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  • Auteurs: Luc Besson
  • Auteurs: Michel Nour
  • Auteurs: Paul Vincent

Arthur et les Minimoys T3 : La vengeance de Maltazard (Luc Besson) - Le livre de poche N° 1441

2,15 €
« Au secours ! » Inscrit sur un grain de riz, ce cri d’alarme est remis à Arthur par une araignée. Les Minimoys sont en danger ! Il n’y a pas une seconde à perdre. Avec la complicité de son chien Alfred, Arthur rejoint la maison de ses grands-parents. Bientôt minuit : heure fatidique où le rayon de lune frappera la longue-vue d'Archibald et déclenchera l'ouverture du passage vers le monde des Minimoys. Mais un nuage glisse de la nuit et s'apprête à cacher la lune…

N° 3007 - Et soudain, l'avalanche… (Paul Vincent) - Le commissaire-priseur (John McGregor)

4,50 €
Encarts BS Lecture 3007 à détacher Et soudain, l'avalanche… d'après le roman de Paul Vincent Sylvie a-t-elle le droit de laisser Jean-Pierre, le fils d'un promoteur parisien, transformer en station de ski La Ramaz, son village perdu au coeur des Alpes, et qui n'offre pour toute ressource qu'un petit artisanat ? Dès son arrivée de Paris, Jean-Pierre n'a d'yeux que pour Sylvie, et celle-ci ne lui est pas insensible. Mais Francis, son ami d'enfance, éprouve une haine sourde envers celui qui veut lui prendre à la fois son village et la fille qu'il aime. A mesure que Jean-Pierre convaincu de son projet les habitants du village, Francis mûrit sa vengeance. Dans le silence de la neige, amour et intérêt s'affrontent à visage nu. Témoin de cette lutte, la montagne apportera-t-elle une solution au dilemme de Sylvie ? Le commissaire-priseur d'après le roman policier de John McGregor.

N° 505 - Je t'adore ! (Michel Nour)

2,92 €
Extrait : Devant la porte du dancing, les deux jeunes gens s'arrêtèrent et Maurice Féraud tendit la main à son ami Raymond Landier. — Tu n'entres pas un instant avec moi ? demanda celui-ci. Voyons, pour une fois, laisse-toi tenter ! Maurice secoua la tête. — Je ne suis nullement tenté, je t'assure. — Tu détestes la danse ! — Je ne la déteste pas, mais je n'éprouve pas comme toi un plaisir de se trémousser comme tu dis, protesta vivement Raymond, il y a aussi celui de tenir dans ses bras une jolie créature qu'emporte l'ivresse du  rythme et qu'on sent contre soi, frémissante, palpitante, offerte comme une fleur qui vous grise de sa beauté et de son parfum…
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