dans les champs d'alentour le plus clair de leur subsistance. Pauvre, Marie Méry l'était, mais à la façon indifférente des vieilles paysannes qui savent côtoyer la misère sans tomber dans le sordide. Elle ne possédait aucun bien, n'avait ni bétail, ni terre. Et la maison ne lui appartenait qu'en vertu de son abandon dont elle avait su profiter depuis si longtemps…

N° 1714 - Personne au monde... (Léopold Rémon)

3,74 €
Extrait : Quand Charles Bocham pénétra dans son bureau, le scribe indigène était déjà au travail. Le jeune homme bourra sa pipe, déplaça quelques dossiers, prit un roman policier. C'était vraiment un emploi de tout repos. L'employé maori se chargeait des paperasses et s'en tirait fort bien tout seul. Pourtant, le règlement prévoyait que le titulaire du poste devait être licencié en droit. Voilà pourquoi, depuis trois ans, Charles Bocham avait quitté la France. Trois ans ! Il avait débarqué à Tahiti comme Alice au pays des merveilles. C'était presque trop beau, trop colorié. L'air était trop doux, les parfums trop sucrés, la mer et le ciel trop bleus. Mais avec le temps, les couleurs s'étaient ternies, les parfums fanés. Aujourd'hui, Charles Bocham crevait d'ennui. Même la prochaine venue de sa fiancée ne parvenait pas à le tirer de sa lassitude. Le bateau, actuellement, devait franchir le canal de Panama. Il lui faudrait dix-huit jours avant de pénétrer dans la rade de Papeete. Ce délai parût soudain formidablement long à Charles Bocham, plus long que les trois années pendant lesquelles il avait attendu, tout d'abord, sa titularisation, constitué ensuite un petit pécule pour monter son ménage. A présent que le but était en vue, il se rendait compte qu'il n'en pouvait plus, que sa chair et son âme se refusaient à prolonger l'épreuve…
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