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  • Auteurs: Jean Francis Webb
  • Auteurs: Marcelle de Morthone
  • Auteurs: Rebecca Daniels

N° 1299 - Complices d'une nuit (Rebecca Daniels)

2,56 €
Prise dans une avalanche, Maggie n'a la vie sauve que grâce à l'intervention d'un homme qui l'entraîne avec lui dans une cabane de fortune. Hélas ! Le cauchemar ne fait que commencer. Car la cabane est enfouie sous plusieurs mètres de neige, et des jours pourront s'écouler avant que les secours ne retrouvent leur trace ! Une sombre perspective qui se révèle même effrayante quand Maggie découvre l'identité de son sauveteur : il s'agit de Kyle Gentry, l'ex-mari de Cindy Gentry... la cliente dont elle assure la défense dans son procès de divorce. Contrainte de vivre en huis clos avec son pire ennemi, comment Maggie pourra-t-elle sortir indemne d'une telle aventure ?

N° 390 - Quelque part dans cette obscure demeure (Jean Francis Webb)

2,95 €
Ellen est arrivée à Honolulu pour être la gouvernante de la petite Momi, la fille d'Ambrose Tamaldge et d'une princesse royale récemment décédée. Momi est devenue aveugle après l'apparition dans la nuit d'un homme qu'elle a pris pour son oncle, le prince Nikko dont la mort violente a suscité quelques doutes. En réalité, Ellen est venue d'Hawaii pour enquêter sur le prétendu suicide de son fiancé, Stephen Darrow, journaliste mêlé à la politique de l'île. Ellen est en butte à diverses attaques mystérieuses et elle doit dénouer les fils d'une intrigue complexe et dangereuse, soutenue par l'affection de Momi et l'estime d'Ambrose, dont elle s'est éprise au premier regard. Hawaii, décor de rêve ne peut-il devenir le cadre hallucinant d'étranges drames ?

N° 1162 - Le triomphe de la jeunesse (Marcelle de Morthone)

3,05 €
Extrait : Dans le silence du vaste bureau, la sonnerie grêle du Morse retentit tout à coup. Une adolescente, tapie dans l'angle de la fenêtre, sombre silhouette disparaissant presque derrière un journal déplié, se redressa. — Ne vous dérangez pas, mademoiselle Cardonne… Je suis debout… dit une voix. L'interpellée se laissa retomber sur la chaise basse et replia le journal d'un geste nerveux, en levant sur son interlocutrice de grands yeux que la pupille d'un noir de jais remplissait presque. Le visage, d'un ovale parfait avait naturellement cette couleur mate obtenue par les élégantes grâce au concours savant des parfumeurs à la mode et la bouche un peu grande, mais au pur dessin, était du rouge foncé des cerises bien mûres. L'expression enfantine de cette bouche contrastait singulièrement avec le regard, un peu regard de femme qui semblait voir loin dans les âmes…
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