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  • Auteurs: Jean Glachant
  • Auteurs: Marah Woolf
  • Auteurs: Toni Collins

Les brumes d'Avallach (Marah Woolf)

7,48 €
Après le décès de sa mère, Emma, dix-sept ans, quitte les États-Unis pour rejoindre la seule famille qui lui reste sur la petite île de Skye en Écosse. Là-bas, elle rencontre Calum, un étrange jeune homme. Tour à tour prévenant et glacial, il semble cacher un secret inavouable. Ce que l’adolescente ignore, c’est qu’en se rapprochant de lui elle les met tous les deux en danger de mort. Emma découvrira que les légendes des brumeux Highlands sont plus réelles et dangereuses qu’elle ne l’aurait imaginé. Et qu’avec Calum ils sont peut-être le dernier espoir de deux mondes que tout oppose.

N° 1307 - Lettres à un inconnu (Toni Collins)

2,15 €
Quand les enfants interviennent dans les affaires de coeur des adultes... les rencontres les plus improbables deviennent possibles ! Chère Christina, Je m'appelle Joe Parrish, j'ai vingt-neuf ans, et je suis soldat de deuxième classe dans l'armée américaine. J'ai été très surpris de recevoir votre lettre. Je croyais que tout le monde nous avait oubliés, ici, au Moyen-Orient… Ainsi commençait la lettre de Joe Parrish à sa marraine de guerre. Pour Christina, elle avait la fraîcheur d'un premier rendez-vous d'amour. Aucun des hommes qu'elle connaissait ne s'était jamais exprimé en des termes aussi sincères et spontanés. Il faut dire qu'en tant que simple soldat, Joe n'avait rien de commun avec les hommes riches et sûrs d'eux que fréquentait la fille du sénateur. Ils appartenaient à deux mondes distincts et, s'il n'y avait eu cette guerre, jamais ils ne seraient entrés en contact. Mais il y avait eu la guerre… et bientôt cet enfant qui allait tout changer.

N° 925 - Nuit de folie... (Jean Glachant)

2,92 €
Extrait : A six heure du soir, la rue de la Paix était emplie, comme de coutume, du fourmillement joyeux des ouvrières sortant des grandes maisons de couture. Il y en avait de toutes sortes, et un oeil avisé eût discerné en elles leurs attributions respectives : les plus jeunes, de douze à quinze ans, aux manières gamines et bruyantes, rentraient sans hâte à la maison paternelle ; c'étaient « les arpètes » dont le nez retroussé, les lèvres moqueuses, semblaient rire de tout… narguer la vie. Les autres, élancées, élégantes, aux visages savamment fardés, aux robes d'un chic simple mais étudié, étaient la réclame vivante de la maison, les poupées qui revêtent par jour mille robes différentes pour le seul bon plaisir du « client » : les mannequins. A leurs côtés, et comme des parentes pauvres, venait la cohue des ouvrières d'atelier dont la plupart, vêtues simplement, semblaient pressées de retrouver le home familial où les attendaient, impatiemment sans doute, le mari, les enfants… et peut-être aussi un amoureux ?…
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