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  • Auteurs: Dorothy Eden
  • Auteurs: Marcelle de Morthone
  • Auteurs: Sylvie Weil

N° 3035 - La revanche de l'amour d'après le roman de Dorothy Eden

3,75 €
Extrait : La porte de la chambre s'entrouvrait. Matilda tourna la tête sur l'oreiller et demeura aux aguets. La porte se referma. Quelqu'un l'espionnait. Lally ? Ou bien cette infirmière autoritaire qu'elle détestait ? Sûrement pas Mab. Mab avait le bon sens de se tenir éloignée de cette chambre où se devinait l'approche de la mort. Intrépide, ingouvernable, une vraie Duncastle…

N° 3069 - Des femmes disparaissent d'après le roman de Dorothy Eden

3,75 €
Des femmes disparaissent d'après le roman de Dorothy Eden Emma est chargée d'interviewer Barnabé Court, auteur de romans policiers à succès. L'aventure commence. Une aventure dont on ne peut ici même pas raconter le début, sous peine de gâter le plaisir de la surprise. Car dès les premières lignes, on est en plein inattendu. Comme l'annonce le titre, des femmes disparaissent. Emma se demande, avec une perplexité qui frise parfois l'inquiétude, ce que sont devenues la brune Joséphine, la blonde Sylvie. La série ne s'arrête pas là, jusqu'à ce qu'Emma elle-même… Dorothy Eden tient cette gageure de combiner avec maîtrise l'humour rose et l'humour noir. Car si l'aventure vécue par Emma a des aspects parfois macabres, elle est aussi traversée de part en part par une délicieuse tendresse. Tour à tour, vous rirez, vous frissonnerez, vous serez émue…

N° 284 - A deux pas de la mer (Dorothy Eden)

2,16 €
Extrait : D'où elle se tenait, sur la colline, Tessa avait une vue d'ensemble de l'école. A droite, les bâtiments proprement dits, derrière le verger, et, miroitante sous le ciel d'été, la petite nappe d'eau qui occupait le fond de l'excavation. Comment cette eau, théâtre d'un drame, pouvait-elle sembler aussi innocente, comment les fenêtres de l'école pouvaient-elles donner l'impression que derrière elles la vie poursuivait son cours normal ? Les vitres de Charlotte étaient ouvertes, le vent gonflait doucement les rideaux de coton blanc, et Tessa s'attendit presque que sa soeur agitât un mouchoir lui faisant signe de rentrer. La fenêtre de Fanny était fermée, ce qui voulait dire que la jeune fille était probablement étendue sur son lit se reposant. Tessa l'imaginait, inerte, lourde, les mains immobiles, le regard vague car ainsi que le disait Luc, Fanny n'avait pas repris ses sens. Tessa croyait plus volontiers que Fanny savait quelque chose qu'elle ne voulait pas communiquer aux autres et que son air absent venait de là…

Le mazal d'Elvina (Sylvie Weil)

3,95 €
Un mazal, dans la tradition juive, c'est un ange gardien chargé de plaider la cause de son protégé auprès de l'Eternel. Tout le monde en possède un. Sauf les animaux. Même les filles. Même Elvina la rebelle. Qui pense qu'elle en a besoin, plus qu'une autre. Car Elvina adore lire, écrire et étudier comme les garçons. Et déteste «couver» les oeufs et obéir comme les filles. Elle serait tout à fait à son aise au début du XXIe siècle Le problème, c'est que nous sommes à la fin du XIe, époque guère féministe où Pierre l'Ermite prend la tête de la première Croisade et sillonne la campagne française avec ses troupes à la recherche de nourriture. Il paraît qu'il hait les Juifs. La famille d'Elvina est sur le qui-vive. Un jour qu'elle est seule à la maison, trois étrangers frappent à la porte, et Elvina qui ne doit pas ouvrir leur ouvre… Au secours, Mazal ! De 12 à 16 ans. Salomon Ben Issac, dit Rachi, a vécu à Troyes, en Chanpagne, de 1040 à 1105. Il est considéré comme le commentateur par excellence de la Bible et du Talmud. Ses gendres et ses petits-fils furent, eux aussi, de grands érudits et des rabbins très célèbres, en leur temps et à présent.

N° 1162 - Le triomphe de la jeunesse (Marcelle de Morthone)

3,05 €
Extrait : Dans le silence du vaste bureau, la sonnerie grêle du Morse retentit tout à coup. Une adolescente, tapie dans l'angle de la fenêtre, sombre silhouette disparaissant presque derrière un journal déplié, se redressa. — Ne vous dérangez pas, mademoiselle Cardonne… Je suis debout… dit une voix. L'interpellée se laissa retomber sur la chaise basse et replia le journal d'un geste nerveux, en levant sur son interlocutrice de grands yeux que la pupille d'un noir de jais remplissait presque. Le visage, d'un ovale parfait avait naturellement cette couleur mate obtenue par les élégantes grâce au concours savant des parfumeurs à la mode et la bouche un peu grande, mais au pur dessin, était du rouge foncé des cerises bien mûres. L'expression enfantine de cette bouche contrastait singulièrement avec le regard, un peu regard de femme qui semblait voir loin dans les âmes…
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