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  • Auteurs: Anne Weale
  • Auteurs: Marcelle de Morthone
  • Auteurs: Michelle Reid

N° 2856 - Un sentiment irrésistible (Michelle Reid)

2,56 €
Depuis qu'une terrible tragédie a frappé leur couple, Louisa n'a jamais revu Andreas, et c'est donc seule qu'elle a tenté de surmonter son chagrin, sans jamais pouvoir oublier que celui qui avait juré de l'aimer dans la joie et dans la peine l'a abandonnée au moment où elle avait le plus besoin de lui… Mais, cinq ans plus tard, alors qu'elle séjourne sur l'île d'Aristos, Louisa se retrouve face à Andreas. Andreas qui est toujours son mari et qu'elle voudrait détester. Mais, sans qu'elle puisse rien y faire, elle sent le désir renaître, un désir irrépressible contre lequel même la colère qu'elle ressent envers Andreas ne peut rien…

N° 1333 - Portrait d'un gentleman (Anne Weale)

2,15 €
Quel choc ! Cet homme était la réincarnation de Piers Anstruther, ce chevalier mort au XVIIe siècle sur le champ de bataille, dont le portrait trônait dans le salon du manoir de Bosanquet. Combien de fois Flora s'était-elle absorbée dans la contemplation de ce tableau, admirant sans se lasser ces traits volontaires, ce regard d'un bleu profond, cette chevelure sombre ? Et voilà qu'aujourd'hui, le miracle se produisait. Son héros était là, en chair et en os, en la personne de Roderick Anstruther, l'actuel propriétaire de Bosanquet. Certes, lui ne la regardait même pas. Mais qu'importe ! Pour attirer l'attention de celui qu'elle attendait depuis toujours sans y croire, Flora se sentait prête à toutes les folies… À toutes, vraiment ?

N° 1162 - Le triomphe de la jeunesse (Marcelle de Morthone)

3,05 €
Extrait : Dans le silence du vaste bureau, la sonnerie grêle du Morse retentit tout à coup. Une adolescente, tapie dans l'angle de la fenêtre, sombre silhouette disparaissant presque derrière un journal déplié, se redressa. — Ne vous dérangez pas, mademoiselle Cardonne… Je suis debout… dit une voix. L'interpellée se laissa retomber sur la chaise basse et replia le journal d'un geste nerveux, en levant sur son interlocutrice de grands yeux que la pupille d'un noir de jais remplissait presque. Le visage, d'un ovale parfait avait naturellement cette couleur mate obtenue par les élégantes grâce au concours savant des parfumeurs à la mode et la bouche un peu grande, mais au pur dessin, était du rouge foncé des cerises bien mûres. L'expression enfantine de cette bouche contrastait singulièrement avec le regard, un peu regard de femme qui semblait voir loin dans les âmes…
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