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  • Auteurs: Ginna Gray
  • Auteurs: Léopold Remon

Le voile du secret (Ginna Gray)

5,50 €
Maggie Malone possède tout ce que la vie peut offrir. Elle est jeune, belle, intelligente, adulée. Son image s'étale à la Une des magazines du monde entier. Mais la flamboyante top model est aussi une femme blessée. Son père ne lui a-t-il pas toujours refusé l'amour qu'il a donné sans compter à sa mère et ses soeurs ? Aujourd'hui, après sept ans d'exil, Maggie ne désire plus qu'une chose : faire enfin la paix avec elle-même en renouant avec cet homme inflexible, dont elle apprend qu'il est gravement malade. Mais les haines du passé sont plus vivaces que jamais. Et sa famille la rejette une nouvelle fois. Plus rien, désormais, ne saurait retenir Maggie auprès des siens. Rien, sauf le besoin vital de comprendre l'origine du mal. En pleine tempête, Maggie reprend les rênes de l'entreprise familiale, poussée à la faillite par un mystérieux saboteur. Et pour son père mourant comme pour elle, ce sera la dernière chance de lever enfin le voile du secret.

N° 907 - Passion rebelle (Ginna Gray)

2,25 €
Willa est sur le point de réaliser le rêve de sa vie : les terres du domaines de Rocking R, auxquelles elle est passionnément attachée et qu’elle exploite seule depuis longtemps, ces terres vont enfin devenir les siennes car elles lui reviennent en héritage. Qui d’autre qu’elle les mériterait ? Au moment où le testament de son beau-père adoptif est ouvert, la réponse tombe, terrible pour elle : Willa va devoir partager Rocking R.… Avec Zach Mahoney, petit-fils de son beau-père. Pire encore : elle ne conservera sa part que si elle accepte de cohabiter avec cet homme. Partager ! Pourquoi devrait-elle partager avec ce Mahoney qu’elle n’a jamais vu, qui ne s’est même jamais intéressé à ces terres ? Willa se sent flouée et trahie. Mais elle n’est pas du genre à s’incliner. Surtout quand il s’agit de Rocking R…

N° 1696 - Sa vraie maman ! (Léopold Remon)

2,92 €
Extrait : C'était une pauvre demeure que celle où la vieille Marie Méry se mourait. Une grande pièce au sol dallé, une alcôve et un petit réduit où l'on gardait quelques provisions, composaient le modeste intérieur. Des bouquets d'oignons suspendus décoraient les poutres. La vaste cheminée, quelques misérables meubles ornaient la pièce principale qui s'ouvrait de plain-pied sur le jardinet. Parfois, deux ou trois poules effrontées s'aventuraient jusqu'à la paillasse où dormait Pierrette. C'était toute la basse-cour de Marie Méry qui nourrissait ces volatiles de quelques miettes, et leur laissait le soin de dénicher dans les champs d'alentour le plus clair de leur subsistance. Pauvre, Marie Méry l'était, mais à la façon indifférente des vieilles paysannes qui savent côtoyer la misère sans tomber dans le sordide. Elle ne possédait aucun bien, n'avait ni bétail, ni terre. Et la maison ne lui appartenait qu'en vertu de son abandon dont elle avait su profiter depuis si longtemps…

N° 1714 - Personne au monde... (Léopold Rémon)

3,74 €
Extrait : Quand Charles Bocham pénétra dans son bureau, le scribe indigène était déjà au travail. Le jeune homme bourra sa pipe, déplaça quelques dossiers, prit un roman policier. C'était vraiment un emploi de tout repos. L'employé maori se chargeait des paperasses et s'en tirait fort bien tout seul. Pourtant, le règlement prévoyait que le titulaire du poste devait être licencié en droit. Voilà pourquoi, depuis trois ans, Charles Bocham avait quitté la France. Trois ans ! Il avait débarqué à Tahiti comme Alice au pays des merveilles. C'était presque trop beau, trop colorié. L'air était trop doux, les parfums trop sucrés, la mer et le ciel trop bleus. Mais avec le temps, les couleurs s'étaient ternies, les parfums fanés. Aujourd'hui, Charles Bocham crevait d'ennui. Même la prochaine venue de sa fiancée ne parvenait pas à le tirer de sa lassitude. Le bateau, actuellement, devait franchir le canal de Panama. Il lui faudrait dix-huit jours avant de pénétrer dans la rade de Papeete. Ce délai parût soudain formidablement long à Charles Bocham, plus long que les trois années pendant lesquelles il avait attendu, tout d'abord, sa titularisation, constitué ensuite un petit pécule pour monter son ménage. A présent que le but était en vue, il se rendait compte qu'il n'en pouvait plus, que sa chair et son âme se refusaient à prolonger l'épreuve…
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