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  • Auteurs: Léopold Remon
  • Auteurs: Olivia Gates
Le serment de Black Castle : Le prix de la revanche & L'épouse d'Ivan Konstantinov  - Harlequin Passions N° 688
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N° 688 - Le serment de Black Castle : Le prix de la revanche & L'épouse d'Ivan Konstantinov (Olivia Gates)

3,75 €
Le serment de Black Castle Volumes 5 et 6/6 Leur enfance brisée a fait d'eux six milliardaires impitoyables, assoiffés de vengeance… mais aussi de passion. Le prix de la revanche (Olivia Gates) Séduire l’intrépide Liliana Accardi est vraiment la pire idée qu’il ait jamais eue ! Le plan d’Antonio était pourtant simple : pour pouvoir approcher ses parents biologiques – qui l’ont abandonné alors qu’il n’avait que quatre ans – et se venger d’eux, il devait attirer dans son lit la belle Liliana, et s’introduire ensuite dans le clan aristocratique qu’elle et ses parents fréquentent… Ce qu’Antonio n’avait pas prévu, en revanche, c’est que Liliana devienne l’unique objet de ses pensées. Car, maintenant qu’il l’aime plus que de raison, que se passera-t-il si elle découvre qu’il s’est servi d’elle ? L'épouse d'Ivan Konstantinov (Olivia Gates) Anastasia, mon ange, marions-nous sans attendre. Puis retournons en Russie. À l’instant où Ivan – le traître qui l’a lâchement abandonnée sept ans plus tôt alors qu’ils vivaient une merveilleuse idylle – prononce ces mots, Anastasia sent une colère sourde monter en elle. Comment Ivan ose-t-il faire comme s’il ne s’était rien passé ? Et lui infliger une telle souffrance, à elle, qui n’a jamais pu l’oublier ? Du temps a passé, pourtant, et cette fois Anastasia est plus résolue que jamais : elle ne laissera pas son cœur lui dicter sa loi…

N° 1696 - Sa vraie maman ! (Léopold Remon)

2,92 €
Extrait : C'était une pauvre demeure que celle où la vieille Marie Méry se mourait. Une grande pièce au sol dallé, une alcôve et un petit réduit où l'on gardait quelques provisions, composaient le modeste intérieur. Des bouquets d'oignons suspendus décoraient les poutres. La vaste cheminée, quelques misérables meubles ornaient la pièce principale qui s'ouvrait de plain-pied sur le jardinet. Parfois, deux ou trois poules effrontées s'aventuraient jusqu'à la paillasse où dormait Pierrette. C'était toute la basse-cour de Marie Méry qui nourrissait ces volatiles de quelques miettes, et leur laissait le soin de dénicher dans les champs d'alentour le plus clair de leur subsistance. Pauvre, Marie Méry l'était, mais à la façon indifférente des vieilles paysannes qui savent côtoyer la misère sans tomber dans le sordide. Elle ne possédait aucun bien, n'avait ni bétail, ni terre. Et la maison ne lui appartenait qu'en vertu de son abandon dont elle avait su profiter depuis si longtemps…

N° 1714 - Personne au monde... (Léopold Rémon)

3,74 €
Extrait : Quand Charles Bocham pénétra dans son bureau, le scribe indigène était déjà au travail. Le jeune homme bourra sa pipe, déplaça quelques dossiers, prit un roman policier. C'était vraiment un emploi de tout repos. L'employé maori se chargeait des paperasses et s'en tirait fort bien tout seul. Pourtant, le règlement prévoyait que le titulaire du poste devait être licencié en droit. Voilà pourquoi, depuis trois ans, Charles Bocham avait quitté la France. Trois ans ! Il avait débarqué à Tahiti comme Alice au pays des merveilles. C'était presque trop beau, trop colorié. L'air était trop doux, les parfums trop sucrés, la mer et le ciel trop bleus. Mais avec le temps, les couleurs s'étaient ternies, les parfums fanés. Aujourd'hui, Charles Bocham crevait d'ennui. Même la prochaine venue de sa fiancée ne parvenait pas à le tirer de sa lassitude. Le bateau, actuellement, devait franchir le canal de Panama. Il lui faudrait dix-huit jours avant de pénétrer dans la rade de Papeete. Ce délai parût soudain formidablement long à Charles Bocham, plus long que les trois années pendant lesquelles il avait attendu, tout d'abord, sa titularisation, constitué ensuite un petit pécule pour monter son ménage. A présent que le but était en vue, il se rendait compte qu'il n'en pouvait plus, que sa chair et son âme se refusaient à prolonger l'épreuve…
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