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  • Auteurs: Karen Rose Smith
  • Auteurs: Maurice-Bernard Endrèbe
  • Auteurs: Philippe Jean

N° 256 - Un troublant tête-à-tête (Karen Rose Smith) - Une nuit entre tes bras (Sandra Hyatt)

3,95 €
Un troublant tête-à-tête (Karen Rose Smith) Deuxième volet de la Saga des Foley et des McCord Servir de garde du corps à Gabriella McCord ? Rafe Balthazar n'aurait pu imaginer mission plus difficile et surtout plus désagréable. Comment va-t-il faire en effet pour supporter, vingt-quatre heures sur vingt-quatre, cette richissime héritière à la redoutable réputation ? Car il est de notoriété publique que la belle Gabriella est aussi capricieuse qu'incontrôlable... Une nuit entre tes bras (Sandra Hyatt) Alors qu'elle assiste au mariage de son meilleur ami, Callie succombe au charme d'un inconnu au regard de braise, et passe la nuit en sa compagnie. Pourquoi n'aurait-elle pas le droit, pour une fois, de faire preuve d'un peu d'audace et de céder à ses désirs ? Pourtant, elle ne tarde pas à se rendre compte que ce moment d'égarement, aussi magique fût-il, était en réalité une terrible erreur. Car son mystérieux amant d'une nuit, qu'elle imaginait ne jamais revoir, n'est autre que Nick Brunicadi, son principal concurrent en affaires...

Le langage des fleurs (Maurice-Bernard Endrèbe)

3,50 €
SPECIAL  POLICIER Le langage des fleurs Extrait : Le ciel, bas et terne, éclairait parcimonieusement la ville d'un jour morose. Il faisait, comme on dit, un temps de Toussaint, bien qu'on fût au début de décembre. Les gens qui empruntaient la rue du Moulin levaient machinalement les yeux vers les fenêtres de la villa Edelweiss, et le confort ouaté qu'elles évoquaient à leur esprit leur faisait encore presser davantage le pas…

N° 1752 - Le bonheur au rendez-vous (Karen Rose Smith)

2,56 €
Commencer sa nouvelle vie n'était pas simple et pourtant, au moment de se présenter chez Cooper Murphy, le père de la fillette qui serait désormais son élève, Meredith ne regrettait rien. Après son douloureux divorce en effet, au lieu de continuer à mener l'existence dorée que lui autorisait sa fortune personnelle, elle avait décidé de reprendre les études d'institutrice que son ex-mari l'avait contrainte d'abandonner — pour se prouver qu'elle était capable de mener à bien un projet personnel mais aussi dans l'espoir que le contact avec les enfants atténuerait sa douleur de ne pouvoir devenir mère. Maintenant, songea-t-elle avec une pointe d'angoisse, il restait à souhaiter que Cooper Murphy, qui lui avait fait confiance sans rien savoir de son passé, ne se montrerait pas trop curieux à son égard...

N° 1689 - Une femme unique (Philippe Jean)

4,15 €
Extrait : La nuit était douce. Une brise très légère venait de la mer, juste assez fraîche pour chasser la chaleur accumulée par le sol et les pierres de la villa durant toute une journée ensoleillée sous le ciel sans nuages, de la Côte d'Azur. Marie-Elise et Geneviève avaient mis, sur leurs épaules nues, l'une un châle, l'autre une veste de flanelle. Seule Nora gardait sa tenue de plage. …

N° 1659 - Coeur de pierre (Philippe Jean)

3,74 €
Extrait : Dans tout le village de Brauvoy, on ne voyait que deux lumières en dehors de l'immense clarté qui venait de la place du Marché. C'étaient deux petits lumignons jaunes et tristes : l'un à la ferme des Furet, l'autre dans la maisonnette des Digard. Tous les autres foyers étaient obscurs, car la foule des villageois s'était répandue ce soir-là dans les rues, sur la route, dans les cabarets avoisinant la place où avait lieu le bal. La jeunesse s'en donnait à coeur joie au son d'un orchestre infatigable, tandis que les marmots contemplaient cette agitation avec extase, les doigts dans le nez, ou se poursuivaient à grands cris parmi les couples qu'ils bousculaient. Les jeunes mères étaient assises sous les arbres du mail vaguement éclairés par les derniers reflets des lampes du bal ; elles serraient contre elles leurs enfants endormis, mais elles n'auraient pas voulu être exclues de la fête où, l'année précédente, nombre d'entre elles, encore légères, avaient dansé…

N° 1712 - Prisonnière de son destin (Philippe Jean)

4,50 €
Extrait : — Atelier Didier Dyon ? répéta la concierge. Septième, face. — Merci, madame… Munie du renseignement, Régine attaqua l'escalier, puis sonna… au premier étage. C'était ainsi qu'elle s'y prenait pour forcer le barrage : quand on fait du « porte à porte », le plus dur est de s'introduire dans l'immeuble : aussi relevait-elle dans l'annuaire  le nom d'un locataire qui servait de Sésame ouvre-toi vis-à-vis de la concierge ; et une fois dans la place, elle visitait, un à un, tous les appartements de la maison. Le « truc » n'est pas infaillible. Ainsi, ce matin, depuis que, descendue au métro Montparnasse, elle avait entamé, par en haut, la rue de Rennes, cela n'avait pas encore réussi une seule fois : ou le locataire-clé avait déménagé, ou il était mort, ou il venait de sortir, ou il était en voyage… ou c'était le concierge qui, comme le signalait un écriteau, était « dans l'escalier », et risquait, par conséquent, d'éventer le subterfuge et de chasser, honteusement celle qui cherchait à enfreindre l'interdiction (affichée partout) « aux représentants » et démonstrateurs de pénétrer dans l'immeuble ». Donc, Régine avait essuyé toute une série d'échecs avant d'être, enfin, en mesure de prendre contact avec d'éventuels clients…
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