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  • Auteurs: Francine Robert
  • Auteurs: Lise Mélinand
  • Auteurs: Tudor

Les inséparables raflent tout (Tudor) - Lecture et Loisir N° 23

2,95 €
Chers enfants, À moins que vous ne vouliez que je devienne complètement fou, je vous prie de cesser de m'écrire pour me demander comment rencontrer les INSÉPARABLES. Je suis comme vous : dès que je vois leur sigle, je me précipite, car je sais qu'ils ne sont pas loin ! La dernière fois que je les ai vus - c'était le jour même du Mai - ils cherchaient désespérément 800 kilos de papier et de carton, tout en essayant de donner un coup de main à un géant, à un père (de tortue, s'entend), à une inventrice et à un Inspecteur de Police à la recherche d'un « ami du silence » qui, à son tour, voulait… Bref, vous verrez en lisant le livre. Maintenant, pour revenir à moi, tout dépend de vous. Si vous avez des nouvelles des INSÉPARABLES, faites-moi signe. Merci. TUDOR P.S. : Pour ne pas réveiller à ma place mon ami le meunier (vous voyez ce que je veux dire : « Meunier, tu dors… »), voici ma photo. Comme ça, vous ne courrez pas le risque que le meunier, en se réveillant, renverse la farine qui, tombant sur la casquette du facteur, l'énerverait au point qu'il giflerait le fleuriste qui, à son tour, se vengerait sur le boulanger, etc., etc. Légende des déclinaisons  : JAUNE pour les romans étrangers pour la jeunesse ; BLEU pour les jeunes de 11 à 15 ans ; ROUGE pour les enfants de 6 à 11 ans ; VERT pour les récits scientifiques et historiques.

N° 1899 - Jamais l'amour n'a su compter (Francine Robert)

2,92 €
Extrait  : — Je suis certain, en tout cas, de faire un très mauvais chef d'entreprise, un industriel exécrable ! — A ton âge, mon petit Roland, on n'est certain de rien, permets-moi de te le dire ! Et les deux interlocuteurs s'étaient dressés de chaque côté du bureau ministre qui les séparait. Un petit panneau de plexiglas posé sur la surface polie du meuble apprenait, dès leur entrée, aux visiteurs, qu'ils se trouvaient en face de « Lucien Vaudé, directeur général ». Pour la première fois de sa vie, cet homme d'affaires accoutumé à ne trouver devant lui que docilité, obéissance passive, se heurtait à une volonté qui valait peut-être la sienne : celle de son fils unique, Roland. Ce dernier venait d'avoir vingt-deux ans et on employait habituellement, pour le décrire, trois adjectifs que venait renforcer le mot « très » : « …Très grand, très brun, très sympathique… »…
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