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  • Auteurs: Jean d'Astor
  • Auteurs: Max Dervioux

Les voleurs de Sophie (Jean d'Astor)

6,98 €
Sophie est la jeune fille la plus exquise que l'on puisse rêver : jolie, intelligente, bien élevée ! Un seul défaut : elle a un faible pour les mauvais garçons. Son excuse : très jeune elle a perdu sa mère et, personne ne surveillant ses lectures, elle s'est intoxiquée de romans policiers. Elle en vient à se passionner pour les exploits de Maxime Brochet, gentleman cambrioleur célèbre digne émule d'Arsène Lupin. Le père de Sophie s'inquiète de ce penchant bizarre, mais c'est surtout sa tante Géraldine, vieille demoiselle pittoresque, qui tire la sonnette d'alarme : qu'adviendra-t-il si Sophie, un jour, se trouve réellement aux prises avec un mauvais garçon ? Or, au cours d'un bal costumé, Sophie danse avec un bel inconnu dont elle tombe éperdument amoureuse. Qui est-il ? Ses propos sont bien étranges, son comportement plus étrange encore…

La belle et le menteur (Jean d'Astor)

2,98 €
Soudain, juste avant l'arrivée, une voiture surgit d'un petit chemin sur la gauche. Les freins hurlent, mais trop tard, et les deux capots s'immobilisent dans un choc violent... Rien de grave, sinon que Jean-François est un simple vendeur de voitures et que cette luxueuse Jaguar n'est pas à lui : il a pour mission de la conduire chez un milliardaire américain, J.F. Lackson, qui vient d'acquérir une propriété en Touraine. Rien de grave, sinon qu'au volant de la voiture adverse se trouve une ravissante jeune fille, Claudine, dont Jean-François tombe instantanément amoureux. Si bien qu'il n'a pas le courage de la détromper quand elle le prend pour Lackson... Un mensonge innocent — mais qui va connaître des prolongements inattendus. Car le hasard malicieux multiplie les quiproquos autour du jeune homme et, bientôt, une idée extravagante germe dans son esprit : pour revoir Claudine, pour s'accorder pendant une semaine une illusion de bonheur, il va se lancer dans la plus folle des aventures. L'amour lui donne toutes les audaces. Jonglant avec les difficultés et les risques, il réussit à vivre intensément son rêve... Mais quel sera le réveil ? Il se le demande anxieusement dès le premier jour — et le lecteur dès les premières pages...

N° 1663 - Le maître des coeurs (Max Dervioux)

3,74 €
Extrait : Renaud Sorel regarda la maison de granit située à l'entrée de cette petite ville du Morbihan où il était venu chercher oubli et solitude. — On dit qu'elle est hantée, remarqua-t-il en souriant. La vieille dame chargée de la location hocha la tête gravement : — Cela dépend des gens qui l'habitent. Ceux qui ont peur, dame… C'est pour ça que le prix en est si bas, m'sieu le Parisien. —Oh ! je ne redoute pas les fantômes, cela m'amuserait même de me rencontrer avec l'un d'eux, fit-il avec quelque ironie. — Monsieur est peut-être venu ici pour faire des expériences ? — Qui sait… Il s'adonnait, en amateur, aux sciences diverses, lorsque l'art, dans lequel il s'était illustré, lui laissait des loisirs. Paysagiste déjà célèbre par ses toiles hardies, Sorel avait révolutionné les lois de la peinture, en la ramenant vers plus de logique tout en laissant aux jeux de la lumière une prépondérance pleine d'intensité…

N° 1630 - L'aveu d'une honte (Max Dervioux)

3,74 €
Extrait : — On peut vous embaucher pour aider à la décoration de la salle, il y aura un grand gala, demain soir au casino et il nous faut des girandoles d'ampoules électriques… Puisque vous vous y connaissez… Pierre Guerlin murmura : — J'accepte… Il avait faim… Après avoir tenté vainement de trouver divers emplois, à Paris, il avait pris le train pour Deauville en plein mois d'août, espérant bien dénicher du travail enfin. Les excellentes études qu'il avait faites ne lui avaient servi à rien mais il possédait à son actif quelque adresse manuelle. C'était son plus sûr bagage. Tous les siens étaient morts, il n'avait pas de bien, que ses deux mains et son cerveau, inutilement meublé des connaissances courantes réclamées dans les examens. C'était un grand garçon au maigre visage, aux yeux d'acier bleu, racé en dépit de ses brusques façons, dues à l'amertume que lui inspiraient ses nombreuses déconvenues dans ses recherches pour une situation. A Deauville il allait pouvoir vivre pendant quelques semaines, puis il repartirait chercher de l'ouvrage ailleurs…

N° 1147 - L'amour aux enchères (Marx Dervioux)

3,05 €
Extrait : Lia Bermin relut plusieurs fois d'un air atterré, la lettre qu'elle tenait entre ses mains... Francis, son petit Francis, c'était impossible... Il n'avait pas fait ça. Elle sentait le sol se dérober sous elle, dans la modeste chambre de cette pension de famille située sur les hauteurs de Dinard. Cette catastrophe était pire que tout, et pourtant, le destin ne l'avait guère ménagée jusqu'alors… Orpheline de père et de mère à dix-huit ans et complètement ruinée, mal préparée pour la lutte, elle avait dû prendre le premier emploi venu, celui de manucure dans un institut de beauté parisien, qui l'avait envoyée sur cette plage pour la saison d'été dans une succursale proche des grands hôtels. Son frère Francis, un peu plus jeune qu'elle, en sortant de l'Ecole du Commerce, avait trouvé un poste de comptable dans une fabrique de Limoges. Brun, autant qu'elle était blonde, séduisant, fougueux, révolté souvent contre le sort rude il avait connu, dans la ville qu'il habitait, une jeune femme mariée dont il avait fait sa maîtresse, et, pour satisfaire les caprices de celle-ci, ne s'était-il pas peu à peu endetté, puis affolé il avait volé une somme de cent mille francs dans la caisse qui lui était confiée : Voilà ce qu'il avouait à sa soeur…

N° 1566 - Tu seras comtesse (Max Dervioux)

3,74 €
Extrait : Mireille regarda avec admiration autour d'elle. Le vieux château, situé en plein Rouergue, d'une si fière allure, entouré de bois, faisait une fameuse opposition avec l'humble logis qu'elle avait habité jusqu'alors, en compagnie de son père, ancien domestique retraité des comtes de Girac. Elle avait passé son enfance en Dordogne, chez sa grand-mère, qui l'avait élevée quand elle était orpheline et pendant que Gustave Méchain était encore en service au manoir de ses maîtres. Mireille avait vécu comme une paysanne, puis elle était entré dans une modeste pension, où elle avait acquis une solide instruction. L'aïeul était morte au moment où la jeune fille atteignait ses dix-huit ans, et son père, qui avait vu ses forces décliner après plusieurs bronchites successives, était revenu vivre auprès d'elle, au pays. A soixante ans, après avoir servi fidèlement le vieux comte de Girac, il avait reçu de lui une pension de trente mille francs. Celle-ci eût été insuffisante s'il n'y avait ajouté le revenu de son petit bien…
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