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Thierry La Fronde : Les Chevaliers de Sologne (Jean-Claude Deret) - Bibliothèque verte - Hachette
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Thierry La Fronde : Les Chevaliers de Sologne (Jean-Claude Deret)

12,00 €
Le choc des armes, le hennissement des chevaux, les cris des combattants, les râles des blessés troublaient la paix des collines. Thierry était à la fois emporté par sa fougue, exalté par l'ardeur de la bataille et envahi d'une profonde tristesse. Ces hommes qui s'affrontaient avec un courage identique étaient souvent parents. Dans les deux camps, les nobles chevaliers parlaient français. Et jamais Thierry de Janville n'avait mieux compris à quel point cette guerre était atroce, stupide. Mais il avait juré fidélité à son roi, à son duc. Il lui fallait se battre... Et, sans relâche, son bras faisait tournoyer la fronde, cette arme de villageois qui lui avait valu un surnom qu'il portait avec fierté, comme un titre de noblesse.

N° 1473 - A la belle meunière (Laurette Jacques)

4,92 €
Extrait : Les sourcils froncés par l'attention, la mine sérieuse et même un peu inquiète, Madeleine ne quittait pas des yeux son image, reflétée par la glace qui ornait son armoire de style faussement Louis XV. La couturière agenouillée devant elle, la bouche pleine d'épingles, admirait son œuvre et attendait les félicitations méritées. …

N° 1162 - Le triomphe de la jeunesse (Marcelle de Morthone)

3,05 €
Extrait : Dans le silence du vaste bureau, la sonnerie grêle du Morse retentit tout à coup. Une adolescente, tapie dans l'angle de la fenêtre, sombre silhouette disparaissant presque derrière un journal déplié, se redressa. — Ne vous dérangez pas, mademoiselle Cardonne… Je suis debout… dit une voix. L'interpellée se laissa retomber sur la chaise basse et replia le journal d'un geste nerveux, en levant sur son interlocutrice de grands yeux que la pupille d'un noir de jais remplissait presque. Le visage, d'un ovale parfait avait naturellement cette couleur mate obtenue par les élégantes grâce au concours savant des parfumeurs à la mode et la bouche un peu grande, mais au pur dessin, était du rouge foncé des cerises bien mûres. L'expression enfantine de cette bouche contrastait singulièrement avec le regard, un peu regard de femme qui semblait voir loin dans les âmes…
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