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  • Auteurs: Henri Troyat
  • Auteurs: Netty Delance
Viou (Henri Troyat) - Castor Poche N° 93 - Flammarion
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Viou (Henri Troyat) - Castor Poche N° 93

3,45 €
Viou, huit ans, vit depuis la mort de son père au Puy, chez ses grands-parents. Eloignée de sa mère par les circonstances, la vie lui paraît souvent monotone. Viou, au caractère entier et passionné, lutte sans cesse pour retrouver le souvenir de son père. Ses pensées et sa tendresse se tournent vers sa mère qui travaille à Paris. Entre sa grand-mère pieuse et austère que rien ne distrait de la mémoire de son fils disparu, et son grand-père malicieux mais lointain, Viou s'efforce d'affirmer à la fois son caractère et son goût dévorant de la vie.

N° 1558 - Vengeance posthume (Netty Delance)

3,05 €
Extrait : Antonio Tempico s'approcha de la fenêtre, se pencha sur le jardin, d'où montait le rire clair de Madalena. Madalena riait, Madalena était heureuse ! Il n'en fallait pas plus pour le remplir d'une profonde joie. Depuis dix ans, depuis la mort de sa femme, il ne vivait que pour sa fille, sans autre but que la combler, la choyer, lui faire une existence douce. Il travaillait, il gagnait de l'argent, beaucoup d'argent… pour elle. Et, s'il avait de l'ambition, c'était encore et uniquement pour elle. Il s'était promis que, lorsqu'elle aurait dix-huit ans, elle serait une des jeunes filles les plus richement dotées du pays. Il avait eu le courage, alors qu'elle n'était âgée que de huit ans, de s'en séparer, de la confier à une nourrice, et de s'enfoncer dans le fin fond du Mexique pour essayer d'y faire fortune. Plusieurs années durant, il avait mené la vie rude des prospecteurs de pétrole. La chance avait fini par lui sourire. Il se hâta de vendre le terrain pétrolifère qu'il avait découvert et vint s'installer dans une des régions tempérées — terras templados — du pays, sur les contreforts de la Sierra Madre , face au golfe de la Californie…

N° 1710 - Esclave du désir (Netty Delance)

3,74 €
Extrait : D'un même mouvement, tous les pensionnaires déjà attablés inclinèrent la tête avec un rapide coup d'oeil vers la porte. L'homme à qui s'adressait ce salut collectif — en réponse au sien — se désintéressa d'ailleurs immédiatement de l'assistance et gagna à grands pas la table qui lui était réservée. La pension de famille de Mlle Vertuchon comptait deux genres de clientèle : celle qui prenait ses repas à la table d'hôte et la clientèle plus restreinte mais privilégiée qu'on servait par petites tables. A vrai dire, les menus et les rations étaient les mêmes, et la très sensible différence de prix n'était pas justifiés par le blanchissage du linge — on servait sur des nappes de papier. C'était donc, tout simplement, une sorte de taxe supplémentaire imposée aux quelques individualistes qui préféraient la solitude ou l'intimité à la conversation générale, et leurs aises au coude-à-coude… Yvonne, la grosse servante dont les vingt ans opulents se passaient — à tort ! — de soutien-gorge, appelait ironiquement ces délicats les « serviettes » par opposition aux « torchons » qui constituaient le gros des pensionnaires…

La gouvernante française (Henri Troyat) - Castor Poche N° 368

2,74 €
C'est à la veille de la Révolution d'Octobre que Geneviève arrive à Saint-Pétersbourg. Elle a vingt-quatre ans, elle est française, gouvernante des enfants Borissov, et la vie lui semble pleine de promesses. Elle découvre, à travers ses yeux d'étrangère idéaliste, les premiers mois de l'insurrection bolchevique, le dénuement soudain des familles bourgeoises dépossédées de leurs biens, le danger, mais aussi la fougue qui anime les acteurs de ce drame. Geneviève va connaître la passion, la misère, la maladie, la désillusion aussi. Elle va tomber amoureuse de la Russie. Et rien, pas même son retour à Paris, ne pourra plus jamais la détourner de cet amour.

N° 1672 - L'impossible vengeance (Netty Delance)

3,74 €
Extrait : — Je t'assure, dit Simone en riant, que nous sommes venues par là !... Claudine haussa les épaules sans cacher sa mauvaise humeur : — Avec toi, on a toujours des avatars de ce genre !... Il était si simple, trop simple, sans doute, de rester avec les autres, devant la terasse... Mais non, il a fallu aller visiter le parc !... La prochaine fois, je te laisserai aller seule. Au lieu de se fâcher, Simone pouffait. Elle était aussi « parigote » et fille des faubourgs, avec son petit nez en l'air et son accent, que Claudine était racée, distinguée, d'une dignité un peu hautaine d'ailleurs. Et leurs caractères étaient tels que le laissait deviner leur aspect respectif. Belle et dominatrice, Claudine avait, dès son entrée dans la maison Jean-Jacques Flath, subjugué sa camarade de travail dont le coeur sensible ne demandait qu'à se dévouer…
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