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  • Auteurs: Brigitte Companys
  • Auteurs: Moka
  • Auteurs: Régine Aldi

Au pied de l'arc-en-ciel (Moka)

2,92 €
Quand on est en vacances au milieu des moutons et des amandiers, dans une maison sans électricité, qu'il pleut qu qu'on n'a pas le droit de jouer avec sa gameboy, que peut-on faire ? On peut toujours patauger dans les flaques. On peut aller visiter une tour en ruine. On peut aussi perdre son petit frère dans les collines et passer des heures à le chercher. On peut également inventer une chasse au trésor, où les bergers sont des sorciers maléfiques, où le thym est un poison qui fait dormir mille ans si on le respire, où une armée de scorpions garde les pièces d'or et les pierres précieuses. Mais parfois, on croit seulement jouer et il se passe vraiment des choses étranges.

N° 203 - L'Abandonnée (Régine Aldi) - Spencer TRACY et Deborah KEN en couverture

3,50 €
L'abandonnée Grand roman d'amour inédit par Régine Aldi Extrait : A une cinquantaine de kilomètres de Salerno, dans une baie dont la beauté ne le cède en rien à celle de Naples, le petit village de Rechi groupe ses maisons blanches et basses, aux toits rouges, aux fenêtres toujours ouvertes comme de grands yeux qui contempleraient la mer. Du village, un sentier grimpe le long de la falaise et, au bord du sentier, d'autres maisons se sont posées ça et là comme autant de nids d'oiseaux accrochés au flanc de ces roches rouges que le soleil du couchant rend plus rouges encore… La dernière est située presque au sommet, c'est une longue bâtisse sans étage, toute de chaux blanchie, avec de petites fenêtres carrées et des volets peints en vert. C'est là que Riggi, le vieux pêcheur est né, c'est là qu'il a grandi, qu'il est devenu un fin pêcheur ; c'est là qu'un jour il a ramené sa femme, du village de Pisciotta…

N° 1713 - Vagabond de ses rêves (Brigitte Companys)

3,74 €
Extrait : Le premier soleil parut en haut de la colline. Il effleura d'un trait vermeil la pointe verte des cyprès, s'allongea sur la pente où les oliviers de déployaient en troupe somptueuse et désordonnée, gagna la route qui s'étirait, claire, entre les ceps. Il parut avancer à pas hésitants, comme un nouveau-né… Mais déjà, dans les combes fraîches, sur les sentes où un peu de nuit bleue s'attardait sous les taillis épais, sa lumière tendre s'insinuait, insensiblement, victorieusement. En déroute, les dernières ombres s'évanouirent, semblèrent rentrer dans la terre, disparaître. Le jour fut là… Alors, la rivière qui faisait, lente, entre les saules, se mit, sembla-t-il à accélérer son mouvement comme si elle avait, elle aussi, à imiter l'effervescence de la nature en éveil : tous les oiseaux qui s'égosillaient dans les branches, les feuilles qui frémissaient plus fort, les poules qui se précipitaient vers l'auge au grains dorés, le marteau du maréchal-ferrant qui arrachait de sourds gémissements à son enclume maltraitée, le charivari  des bidons de lait sur la voiturette de la laitière…
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