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Il y a 4 produits.

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  • Auteurs: Lisa Renee Jones
  • Auteurs: Léopold Remon
  • Auteurs: Rowan Kirby

N° 147 - Timide soprano (Rowan Kirby)

2,54 €
Quelques accords, un de ces changements de clé brusques dont Haendel avait le secret, un silence, et ce fut à elle… Vanessa eut le sentiment que sa voix grinçait horriblement. Comment avait-elle eu l'audace d'affirmer à ce musicien de talent qu'elle savait chanter et qu'elle était soprano ?

N° 457 - Passion à fleur de peau (Lisa Renee Jones) - Des souvenirs très sexy… (Leslie Kelly)

3,65 €
Passion à fleur de peau (Lisa Renee Jones) Travailler avec Blake Nelson, l’homme qui a failli ruiner sa carrière de présentatrice en diffusant les images volées de leur première rencontre ? Pour Darla, c’est tout simplement inenvisageable. Bien sûr, participer à l’émission à succès « Pas de deux » serait une chance incroyable pour sa carrière – et le seul moyen d’aider financièrement ses parents qui en ont tant besoin ‒, mais peut-elle faire confiance à cet homme qui l’a déjà trahie une fois ? Pire, peut-elle se faire confiance alors qu’il lui suffit de croiser le regard brûlant de Blake Nelson, d’imaginer la douceur de sa peau sous son T-shirt, pour savoir qu’il peut à tout moment lui faire de nouveau perdre la raison… Des souvenirs très sexy… (Leslie Kelly) A peine Candace a-t-elle posé les yeux sur Oliver McKean, l’homme engagé par son grand-père pour veiller sur le domaine familial, qu’elle sent la brûlure du désir sur sa peau. Bien sûr, elle n’oublie pas qu’elle a accepté, pour aider son meilleur ami, de faire avec ce dernier un mariage de convenance. Et, par conséquent, de se conduire en épouse respectable et fidèle. Mais, pourquoi ne pas profiter, en secret, de ses derniers jours de liberté pour faire le plein de souvenirs très sexy ? Avec son regard de braise, sa silhouette athlétique et son sourire à se damner, Oliver McKean ferait un dernier amant parfait. Et, puisqu’ils ont si peu de temps, Candace compte bien profiter – pleinement – de tout ce qu’Oliver McKean a à offrir…

N° 1696 - Sa vraie maman ! (Léopold Remon)

2,92 €
Extrait : C'était une pauvre demeure que celle où la vieille Marie Méry se mourait. Une grande pièce au sol dallé, une alcôve et un petit réduit où l'on gardait quelques provisions, composaient le modeste intérieur. Des bouquets d'oignons suspendus décoraient les poutres. La vaste cheminée, quelques misérables meubles ornaient la pièce principale qui s'ouvrait de plain-pied sur le jardinet. Parfois, deux ou trois poules effrontées s'aventuraient jusqu'à la paillasse où dormait Pierrette. C'était toute la basse-cour de Marie Méry qui nourrissait ces volatiles de quelques miettes, et leur laissait le soin de dénicher dans les champs d'alentour le plus clair de leur subsistance. Pauvre, Marie Méry l'était, mais à la façon indifférente des vieilles paysannes qui savent côtoyer la misère sans tomber dans le sordide. Elle ne possédait aucun bien, n'avait ni bétail, ni terre. Et la maison ne lui appartenait qu'en vertu de son abandon dont elle avait su profiter depuis si longtemps…

N° 1714 - Personne au monde... (Léopold Rémon)

3,74 €
Extrait : Quand Charles Bocham pénétra dans son bureau, le scribe indigène était déjà au travail. Le jeune homme bourra sa pipe, déplaça quelques dossiers, prit un roman policier. C'était vraiment un emploi de tout repos. L'employé maori se chargeait des paperasses et s'en tirait fort bien tout seul. Pourtant, le règlement prévoyait que le titulaire du poste devait être licencié en droit. Voilà pourquoi, depuis trois ans, Charles Bocham avait quitté la France. Trois ans ! Il avait débarqué à Tahiti comme Alice au pays des merveilles. C'était presque trop beau, trop colorié. L'air était trop doux, les parfums trop sucrés, la mer et le ciel trop bleus. Mais avec le temps, les couleurs s'étaient ternies, les parfums fanés. Aujourd'hui, Charles Bocham crevait d'ennui. Même la prochaine venue de sa fiancée ne parvenait pas à le tirer de sa lassitude. Le bateau, actuellement, devait franchir le canal de Panama. Il lui faudrait dix-huit jours avant de pénétrer dans la rade de Papeete. Ce délai parût soudain formidablement long à Charles Bocham, plus long que les trois années pendant lesquelles il avait attendu, tout d'abord, sa titularisation, constitué ensuite un petit pécule pour monter son ménage. A présent que le but était en vue, il se rendait compte qu'il n'en pouvait plus, que sa chair et son âme se refusaient à prolonger l'épreuve…
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