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  • Auteurs: Félix Léonnec
  • Auteurs: Mary Anne Wilson

3 Romans d'amour (Collectif)

2,55 €
Captifs de l’amour (Sally Heywood) Dès son arrivée à Tago Mago, une île sauvage dont elle vient d’hériter, Sally tombe sous le charme de ce lieu magique situé au large de Malaga. D’autant qu’en chemin, elle a fait la connaissance du beau et séduisant Paul Elliot, qui a ravi son coeur en lui faisant passer la plus belle nuit d’amour qu’elle ait jamais connu. Quelle n’est donc pas sa surprise lorsqu’elle découvre que le bel apollon dont elle est tombée amoureuse n’est autre que celui qui possède la moitié de l’île avec elle… Un papa au-dessus de tout soupçon (Phyllis Halldorson) Fort et doux. Tendre et viril. Papa gâteau et homme d’affaire brillant. Jonathan incarnait à la perfection l’idéal masculin de Chloé. Seulement voilà : l’échec de sa première union avait profondément marqué Jonathan, et le souvenir de son ex-épouse, mystérieusement disparue, le tourmentait encore. Engagée chez lui comme gouvernante pour s’occuper de Candace, seize ans, et de Patty, trois ans, Chloé allait tout mettre en œuvre pour redonner l’envie d’aimer à cet homme si séduisant. Il fallait qu’elle réussisse à tout prix, sinon, elle devrait dire adieu à ses rêves d’amoureuse… Célibataire, riche et sexy (Mary Anne Wilson) Tandis qu’il sortait nu d’un bain de mer, à minuit, Connor McKay entendit un bruissement derrière les cocotiers qui bordaient la plage. Il serra les poings de colère : il n’y avait tout de même pas encore une de ces hystériques folles de lui, de son corps et surtout de sa fortune qui le harcelaient depuis qu’il avait été élu Meilleur Parti de l’année ! C’était justement pour ne pas devenir totalement paranoïaque qu’il s’était réfugié incognito dans cet endroit paradisiaque des Caraïbes. Alors cette jeune effrontée allait voir de quel bois il se chauffait…

N° 1150 - Pauvre petite femme (Félix Léonnec)

2,92 €
Extrait : — Allons, mon bon Benoît, il faut nous séparer ; depuis hier soir, déjà, vous n'êtes plus à mon service mais à ceux du duc de Veristein ; ce tour que nous venons de faire ensemble était le dernier fait par moi sur ce domaine depuis si longtemps à mes ancêtres. J'aime mieux le voir vendu à un grand seigneur que de le voir péricliter faute d'argent pour le faire valoir. — Est-il possible, monsieur le comte, que des choses pareilles puissent arriver. J'ai été au service de Monsieur votre père et à ce moment on disait couramment que les comtes de Villerbois étaient quasiment aussi riches que des rois. — Que des rois pauvres, mon brave Benoît, certainement nous avions de quoi faire valoir tout le pays, mais les temps ont changé, la vie a des exigences qui n'existaient pas autrefois…
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