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  • Auteurs: Claude Dominique
  • Auteurs: Lise Blanchet

N° 9 - Rêve d'amour (Lise Blanchet)

9,90 €
Un premier rêve d'amour, qui a déçu son coeur, pousse Régine à quitter son monotone village de Montreval… La jeune et jolie infirmière part aux colonies. Dans cet hôpital près de Fort-Lamy, elle se sent revivre, entre l'amitié de Mlle Lucas, la jalousie de Solange, la tendresse du petit Christian… Son admiration pour le docteur Dargey grandit chaque jour… Mais il est fiancé à la lointaine Guislaine. Un enlèvement en brousse… Un vol de précieux documents… Tout semble l'éloigner de celui qu'elle aime… La clairvoyance de Mlle Lucas et de l'exquise Monique arriveront-elles à faire éclore le beau rêve d'amour ?

Le fantôme des Whiteness (Lise Blanchet) - Collection 4 couleurs N° 11

2,96 €
Extrait  : « Savez-vous pourquoi sont parties les institutrices qui vous ont précédée ? Isabelle regarde le vieux lord Whiteness qui l'interroge. — A cause du caractère de Jennifer, je pense, dit-elle. — Non, mademoiselle. A cause du " Fantôme des Whiteness ". Elles l'ont vu et ont pris peur. » Isabelle ne fait que rire de ces paroles. Pourtant, dans la nuit, sous l'orage, des gémissements l'attirent à sa fenêtre. Au fond de la cour s'agite un spectre blanc. A croire que... « Qui êtes-vous vous ? lui crie Isabelle . » Quand le fantôme disparaît, Isabelle a eu le temps de lancer sur lui une statuette. Le lendemain, rien ne reste de l'apparition. Pas même un débris de porcelaine... A son tour, Isabelle quittera Whiteness sans que l'y incite le fantôme qu'elle a cependant revu. L'amour seul est en jeu. Un ardent et impossible amour pour le jeune lord, pour David...

N° 1661 - Coeur égaré (Claude Dominique)

3,05 €
Extrait  : L'agent leva son bâton blanc. La file des autos resserrées et emboitées les unes dans les autres comme les soufflets d'un immense accordéon, se déroula aussitôt, par enchantement. Dociles, tels les soldats d'une revue, les véhicules se dirigèrent par file, à gauche, vers les boulevards ; à droite, vers la Madeleine, obéissant à un invisible signe. Les piétons, massés sur le terre-plein, en cohue obscure et moutonnière, purent croire qu'ils allaient encore rester là, prisonniers de l'effarante circulation aux mille tentacules, quand il y eut brusquement un coup de sifflet. Les voitures qui arrivaient sur l'allée gauche de l'Opéra stoppèrent, surprises d'être ainsi arrêtées avant que le signal rouge n'ait fonctionné. Mais les premières qui ouvraient la marche avaient pu voir une auto buter contre le trottoir de droite, rebondir vers le refuge, puis s'immobiliser, l'aile gauche à moitié aplatie contre le mur où le ressaut l'avait envoyée. Tout le monde se précipita…

N° 127 - Coeurs sous l'orage (Lise Blanchet)

8,95 €
Un étrange drame va bouleverser la vie de Mariora : une certaine nuit, un homme est trouvé mort sur le tombeau de la famille de Beaufort. Et cette nuit-là, comme tant d'autres, le père de Mariora a erré dans la campagne ; il est rentré, pâle, la main balafrée d'une large blessure. Qu'a-t-il fait ? Comment s'est-il blessé ? Autant d'énigmes qui torturent la jeune fille. Ce mort est justement Hubert de Beaufort, l'oncle de Pascal, que Mariora aime qui aime Mariora. Par un après-midi d'automne, tandis que le vent arrache les dernières feuilles et bouscule les nuages dans le ciel, Pascal demande à Mariora de devenir sa femme… Sa femme ? Hélas ! La jeune fille qui vit en plein drame repousse l'amour, les perspectives de bonheur. Elle veut vivre seule, partir pour la ville et gagner sa vie. Car un doute affreux la ronge : n'est-ce pas son père qui a tué Hubert de Beaufort ? Pascal part pour l'Algérie, échappe par miracle à un accident, revient blessé et de corps et d'âme. Trouvera-t-on le criminel ? Et le bonheur luira-t-il pour Mariora, et pour Pascal après tant d'orages ?

N° 1661 - Coeur égaré (Claude Dominique)

3,74 €
Extrait : L'agent leva son bâton blanc. La file des autos resserrées et emboitées les unes dans les autres comme les soufflets d'un immense accordéon, se déroula aussitôt, par enchantement. Dociles, tels les soldats d'une revue, les véhicules se dirigèrent par file, à gauche, vers les boulevards ; à droite, vers la Madeleine, obéissant à un invisible signe. Les piétons, massés sur le terre-plein, en cohue obscure et moutonnière, purent croire qu'ils allaient encore rester là, prisonniers de l'effarante circulation aux mille tentacules, quand il y eut brusquement un coup de sifflet. Les voitures qui arrivaient sur l'allée gauche de l'Opéra stoppèrent, surprises d'être ainsi arrêtées avant que le signal rouge n'ait fonctionné. Mais les premières qui ouvraient la marche avaient pu voir une auto buter contre le trottoir de droite, rebondir vers le refuge, puis s'immobiliser, l'aile gauche à moitié aplatie contre le mur où le ressaut l'avait envoyée. Tout le monde se précipita…
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