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  • Auteurs: Louise Gravise
  • Auteurs: Mary Carroll
  • Auteurs: Norma Huidobro
A l'ombre du bonheur (Mary Carroll) - DUO Le temps d'un livre N° 39
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N° 39 - A l'ombre du bonheur (Mary Carroll)

2,15 €
Couchée dans l'herbe en Dordogne, Patsie, petite photographe américaine, fulmine : Philippe d'Oldman, qui avait accepté enfin qu'on fasse un reportage sur l'extraordinaire château qui appartient à sa famille depuis des siècles et qu'il interdisait jusqu'à présent farouchement au public, n'est pas au rendez-vous. Cet aristocrate français n'est qu'un grossier personnage, qui se moque bien des gens qui travaillent… Soudain, le ciel s'obscurcit. Patsie lève la tête : non, ce n'est pas un nuage qui lui cache le soleil, c'est un ballon… avec à son bord le plus beau, le plus séduisant aéronaute qu'elle ait jamais vu… Il lui sourit…

Octobre, un crime (Norma Huidobro)

3,25 €
Le 22 octobre 1958, à Buenos Aires, une jeune fille, prénommée Elena, envoie un appel au secours à une amie. Elle lui dit qu’on est en train d’empoisonner son père et que, s’il meurt, elle est certaine d’être la prochaine victime. Quarante ans plus tard, une autre jeune fille, Inès, achète une robe en organdi jaune dans un magasin de vieux vêtements… et découvre la lettre désespérée d’Elena, dissimulée dans l’ourlet de la robe. Le message n’est jamais parvenu à sa destinataire. En cachette de ses parents, qui ne prennent pas du tout cette histoire au sérieux, Inès décide de retrouver la trace d’Elena en se faisant passer pour une apprentie journaliste. C’est ainsi qu’elle rencontre Amparito, une femme qui n’a peur de rien et qui a travaillé autrefois pour la famille d’Elena. Elles vont mener l’enquête ensemble. Car elles sont persuadées qu’il y a eu meurtre. Et si le terrible destin d’Elena a été scellé il y a quarante ans, les assassins, eux, sont toujours en vie. De 8 à 11 ans.

N° 1698 - Quand l'amour veut vivre (Louise Gravise)

3,05 €
Extrait : — Le malade est perdu... Jean Lallier redressa sa haute taille, et foudroya du regard son assistant. — Je le sauverai ! Si vous flanchez, Lausac, allez ailleurs ! L'opération était assurément particulièrement délicate. Un massage du coeur avait déjà paré à une première alerte. Le patient était âgé et les réactions de l'organisme trop lentes. Le Dr Lallier l'avait prévu. Mais il fallait tenter cette intervention. C'était cela ou la mort inévitable. En toute conscience, il avait choisi. — Le coeur faiblit ! annonça l'anesthésiste, de sa voix calme, impersonnelle, comme perdue dans le silence blanc de la salle. Lallier sentait la sueur lui perler le long des tempes et tomber goutte à goutte dans son col, dans son masque… Un flot de sang jaillit d'une veine qui venait de céder sous une pince. Lallier leva les yeux et surprit un sourire narquois sur le visage de l'interne ; un jeune homme qui croyait tout savoir et se targuait de faire des diagnostics infaillibles…
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