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  • Auteurs: Kate Brian
  • Auteurs: M.-A. Hullet
  • Auteurs: Philippe Jean

Campus T0 : Cet hiver-là, à Easton… (Kate Brian)

3,95 €
L'académie d'baston se prépare à fermer pour Noël. Ariana Osgood doit passer ses vacances dans la famille de Daniel Ryan, son petit ami. Elle sait qu'elle a une chance folle de fréquenter ce garçon parfait. Pourtant… elle doute. Et tandis qu'elle se débat avec ses sentiments contradictoires, son attirance pour Thomas Pearson, le « bad boy » d'baston, ne fait que grandir. Quand elle est forcée de retarder son départ à cause d'un devoir qu'elle a oublié de rendre, elle se réjouit : Thomas lui aussi reste au lycée. Les deux jeunes gens se retrouvent seuls sur un campus recouvert de neige, silencieux et désert. Désert ? Pas tout à fait. Dans l'ombre, quelqu'un les espionne… Son but : transformer ce début d'idylle en cauchemar… Que s'est-il réellement passé entre Arianna et Thomas avant l'arrivée de Reed à Easton ? À partir de 15 ans.

Privilège T1 : Vengeance (Kate Brian)

4,95 €
Condamnée à perpétuité pour le meurtre de son ex-petit ami, Ariana Osgood observe désormais le monde à travers les grilles du centre pénitentiaire Brenda-T. L'univers doré d'Easton n'est plus qu'un lointain souvenir, et ses journées s'étirent au rythme des séances avec le docteur Meloni, un psychiatre sinistre qu'elle déteste. Pourtant, malgré les apparences, Ariana n'a pas renoncé à ses rêves d'évasion. Et elle compte bien retrouver ses privilèges. Une fois dehors, rien, ni personne ne pourra se mettre en travers de son chemin. Mais, à trop croire en sa chance, Ariana risque de se brûler les ailes… À partir de 15 ans.

N° 976 - Sous la caresse du soleil (M.-A. Hullet)

2,92 €
Extrait : Le soleil, en maître impérieux, fait peser son accablante domination sur la terre de Touggourt. Il l'étreint, la meurtrit, la possède, et elle devient sa proie défaillante. Il brille sur les lourds panaches des dattiers, il joue avec le vent au-dessus des dunes rousses, il est le tout-puissant que les burnous prosternés saluent quand, le soir, à l'horizon, il disparaît, rouge, assombri et farouche. La chaleur continue à être si intense en ce mois d'octobre que, tout à l'heure, le casque sera encore nécessaire pour garantir le crâne de la mortelle insolation. L'air surchauffé oppresse les poumons, dessèche la gorge. On dirait que le brûlant été ne veut pas mourir. Une table est dressée dans l'ombre tiède que projette la demeure du maître européen. Le déjeuner est cependant terminé depuis quelque temps, mais il faut que les heures torrides passent : vers trois heures on reprendra le travail. On y songe dans la fumée des cigarettes à goût de miel et la senteur âcre du café turc…

N° 1689 - Une femme unique (Philippe Jean)

4,15 €
Extrait : La nuit était douce. Une brise très légère venait de la mer, juste assez fraîche pour chasser la chaleur accumulée par le sol et les pierres de la villa durant toute une journée ensoleillée sous le ciel sans nuages, de la Côte d'Azur. Marie-Elise et Geneviève avaient mis, sur leurs épaules nues, l'une un châle, l'autre une veste de flanelle. Seule Nora gardait sa tenue de plage. …

N° 1659 - Coeur de pierre (Philippe Jean)

3,74 €
Extrait : Dans tout le village de Brauvoy, on ne voyait que deux lumières en dehors de l'immense clarté qui venait de la place du Marché. C'étaient deux petits lumignons jaunes et tristes : l'un à la ferme des Furet, l'autre dans la maisonnette des Digard. Tous les autres foyers étaient obscurs, car la foule des villageois s'était répandue ce soir-là dans les rues, sur la route, dans les cabarets avoisinant la place où avait lieu le bal. La jeunesse s'en donnait à coeur joie au son d'un orchestre infatigable, tandis que les marmots contemplaient cette agitation avec extase, les doigts dans le nez, ou se poursuivaient à grands cris parmi les couples qu'ils bousculaient. Les jeunes mères étaient assises sous les arbres du mail vaguement éclairés par les derniers reflets des lampes du bal ; elles serraient contre elles leurs enfants endormis, mais elles n'auraient pas voulu être exclues de la fête où, l'année précédente, nombre d'entre elles, encore légères, avaient dansé…

N° 1712 - Prisonnière de son destin (Philippe Jean)

4,50 €
Extrait : — Atelier Didier Dyon ? répéta la concierge. Septième, face. — Merci, madame… Munie du renseignement, Régine attaqua l'escalier, puis sonna… au premier étage. C'était ainsi qu'elle s'y prenait pour forcer le barrage : quand on fait du « porte à porte », le plus dur est de s'introduire dans l'immeuble : aussi relevait-elle dans l'annuaire  le nom d'un locataire qui servait de Sésame ouvre-toi vis-à-vis de la concierge ; et une fois dans la place, elle visitait, un à un, tous les appartements de la maison. Le « truc » n'est pas infaillible. Ainsi, ce matin, depuis que, descendue au métro Montparnasse, elle avait entamé, par en haut, la rue de Rennes, cela n'avait pas encore réussi une seule fois : ou le locataire-clé avait déménagé, ou il était mort, ou il venait de sortir, ou il était en voyage… ou c'était le concierge qui, comme le signalait un écriteau, était « dans l'escalier », et risquait, par conséquent, d'éventer le subterfuge et de chasser, honteusement celle qui cherchait à enfreindre l'interdiction (affichée partout) « aux représentants » et démonstrateurs de pénétrer dans l'immeuble ». Donc, Régine avait essuyé toute une série d'échecs avant d'être, enfin, en mesure de prendre contact avec d'éventuels clients…
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