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  • Auteurs: Marco Bellone
  • Auteurs: Marie Pavlenko
  • Auteurs: Philippe Jean

La Fille-Sortilège (Marie Pavlenko)

6,95 €
Six Clans dirigent la Cité. Chacun possède une Magie qui commande aux éléments et aux êtres vivants. De leur union dépend l'équilibre. C'est pourquoi, durant la Fête des Echanges, les adolescents sont soumis à des épreuves, en vue d'être initiés.  Parce qu'elle a échoué, la jeune Erine est bannie, loin de sa famille et de son Clan. Condamnée à survivre dans la zone d'exil, elle va bientôt découvrir le sombre secret de la Cité. Et le terrible complot qui menace de la détruire.

N° 3284 - Dette d'amour (Claude Jaunière) - Coups de sang (Marco Bellone)

4,50 €
Encarts BS Lecture 3284 à détacher Dette d'amour d'après le roman de Claude Jaunière Françoise a des tas de problèmes avec sa mère. Pas étonnant que ses deux frères l'aient laissé tomber pour aller vivre chez leur père… N'y tenant plus, elle aussi s'enfuit. Et c'est lors de cette fugue que la jeune fille fait la connaissance de la famille Désormaux. L'adolescente ne peut s'empêcher de comparer Anne-Marie Désormais à sa propre mère, Lydia. Et pourtant, quelle différence ! Anne-Marie, dans son veuvage, a gardé le souvenir radieux de son mari et projette sur ses enfants le reflet d'un bonheur qui fut parfait. Lydia, divorcée, se croyant mal aimée des siens, s'est aigrie. Grâce à ce qu'elle a appris au contact d'Anne-Marie, Françoise reviendra chez sa mère, bien décidée à essayer de la comprendre et à l'aimer enfin. Lydia pourra-t-elle oublier et pardonner ? Cet amour tout neuf accomplira-t-il le miracle tant attendu ? DETTE D'AMOUR, le roman poignant de Claude Jaunière, nous confronte avec un drame, hélas ! trop actuel : celui des adolescents en face de la mésentente des parents. Coups de sang , une nouvelle policière inédite de Marco Bellone

N° 1689 - Une femme unique (Philippe Jean)

4,15 €
Extrait : La nuit était douce. Une brise très légère venait de la mer, juste assez fraîche pour chasser la chaleur accumulée par le sol et les pierres de la villa durant toute une journée ensoleillée sous le ciel sans nuages, de la Côte d'Azur. Marie-Elise et Geneviève avaient mis, sur leurs épaules nues, l'une un châle, l'autre une veste de flanelle. Seule Nora gardait sa tenue de plage. …

N° 1659 - Coeur de pierre (Philippe Jean)

3,74 €
Extrait : Dans tout le village de Brauvoy, on ne voyait que deux lumières en dehors de l'immense clarté qui venait de la place du Marché. C'étaient deux petits lumignons jaunes et tristes : l'un à la ferme des Furet, l'autre dans la maisonnette des Digard. Tous les autres foyers étaient obscurs, car la foule des villageois s'était répandue ce soir-là dans les rues, sur la route, dans les cabarets avoisinant la place où avait lieu le bal. La jeunesse s'en donnait à coeur joie au son d'un orchestre infatigable, tandis que les marmots contemplaient cette agitation avec extase, les doigts dans le nez, ou se poursuivaient à grands cris parmi les couples qu'ils bousculaient. Les jeunes mères étaient assises sous les arbres du mail vaguement éclairés par les derniers reflets des lampes du bal ; elles serraient contre elles leurs enfants endormis, mais elles n'auraient pas voulu être exclues de la fête où, l'année précédente, nombre d'entre elles, encore légères, avaient dansé…

N° 1712 - Prisonnière de son destin (Philippe Jean)

4,50 €
Extrait : — Atelier Didier Dyon ? répéta la concierge. Septième, face. — Merci, madame… Munie du renseignement, Régine attaqua l'escalier, puis sonna… au premier étage. C'était ainsi qu'elle s'y prenait pour forcer le barrage : quand on fait du « porte à porte », le plus dur est de s'introduire dans l'immeuble : aussi relevait-elle dans l'annuaire  le nom d'un locataire qui servait de Sésame ouvre-toi vis-à-vis de la concierge ; et une fois dans la place, elle visitait, un à un, tous les appartements de la maison. Le « truc » n'est pas infaillible. Ainsi, ce matin, depuis que, descendue au métro Montparnasse, elle avait entamé, par en haut, la rue de Rennes, cela n'avait pas encore réussi une seule fois : ou le locataire-clé avait déménagé, ou il était mort, ou il venait de sortir, ou il était en voyage… ou c'était le concierge qui, comme le signalait un écriteau, était « dans l'escalier », et risquait, par conséquent, d'éventer le subterfuge et de chasser, honteusement celle qui cherchait à enfreindre l'interdiction (affichée partout) « aux représentants » et démonstrateurs de pénétrer dans l'immeuble ». Donc, Régine avait essuyé toute une série d'échecs avant d'être, enfin, en mesure de prendre contact avec d'éventuels clients…
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