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  • Auteurs: Moka
  • Auteurs: Paul Hervieu

Au pied de l'arc-en-ciel (Moka)

2,92 €
Quand on est en vacances au milieu des moutons et des amandiers, dans une maison sans électricité, qu'il pleut qu qu'on n'a pas le droit de jouer avec sa gameboy, que peut-on faire ? On peut toujours patauger dans les flaques. On peut aller visiter une tour en ruine. On peut aussi perdre son petit frère dans les collines et passer des heures à le chercher. On peut également inventer une chasse au trésor, où les bergers sont des sorciers maléfiques, où le thym est un poison qui fait dormir mille ans si on le respire, où une armée de scorpions garde les pièces d'or et les pierres précieuses. Mais parfois, on croit seulement jouer et il se passe vraiment des choses étranges.

L'esprit de la forêt (Moka)

2,96 €
La Tronche, Crêt Pourri, la Forêt du Massacre… On ne peut pas dire que les noms de lieux soient folichons, dans ce coin du Jura où Rose est forcée de passer trois semaines de vacances chez sa tante, à la place du stage de poney dont elle avait rêvé. Bien sûr, il y a Ludovic, son cousin, dix ans comme elle. Ils pourraient s'amuser ensemble. Mais Rose ne peut pas le souffrir depuis qu'il a dévissé la tête de sa poupée. Et puis il est maussade en ce moment : il s'est foulé le poignet en tombant d'un arbre. Dommage. Car Ludovic a une chambre géniale. C'est le grenier tout entier, aménagé en appartement, avec des bibliothèques partout. Il a interdit à Rose d'y poser ne serait-ce qu'un doigt de pied. Et Rose qui adore lire ! Aussi, le matin où Ludovic part en exploration pour la journée, Rose désobéit. Dans le grenier interdit, elle découvre que tous les livres de son cousin traitent du même sujet : les dragons suisses. Rose se sent pousser des ailes et se fixe un objectif digne des plus grands explorateurs : la chasse au secret de son cousin ! De 8 à 11 ans.

L'Alpe Homicide (Paul Hervieu)

12,00 €
L'Alpe Homicide (Paul Hervieu) Extrait Chapitre I : Quand j'arrivai à Chamonix, la nuit avait depuis longtemps noirci la vallée. Quelques lumières, en ville, indiquaient le seuil des pensions, le pont sur l'Arve et les quatre coins de la place qu'encombrait la compagnie des guides en quête de clients. Ma monture se fraya un passage au milieu de ces groupes patients et taciturnes ; et je l'arrêtai à la porte de l'hôtel de l' Ours . J'étais harassé par quinze heures de chevauchée à travers les montagnes de la Savoie ; et le froid, que les approches de l'automne faisaient descendre sur la pente des glaciers plus intense et plus humide, étreignait mes épaules et raidissait désagréablement mes genoux. J'avalai un bol de punch et je me couchai sans souper. Il est très difficile de s'endormir, dans un hôtel, avant que tout le monde soit au lit. Jusque-là le parquet sonore des couloirs est battu de pas lourds ; les gens de service s'interpellent et remuent des choses retentissantes. Des portes ouvertes crient en se fermant ; d'autres crient dès qu'on les ouvre, et leurs entrebâillements livrent passage aux récoltes pesantes de chaussures que les divers genres de promiscuité ont produites dans chaque chambre. Peu à peu ce tumulte s'apaisa ; mais l'énervement de fatigue où j'étais me tenait éveillé. Et à mesure que les bruits environnants diminuaient de force, mon oreille devenait impressionnable à des sons plus délicats…
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