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  • Auteurs: Manon Ferrer
  • Auteurs: Philippe Jean
  • Auteurs: Suzanne Masson

N° 147 - L'étrangère (Suzanne Masson)

24,90 €
Les deux jeunes voyageuses franchirent la grille du domaine des « Vieilles Roches » et, sur la dernière marche du perron, elles échangèrent un long regard bouleversé. La plus petite chuchota : — Je t’en supplie, Karline, prends la lettre et sonne. — Jamais ! C’est à toi que cela incombe ! Après tout, n’es-tu pas chez toi ? Ces quelques mots donnèrent un regain de courage à Ingrid. — Nous voudrions voir M. Pierre Lemercier. dit-elle à la vieille servante venue ouvrir. — Vous vous moquez j’imagine ! Notre maître est mort depuis trois ans… Voyant le regard affolé des jeunes filles elle ajouta : — Vous pourriez peut-être vous adresser à son fils ? Entrez, je préviens M. Olivier tout de suite. Ingrid tendit l’enveloppe cachetée au grand jeune homme qui venait d’apparaître. Il ne connaissait pas cette Eva Grützer, de Stuttgart… Et voici que son père avait eu un secret !… Ingrid était sa soeur !… Qu’allait-il faire ?… Que dirait sa mère ? Et la tante Annonciade, et Mlle Dorget, sa fiancée ? Ces deux « indésirables » auraient-elles place au foyer ?

N° 254 - Le sang des abeilles (Manon Ferrer)

2,54 €
Dans ce petit village provençal, on ne raffole guère de ces inconnus qui viennent de la ville. Pourquoi donc Inès a-t-elle hérité de la bastide du vieil Alphonse ? Le village entier est bien décidé à lui faire payer cet héritage au prix fort… Vengeances en série et mises en scène macabres accueillent la jeune fille. Le bel Eric mène la fronde, Patrick, lui la réconforte. La vérité se cache pourtant derrière les apparences…

N° 1689 - Une femme unique (Philippe Jean)

4,15 €
Extrait : La nuit était douce. Une brise très légère venait de la mer, juste assez fraîche pour chasser la chaleur accumulée par le sol et les pierres de la villa durant toute une journée ensoleillée sous le ciel sans nuages, de la Côte d'Azur. Marie-Elise et Geneviève avaient mis, sur leurs épaules nues, l'une un châle, l'autre une veste de flanelle. Seule Nora gardait sa tenue de plage. …

N° 1659 - Coeur de pierre (Philippe Jean)

3,74 €
Extrait : Dans tout le village de Brauvoy, on ne voyait que deux lumières en dehors de l'immense clarté qui venait de la place du Marché. C'étaient deux petits lumignons jaunes et tristes : l'un à la ferme des Furet, l'autre dans la maisonnette des Digard. Tous les autres foyers étaient obscurs, car la foule des villageois s'était répandue ce soir-là dans les rues, sur la route, dans les cabarets avoisinant la place où avait lieu le bal. La jeunesse s'en donnait à coeur joie au son d'un orchestre infatigable, tandis que les marmots contemplaient cette agitation avec extase, les doigts dans le nez, ou se poursuivaient à grands cris parmi les couples qu'ils bousculaient. Les jeunes mères étaient assises sous les arbres du mail vaguement éclairés par les derniers reflets des lampes du bal ; elles serraient contre elles leurs enfants endormis, mais elles n'auraient pas voulu être exclues de la fête où, l'année précédente, nombre d'entre elles, encore légères, avaient dansé…

N° 1712 - Prisonnière de son destin (Philippe Jean)

4,50 €
Extrait : — Atelier Didier Dyon ? répéta la concierge. Septième, face. — Merci, madame… Munie du renseignement, Régine attaqua l'escalier, puis sonna… au premier étage. C'était ainsi qu'elle s'y prenait pour forcer le barrage : quand on fait du « porte à porte », le plus dur est de s'introduire dans l'immeuble : aussi relevait-elle dans l'annuaire  le nom d'un locataire qui servait de Sésame ouvre-toi vis-à-vis de la concierge ; et une fois dans la place, elle visitait, un à un, tous les appartements de la maison. Le « truc » n'est pas infaillible. Ainsi, ce matin, depuis que, descendue au métro Montparnasse, elle avait entamé, par en haut, la rue de Rennes, cela n'avait pas encore réussi une seule fois : ou le locataire-clé avait déménagé, ou il était mort, ou il venait de sortir, ou il était en voyage… ou c'était le concierge qui, comme le signalait un écriteau, était « dans l'escalier », et risquait, par conséquent, d'éventer le subterfuge et de chasser, honteusement celle qui cherchait à enfreindre l'interdiction (affichée partout) « aux représentants » et démonstrateurs de pénétrer dans l'immeuble ». Donc, Régine avait essuyé toute une série d'échecs avant d'être, enfin, en mesure de prendre contact avec d'éventuels clients…
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