Accueil

Accueil

Il y a 3 produits.

Affichage 1-3 de 3 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Marcelle de Morthone
  • Auteurs: Stan Cullimore
  • Auteurs: Suzanne Clausse
Pourquoi les filles grandissent-elles ? (Stan Cullimore) - Le livre de poche N° 695
  • Nouveau

Pourquoi les filles grandissent-elles ? (Stan Cullimore) - Le livre de poche N° 695

3,50 €
— Pourquoi l'adorable blonde que l'on faisait sauter sur ses genoux, il n'y a pas si longtemps de cela, s'enferme-t-elle à double tour dans la salle de bains en hurlant soudain qu'on lui fiche la paix ? — Pourquoi en ressort-elle dangereusement rousse ? — En Somme : est-il possible, pour un père, d'élever seul sa fille de treize ans bientôt quatorze ? À partir de 12 ans.

Un soir sur la grève… (Suzanne Clausse)

4,24 €
En Angleterre, un soir sur une plage, Véronique a été le témoin furtif et angoissé d'une rixe entre deux inconnus, dont l'un s'est enfui. Un peu plus tard, rentrée en France, la jeune fille croit reconnaître l'un des antagonistes dès qu'elle rencontre Jacques-Yves, jeune diplomate très séduisant. Malgré le doute qui l'obsède - l'un des hommes de la plage a été tué - Véronique se sent envahie par un irrépressible amour pour Jacques-Yves alors que celui-ci ne lui témoigne qu'une aimable indifférence. Pire encore !… Véronique découvre son attachement pour une jolie femme, Simone, dont le mari est un inquiétant personnage. La seule victoire en amour est-elle la fuite ? Véronique essaye de s'y résoudre, sans le moindre succès car le destin s'obstine à la remettre en présence de Jacques-Yves. Il semble maintenant s'acharner à vouloir la troubler. Un jeu bien dangereux. Pour lui aussi, peut-être ?

N° 1162 - Le triomphe de la jeunesse (Marcelle de Morthone)

3,05 €
Extrait : Dans le silence du vaste bureau, la sonnerie grêle du Morse retentit tout à coup. Une adolescente, tapie dans l'angle de la fenêtre, sombre silhouette disparaissant presque derrière un journal déplié, se redressa. — Ne vous dérangez pas, mademoiselle Cardonne… Je suis debout… dit une voix. L'interpellée se laissa retomber sur la chaise basse et replia le journal d'un geste nerveux, en levant sur son interlocutrice de grands yeux que la pupille d'un noir de jais remplissait presque. Le visage, d'un ovale parfait avait naturellement cette couleur mate obtenue par les élégantes grâce au concours savant des parfumeurs à la mode et la bouche un peu grande, mais au pur dessin, était du rouge foncé des cerises bien mûres. L'expression enfantine de cette bouche contrastait singulièrement avec le regard, un peu regard de femme qui semblait voir loin dans les âmes…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire