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  • Auteurs: Jean Glachant
  • Auteurs: Lindsay Armstrong

N° 3156 - Troublantes apparences (Lindsay Armstrong)

2,95 €
Lorsqu'elle fait la connaissance du célèbre milliardaire Brett Wyndham à une soirée de bienfaisance, Holly est tout de suite agacée par cet homme arrogant, visiblement convaincu qu'elle n'est qu'une mondaine écervelée, et qui s'adresse à elle avec une hostilité mal dissimulée. Mais au moment où elle s'apprête à couper court à la conversation, Holly hésite. Et si elle tenait là une occasion unique d'obtenir des informations sur ce puissant homme d'affaires qui règne sur Brisbane, et qui refuse obstinément de dévoiler le moindre détail sur sa vie privée ?

N° 2166 - Une singulière proposition (Lindsay Armstrong)

2,56 €
Lorsqu'elle rencontre Lleyton Dexter, le beau et séduisant directeur de la Clover Company, la jeune publicitaire Vivian Florey n'en croit pas ses oreilles. Non seulement Dexter lui propose de prêter son visage à la future campagne de publicité de la firme, mais il lui soumet aussi une autre idée — une proposition honnête, souligne-t-il : passer une semaine en sa compagnie et, en présence de toute la famille réunie dans la somptueuse demeure de Harvest Moon, jouer le rôle de sa fiancée. En tout bien tout honneur, bien sûr... Avec, à la clé, deux gros contrats pour la société de publicité qu'elle représente. Est-ce de l'imprudence, de l'audace ? Vivian accepte de se prêter au jeu — lequel va se révéler beaucoup plus risqué que prévu. Car non seulement Lleyton se montre dangereusement attirant, mais la jeune femme accumule les gaffes, enchaîne les malentendus, tandis que, dans l'ombre, l'ex-épouse de Lleyton veille, prête à tout pour reconquérir son bien.

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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