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  • Auteurs: Lili S. Junod
  • Auteurs: Marah Woolf
  • Auteurs: Rebecca York

N° 96 - La machine fantastique (Rebecca York)

2,96 €
Message de l'au-delà... Physicien de renommée internationale, Cameron Randolph ne peut se pardonner l'agression qu'à subie sa femme Jo dans la rue. Car pour lui, c'est sa dernière invention, encore confidentielle mais déjà convoitée, qui est à l'origine du drame. Drame d'autant plus déplorable que Jo, de retour de l'hôpital, ne semble plus avoir toute sa tête. Ne prétend-elle pas qu'une force surnaturelle a investi leur maison ? En bon scientifique peu enclin à croire ses inepties, Cameron doit pourtant se rendre à l'évidence quand, une nuit, tandis qu'il effectue des calculs dans son laboratoire, une masse d'énergie se détache de ses appareils pour se matérialiser au milieu de la pièce. Il a beau se frotter les yeux, cligner des paupières, la forme continue de frémir et à tournoyer sur place. Etrange émanation de la science, songe Cameron, mal à l'aide, en éteignant son ordinateur. En tout cas, pas question de croire aux fantômes…

Les brumes d'Avallach (Marah Woolf)

7,48 €
Après le décès de sa mère, Emma, dix-sept ans, quitte les États-Unis pour rejoindre la seule famille qui lui reste sur la petite île de Skye en Écosse. Là-bas, elle rencontre Calum, un étrange jeune homme. Tour à tour prévenant et glacial, il semble cacher un secret inavouable. Ce que l’adolescente ignore, c’est qu’en se rapprochant de lui elle les met tous les deux en danger de mort. Emma découvrira que les légendes des brumeux Highlands sont plus réelles et dangereuses qu’elle ne l’aurait imaginé. Et qu’avec Calum ils sont peut-être le dernier espoir de deux mondes que tout oppose.

N° 1631 - La cavalière de minuit (Lili S. Junod)

3,74 €
Extrait : Juste Delrode vida sa pipe d'un geste familier en la toquant à petits coups secs contre le mur de l'âtre où rougeoyaient les derniers tisons. Son visage boucané par les intempéries, la vie en plein air, les épreuves des dernières années de guerre, reflétait une expression maussade, accentuant la dureté du regard enfoncé et des lèvres minces qui jamais ne souriaient. Sa femme, la Maria, effacée, humble, toujours craintive devant ce maître redouté qui, jadis, l'avait choisie pour sa beauté, alors qu'elle n'était qu'une pauvre orpheline élevée par les soeurs, épiait en tremblant les signes de contrariété silencieuse qu'elle voyait figer les traits de Juste. Sa bonne figure douce gardait malgré le temps et l'âge une finesse exquise, le même bleu pur des yeux, un bleu de vitrail au soleil, étonnamment clair. Soudain tonna la voix de son homme : — Dis donc, la Maria ! Sais-tu ben qu'not'fille a fait tant d'progrès qu'la maîtresse d'école voudrait qu'al aille finir d'étudier dans eun'ville de par ici ? Ça m'plaît point, j'te l'dis tout franc…
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