Accueil

Accueil

Il y a 3 produits.

Affichage 1-3 de 3 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Laura Wright
  • Auteurs: Marie de Wailly

N° 1327 - Au royaume d'un prince (Laura Wright)

2,15 €
Après l’échec de son mariage, le prince Alexander s’est juré de ne plus jamais laisser une femme dominer sa vie. Pourtant, Sophia Dunhill, la jolie navigatrice aux cheveux flamboyants qu’il sauve de la noyade lui fait oublier toute raison… Et il se laisse emporter par une nuit de folle passion avec elle. Dès le lendemain, Alexander se reproche son écart de conduite, indigne d’un futur roi, et il annonce à Sophia que la bienséance lui dicte de l’épouser sans délai, d’autant qu’elle porte peut-être déjà son héritier… C’est du moins l’argument qu’il avance pour éviter de s’attarder sur les sentiments que la jeune femme lui inspire. Mais Sophia ne compte pas s’installer au royaume de Llandaron à la disposition de ce prince si séduisant pour une simple question de protocole ! Pour qu’elle veuille bien rester, il faudrait qu’Alexander admette qu’il tient plus à elle qu’il ne le dit…

N° 42 - Vers l'amour... (Marie de Wailly)

6,00 €
Extrait : Une foule énorme se portait vers l'aérodrome du Bourget. Les taxis et les autocars, bondés à craquer, déversaient leurs grappes humaines au milieu de la cohue et la foule, heurtée, bousculée, riait sans une parole de mauvaise humeur, sans un geste de colère, heureuse, exubérante, ne songeant qu'à une seule chose : avancer… se bien placer… Un cordon de police, constitué par un régiment d'aviation, la repoussait doucement mais elle revenait à la charge avec tant de gaîté, tant d'entrain que les soldats souriants cédaient un peu de terrain et des voix perçantes de femmes criaient : — Bravo… vive l'armée !… A ces cris isolés s'en joignait un autre unanime, vibrant, formidable : — Vive Pierre Defresne !… C'était le héros attendu… l'as… l'enfant chéri du public…

N° 22 - Au coeur profond de la forêt (Marie de Wailly)

9,00 €
Extrait préface : Il y avait une fois, une immense étendue boisée qu'on appelait : la Forêt d'Argent. La brise la plus légère faisait frissonner le feuillage de ses trembles ; ses saules au duvet pâle et soyeux se miraient dans l'eau limpide des sources et ses bouleaux, à la blanche écorce brillante, élevaient leur tête altière vers le ciel. La Forêt d'Argent couvrait tout un coteau montant de la plaine et retournant à la vallée. A son sommet le plus escarpé se dressaient de très hauts murs de pierre grise que la végétation grimpante et luxuriante des grands bois avait pris d'assaut. Leur air rébarbatif se cachait derrière le sourire vert des feuilles et l'appel timide des fleurs. Si, trompé par leur joliesse mutine et la douceur grave de leur vêtement, on voulait connaître leur secret, on se heurtait à une porte aux épaisses ferrures, aux panneaux hérissés de clous, à la lourde serrure. Un judas minuscule permettait de parlementer de l'intérieur. Une chaîne, de la grosseur du poignet, pendait à droite de la porte dans une niche de pierre encapuchonnée de verdure. Cette chaîne était attachée à une cloche de bronze dont chaque vibration réveillait les échos endormis de la Forêt d'Argent…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire