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  • Auteurs: Magali
  • Auteurs: Max Dervioux

N° 3293 - Le Prince du Désert d'après le roman de Magali

3,75 €
Le prince du désert d'après le roman de Magali Un beau jour, Isabelle annonce à Edith, sa soeur jumelle : « Je vais épouser Mansour, un prince arabe. Il habite un palais maure en Kabylie. » Edith hausse les épaules… Pourtant Isabelle a bien épousé Mansour et il l'a emmenée dans son pays. Edith reçoit, au début, quelques photos lui montrant sa soeur dans un somptueux palais oriental. Ensuite, plus rien… L'angoisse, jour après jour, submerge Edith qui finit par trouver un emploi lui permettant de partir sur place à la recherche de sa jumelle. Là-bas, personne à l'adresse indiquée ! Pire : le couple semble n'avoir jamais existé, personne n'en a entendu parler… Edith trouvera-t-elle un appui auprès de l'inquiétant Rachid qu'elle a rencontré au cours de son voyage ? Dans quelle mesure pourra-t-elle se fier à cet autre prince du désert ? Mystérieuse et fascinante aventure que cette d'Edith, bien attachant roman que « LE PRINCE DU DÉSERT » de Magali, qui nous fait accompagner la jeune fille depuis les montagnes sauvages et grandioses de Kabylie jusqu'en Belgique, avec les merveilles de Bruges.

A quoi pensais-tu, Marion ? (Magali)

3,50 €
A quoi pensait-elle, Marion, à l'aéroport de Nice ? Elle se trompe d'avion, prend celui qui la dépose à Malaga tandis que Stan, son mari, l'attend à leur domicile parisien. Une chance, cette méprise ! L'avion pour Paris s'est écrasé. Aucun rescapé. Marion l'apprend sur le chemin du retour. Elle imagine le choc de Stan quand il va la revoir vivante. Sa surprise, sa joie… Le choc, c'est Marion qui le reçoit, douloureusement, lorsqu'elle pénètre avec précaution dans la maison qu'elle croit endeuillée… Une femme se tient près de Stan. Ses paroles stupéfient la revenante ! Marion ne songe d'abord qu'à s'enfuir. Puis à se venger. Une vengeance qu'elle veut totale et raffinée... Ainsi se retrouve-t-elle peu après dans un vieux château de Sardaigne pour y remplir une étrange mission. Le jeune maître du domaine, l'impérieux Carlo, un soir, la trouble intensément. Mais à quoi penses-tu donc, Marion !

N° 1663 - Le maître des coeurs (Max Dervioux)

3,74 €
Extrait : Renaud Sorel regarda la maison de granit située à l'entrée de cette petite ville du Morbihan où il était venu chercher oubli et solitude. — On dit qu'elle est hantée, remarqua-t-il en souriant. La vieille dame chargée de la location hocha la tête gravement : — Cela dépend des gens qui l'habitent. Ceux qui ont peur, dame… C'est pour ça que le prix en est si bas, m'sieu le Parisien. —Oh ! je ne redoute pas les fantômes, cela m'amuserait même de me rencontrer avec l'un d'eux, fit-il avec quelque ironie. — Monsieur est peut-être venu ici pour faire des expériences ? — Qui sait… Il s'adonnait, en amateur, aux sciences diverses, lorsque l'art, dans lequel il s'était illustré, lui laissait des loisirs. Paysagiste déjà célèbre par ses toiles hardies, Sorel avait révolutionné les lois de la peinture, en la ramenant vers plus de logique tout en laissant aux jeux de la lumière une prépondérance pleine d'intensité…

N° 1630 - L'aveu d'une honte (Max Dervioux)

3,74 €
Extrait : — On peut vous embaucher pour aider à la décoration de la salle, il y aura un grand gala, demain soir au casino et il nous faut des girandoles d'ampoules électriques… Puisque vous vous y connaissez… Pierre Guerlin murmura : — J'accepte… Il avait faim… Après avoir tenté vainement de trouver divers emplois, à Paris, il avait pris le train pour Deauville en plein mois d'août, espérant bien dénicher du travail enfin. Les excellentes études qu'il avait faites ne lui avaient servi à rien mais il possédait à son actif quelque adresse manuelle. C'était son plus sûr bagage. Tous les siens étaient morts, il n'avait pas de bien, que ses deux mains et son cerveau, inutilement meublé des connaissances courantes réclamées dans les examens. C'était un grand garçon au maigre visage, aux yeux d'acier bleu, racé en dépit de ses brusques façons, dues à l'amertume que lui inspiraient ses nombreuses déconvenues dans ses recherches pour une situation. A Deauville il allait pouvoir vivre pendant quelques semaines, puis il repartirait chercher de l'ouvrage ailleurs…

N° 1147 - L'amour aux enchères (Marx Dervioux)

3,05 €
Extrait : Lia Bermin relut plusieurs fois d'un air atterré, la lettre qu'elle tenait entre ses mains... Francis, son petit Francis, c'était impossible... Il n'avait pas fait ça. Elle sentait le sol se dérober sous elle, dans la modeste chambre de cette pension de famille située sur les hauteurs de Dinard. Cette catastrophe était pire que tout, et pourtant, le destin ne l'avait guère ménagée jusqu'alors… Orpheline de père et de mère à dix-huit ans et complètement ruinée, mal préparée pour la lutte, elle avait dû prendre le premier emploi venu, celui de manucure dans un institut de beauté parisien, qui l'avait envoyée sur cette plage pour la saison d'été dans une succursale proche des grands hôtels. Son frère Francis, un peu plus jeune qu'elle, en sortant de l'Ecole du Commerce, avait trouvé un poste de comptable dans une fabrique de Limoges. Brun, autant qu'elle était blonde, séduisant, fougueux, révolté souvent contre le sort rude il avait connu, dans la ville qu'il habitait, une jeune femme mariée dont il avait fait sa maîtresse, et, pour satisfaire les caprices de celle-ci, ne s'était-il pas peu à peu endetté, puis affolé il avait volé une somme de cent mille francs dans la caisse qui lui était confiée : Voilà ce qu'il avouait à sa soeur…

N° 1566 - Tu seras comtesse (Max Dervioux)

3,74 €
Extrait : Mireille regarda avec admiration autour d'elle. Le vieux château, situé en plein Rouergue, d'une si fière allure, entouré de bois, faisait une fameuse opposition avec l'humble logis qu'elle avait habité jusqu'alors, en compagnie de son père, ancien domestique retraité des comtes de Girac. Elle avait passé son enfance en Dordogne, chez sa grand-mère, qui l'avait élevée quand elle était orpheline et pendant que Gustave Méchain était encore en service au manoir de ses maîtres. Mireille avait vécu comme une paysanne, puis elle était entré dans une modeste pension, où elle avait acquis une solide instruction. L'aïeul était morte au moment où la jeune fille atteignait ses dix-huit ans, et son père, qui avait vu ses forces décliner après plusieurs bronchites successives, était revenu vivre auprès d'elle, au pays. A soixante ans, après avoir servi fidèlement le vieux comte de Girac, il avait reçu de lui une pension de trente mille francs. Celle-ci eût été insuffisante s'il n'y avait ajouté le revenu de son petit bien…
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