Accueil

Accueil

Il y a 3 produits.

Affichage 1-3 de 3 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Cécile d'Argel
  • Auteurs: Marianne Pierson-Pierard
  • Auteurs: Moka
Pour sauver le prince... (Cécile d'Argel) - Bibliothèque Rouge et Or Souveraine N° 670
  • Nouveau

N° 670 - Pour sauver le prince... (Cécile d'Argel)

9,50 €
Ce jour du mois de juin 1745, Alistair, fils du laird écossais Gavin Mc Allan de Clanranard, est de fort mauvaise humeur : il doit aller accueillir, à son arrivée en France, Armande de Boisrond, sa cousine, âgée comme lui de douze ans. Etant fille, Armande ne peut être qu'une pécore, songe Alistair. Toutefois, son déplaisir est compensé par la joie de revoir son père et son oncle, qui accompagnent la fillette. Nul doute qu'ils ne rapportent de France des nouvelles du jeune Charles-Edouard Stuart, le fils du Prétendant d'Ecosse, qu'Alistair aime de tout son coeur et pour lequel il voudrait bien donner sa vie. Une aventure passionnante attend Armande et son cousin, qui, bien entendu, ne tarderont pas à devenir deux inséparables. De 12 à 16 ans.

Au pied de l'arc-en-ciel (Moka)

2,92 €
Quand on est en vacances au milieu des moutons et des amandiers, dans une maison sans électricité, qu'il pleut qu qu'on n'a pas le droit de jouer avec sa gameboy, que peut-on faire ? On peut toujours patauger dans les flaques. On peut aller visiter une tour en ruine. On peut aussi perdre son petit frère dans les collines et passer des heures à le chercher. On peut également inventer une chasse au trésor, où les bergers sont des sorciers maléfiques, où le thym est un poison qui fait dormir mille ans si on le respire, où une armée de scorpions garde les pièces d'or et les pierres précieuses. Mais parfois, on croit seulement jouer et il se passe vraiment des choses étranges.

N° 3037 - Le premier été sans Fabienne d'après le roman de Marianne Pierson-Pierard

3,75 €
Extrait : La journée s'achevait, grise, nuageuse, incertaine. « Une de plus pour faire une vie, une de moins pour faire une mort » se disait Julien, morose comme à l'habitude. Il rentrait du jardin où il avait tourné en rond, contemplant ses pelouses, ses fleurs, nettoyant par-ci par-là une corolle fanée, ce que Fabienne appelait « prendre la poussière des parterres » Morose mais non plus accablé…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire