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  • Auteurs: Judy Duarte
  • Auteurs: Louis Noël
Une si douce torture / Un pas vers le bonheur - Harlequin Passions N° 678
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N° 678 - Une si douce torture (Kat Cantrell) - Un pas vers le bonheur (Judy Duarte)

4,75 €
Une si douce torture (Kat Cantrell) Affaires ou séduction ? Volet 4/4 Belles, fortes et indépendantes, elles refusent de choisir entre carrière et amour…  Pour sauver son entreprise de cosmétiques, au bord de la faillite, Trinity est prête à tout. Même à se faire passer pour la fiancée du célèbre joueur de hockey Logan McLaughlin. Bien qu’il soit son pire ennemi, sa notoriété ne peut que lui faire de la publicité… Hélas, à l’instant où Logan lui vole un baiser – suave, sensuel et passionné –, Trinity est totalement perdue. Désormais, chaque instant passé à ses côtés devient une torture des plus douloureuses, pour elle qui n’a plus vraiment l’impression de faire semblant… Un pas vers le bonheur (Judy Duarte) Braden ne décolère pas. Embaucher Elena Ramirez était bien la pire idée qu’il ait jamais eue ! Car chaque jour passé avec elle lui renvoie l’image d’un foyer idéal : belle, douce et attentionnée, Elena s’occupe de surcroît à merveille des petites nièces dont il a la garde depuis la disparition de sa sœur bien-aimée. Seulement voilà, il doit se concentrer sur son nouveau rôle de père, sans se laisser distraire. Aussi n’a-t-il plus le choix : il va chercher une remplaçante à Elena au plus vite…

N° 32 - Mademoiselle de Sérances (Louis Noël)

8,00 €
Extrait : Dix heures venaient de sonner au cartel du grand salon ; la porte donnant dans la salle à manger s'ouvrit et le maître d'hôtel annonça : — Mademoiselle est servie. — Vite à table, Mesdames, dit joyeusement le comte Hubert de Sérances en offrant le bras à la vieille tante Euphrosine, il faut qu'à onze heures nous soyons en selle. J'espère vous présenter tout à l'heure un gaillard capable de nous faire voir du pays. Le comte, secondé par sa fille Françoise depuis la mort de sa femme, recevait comme on ne reçoit plus guère auourd'hui, souvent parce qu'on ne peut pas, quelquefois parce qu'on ne veut pas s'en donner la peine. Au centre de la table trônait sur un vaste plat d'argent une énorme hure de sanglier toute bardée de truffes. Tout autour s'arrondissait une jonchée de chrysanthèmes pourpre et chamois, couleurs de l'équipage ; parmi les fleurs galopait toute une meute en biscuit de Sèvres. Devant chaque convive une série de quatre verres s'emplissait peu à peu de vins couleur de topaze ou de rubis ; seul le maître de maison ne buvait que de l'eau…
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