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  • Auteurs: Anne Marie Winston
  • Auteurs: Marcelle de Morthone
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Pourquoi les filles grandissent-elles ? (Stan Cullimore) - Le livre de poche N° 695
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Pourquoi les filles grandissent-elles ? (Stan Cullimore) - Le livre de poche N° 695

3,50 €
— Pourquoi l'adorable blonde que l'on faisait sauter sur ses genoux, il n'y a pas si longtemps de cela, s'enferme-t-elle à double tour dans la salle de bains en hurlant soudain qu'on lui fiche la paix ? — Pourquoi en ressort-elle dangereusement rousse ? — En Somme : est-il possible, pour un père, d'élever seul sa fille de treize ans bientôt quatorze ? À partir de 12 ans.

N° 1115 - Le bonheur pour contrat (Anne Marie Winston)

2,56 €
Jillian allait devoir tenir six mois… Six mois aux côtés de Dax, cela lui paraissait un enfer, aujourd'hui ! Et elle se souvint avec tristesse et colère de l'époque radieuse où une seule seconde auprès de Dax lui semblait une éternité de bonheur… Entre-temps, ils étaient devenus des ennemis : Dax la détestait pour une trahison qu'elle n'avait pourtant pas commise, et elle-même lui en voulait terriblement de ne pas avoir su lui faire confiance. A présent, il venait de trouver un nouveau moyen de la faire souffrir : l'épouser, en échange de la remise à flot de l'entreprise familiale. Si elle refusait, il expulsait, licenciait tout le monde. Devant tant de rage, Jillian n'avait pu qu'accepter, en apportant, toutefois, sa patte au contrat : le mariage ne durerait que le temps de redresser la situation financière - c'est-à-dire, au plus, six mois.

N° 1162 - Le triomphe de la jeunesse (Marcelle de Morthone)

3,05 €
Extrait : Dans le silence du vaste bureau, la sonnerie grêle du Morse retentit tout à coup. Une adolescente, tapie dans l'angle de la fenêtre, sombre silhouette disparaissant presque derrière un journal déplié, se redressa. — Ne vous dérangez pas, mademoiselle Cardonne… Je suis debout… dit une voix. L'interpellée se laissa retomber sur la chaise basse et replia le journal d'un geste nerveux, en levant sur son interlocutrice de grands yeux que la pupille d'un noir de jais remplissait presque. Le visage, d'un ovale parfait avait naturellement cette couleur mate obtenue par les élégantes grâce au concours savant des parfumeurs à la mode et la bouche un peu grande, mais au pur dessin, était du rouge foncé des cerises bien mûres. L'expression enfantine de cette bouche contrastait singulièrement avec le regard, un peu regard de femme qui semblait voir loin dans les âmes…
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