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  • Auteurs: Lass Small
  • Auteurs: Philippe Jean
  • Auteurs: Pierre Nivert

N° 163 - Spectres (Pierre Nivert)

2,74 €
Et si c'était vrai ? Le surnaturel ? Sandra Dorsen n'y croit pas. Les esprits, les gris-gris, tout cela la laisse de marbre. Célibataire battante et positive, elle voit dans les superstitions le signe d'une émotivité ridicule… Mais du diable si elle comprend quelque chose à ce qui lui arrive depuis qu'elle est entrée dans ce château jailli du néant au beau milieu de la forêt normande. Les étranges phénomènes bleus, les visages fantomatiques apparus dans son champ de vision après l'accident… Et puis cet homme trop séduisant, Hugo Hamilton, qui prétend être prisonnier comme elle du sous-sol moyenâgeux où ils sont enfermés… S'agirait-il d'un cauchemar ? Pourtant, lorsqu'elle plonge ses yeux dans les iris verts de Hugo, Sandra a l'impression d'être plus vivante que jamais. Elle a même envie de le croire quand il lui assure qu'ils se sortiront ensemble de ce piège mortel qui a refermé ses tenailles invisibles sur eux. Mais quand ? Et surtout, en l'absence de tout adversaire de chair et de sang, comment être sûre que ce n'était pas lui, Hugo, son pire ennemi ?

N° 336 - La princesse à la tour d'ivoire (Lass Small)

2,56 €
Le regard de Clint tomba sur un petit tableau. A la fenêtre d'un château, une femme guettait l'horizon, semblant attendre quelque chose. Malgré l'audace du décolleté et l'extrême sensualité du visage mis en relief par la lumière, elle paraissait lointaine, comme en retrait. En bas des remparts où se pressait une foule noire, très dense, un cavalier avançait, les yeux levés vers la fenêtre. — Quand avez-vous peint cela ? — Qu'importe ! dit-elle tendue. — La femme, là, c'est vous, n'est-ce pas ? Elle se tut tandis qu'il approchait d'elle. — Mais peut-on savoir qui est ce chevalier que vous semblez attendre ?

N° 1689 - Une femme unique (Philippe Jean)

4,15 €
Extrait : La nuit était douce. Une brise très légère venait de la mer, juste assez fraîche pour chasser la chaleur accumulée par le sol et les pierres de la villa durant toute une journée ensoleillée sous le ciel sans nuages, de la Côte d'Azur. Marie-Elise et Geneviève avaient mis, sur leurs épaules nues, l'une un châle, l'autre une veste de flanelle. Seule Nora gardait sa tenue de plage. …

N° 419 - Super Passion : Le goût de la passion (Lass Small)

2,06 €
Le son qui s'échappait de la flûte de Clothilde vibrait dans la nuit, tissant avec le vent et les bruits de la campagne texane, une symphonie qui, mystérieusement, évoquait la mer. Ils étaient nus tous les deux, réunis dans ce moment unique en dépit de tout ce qui avait pu les séparer, de tout ce qui les séparerait encore… Ils venaient de faire l'amour, fiévreusement, passionnément, et tout ce qu'ils n'avaient pas dit pendant l'amour, la flûte l'exprimait, en une sorte de vibrante imploration à l'immensité céleste. Clothilde jouait de tout son être, dédiant sa musique à l'amant étendu près d'elle dans la splendeur de sa nudité. Et les notes semblaient un prélude à leur prochaine étreinte…

N° 1659 - Coeur de pierre (Philippe Jean)

3,74 €
Extrait : Dans tout le village de Brauvoy, on ne voyait que deux lumières en dehors de l'immense clarté qui venait de la place du Marché. C'étaient deux petits lumignons jaunes et tristes : l'un à la ferme des Furet, l'autre dans la maisonnette des Digard. Tous les autres foyers étaient obscurs, car la foule des villageois s'était répandue ce soir-là dans les rues, sur la route, dans les cabarets avoisinant la place où avait lieu le bal. La jeunesse s'en donnait à coeur joie au son d'un orchestre infatigable, tandis que les marmots contemplaient cette agitation avec extase, les doigts dans le nez, ou se poursuivaient à grands cris parmi les couples qu'ils bousculaient. Les jeunes mères étaient assises sous les arbres du mail vaguement éclairés par les derniers reflets des lampes du bal ; elles serraient contre elles leurs enfants endormis, mais elles n'auraient pas voulu être exclues de la fête où, l'année précédente, nombre d'entre elles, encore légères, avaient dansé…

N° 1712 - Prisonnière de son destin (Philippe Jean)

4,50 €
Extrait : — Atelier Didier Dyon ? répéta la concierge. Septième, face. — Merci, madame… Munie du renseignement, Régine attaqua l'escalier, puis sonna… au premier étage. C'était ainsi qu'elle s'y prenait pour forcer le barrage : quand on fait du « porte à porte », le plus dur est de s'introduire dans l'immeuble : aussi relevait-elle dans l'annuaire  le nom d'un locataire qui servait de Sésame ouvre-toi vis-à-vis de la concierge ; et une fois dans la place, elle visitait, un à un, tous les appartements de la maison. Le « truc » n'est pas infaillible. Ainsi, ce matin, depuis que, descendue au métro Montparnasse, elle avait entamé, par en haut, la rue de Rennes, cela n'avait pas encore réussi une seule fois : ou le locataire-clé avait déménagé, ou il était mort, ou il venait de sortir, ou il était en voyage… ou c'était le concierge qui, comme le signalait un écriteau, était « dans l'escalier », et risquait, par conséquent, d'éventer le subterfuge et de chasser, honteusement celle qui cherchait à enfreindre l'interdiction (affichée partout) « aux représentants » et démonstrateurs de pénétrer dans l'immeuble ». Donc, Régine avait essuyé toute une série d'échecs avant d'être, enfin, en mesure de prendre contact avec d'éventuels clients…
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