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  • Auteurs: Mei Boyington
  • Auteurs: William Irish

Monstre Loup et Maître Miam (Mei Boyington)

7,20 €
Tous les animaux ont déserté la forêt, lassés de servir de pitance au loup affamé. Miam le lapin croyait trouver la tranquillité, mais les animaux sont trop nombreux et obligés de vivre les uns sur les autres dans des terriers toujours plus petits. Et que dire de la nourriture, jamais variée, toujours dégoûtante. Miam, qui est un fin gourmet, craque et vole une carotte sur un étal. Le marchand est furieux. Le lapin est obligé de fuir… dans la forêt où le loup, presque mort de faim, est ravi de le retrouver. Quoique… Miam sent vraiment très très mauvais. Mais cela suffira-t-il pour décourager le loup et éviter de finir en civet ? Source : Editions ALICE Jeunesse

N° 3313 - Une douce odeur de jasmin (Jeanne Stephens) - Un cadavre au tombeau (William Irish)

4,50 €
Encarts Lecture BS 3313 à détacher Une douce odeur de jasmin  d'après le roman de Jeanne Stephens St. Augustine, au mois de mai, est ravissant. Carol Adamson, goûte d'autant plus les charmes de cette station balnéaire de Floride qu'elle est là pour travailler. Elle doit illustrer un livre de son cher ami Lloyd, écrivain de renom. Un jour, sur la plage, une fillette l'interpelle. Amanda est seule. Rosa, la Mexicaine la surveille à quelques pas. La petite fille lui parle de son père, trop occupé par ses affaires pour se soucier d'elle. Le désarroi d'Amanda serre le coeur de Carol. Chaque matin, pendant une semaine, elle se rend sur la plage et passe une demi-heure à jouer avec Amanda, sous l'oeil neutre de la Mexicaine. Un jour enfin Amanda invite son amie à venir dîner sur le bateau de son père, Dan Darcy. La stupéfaction est grande quand Carol reconnaît en Darcy l'inconnu qui l'a littéralement chassée, quelque temps auparavant, d'une plage où elle faisait des croquis… Un cadavre au tombeau  d'après une nouvelle policière de William Irish Extrait : Howie m'attendait à la gare avec cet air mi-figue mi-raisin qu'ont les jeunes neveux lorsqu'une vieille fille de tante leur arrive de sa province. Moi, j'espérais bien qu'on se serait manqués, mais j'ai joué de malchance. Je n'étais pas venue à New York depuis 1927, et il y avait quelques fantaisies que j'aurais voulu me payer. Oh ! rien de bien scandaleux…
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