Accueil

Accueil

Il y a 5 produits.

Affichage 1-5 de 5 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Madeleine Grattan
  • Auteurs: Netty Delance
  • Auteurs: Rowan Kirby

Frères des brumes (Madeleine Grattan)

5,95 €
Serge est orphelin. Il a heureusement trouvé en Angèle, la fille des maraîchers qui l'ont recueilli et élevé, une véritable soeur. Ensemble ils ont grandi, ensemble ils ont flâné le long de la Garonne. Mystérieusement, Angèle, le soir d'une de ces promenades au bord du fleuve, disparaît sans laisser de traces et semble définitivement perdue. Pourtant Serge garde la certitude absolue, inexplicable, que sa petite soeur est vivante et qu'il la retrouvera. C'est pourquoi il se confie à cet inconnu sympathique qui l'aide à s'embarquer clandestinement à bord du Pandar , cargo au chargement bien suspect et à la destination inconnue ! Après de longs jours de mer et un débarquement difficile sur une île écartée, Serge se trouve brusquement mêlé à un étrange groupe d'enfants. Qui sont-ils ? D'où viennent-ils ? Pourquoi ce malaise lorsque Serge les questionne ? Quelle est cette occupation bizarre qui les absorbe du matin au soir ? Quel est le mystère de « l'île au Jexium » ?

N° 147 - Timide soprano (Rowan Kirby)

2,54 €
Quelques accords, un de ces changements de clé brusques dont Haendel avait le secret, un silence, et ce fut à elle… Vanessa eut le sentiment que sa voix grinçait horriblement. Comment avait-elle eu l'audace d'affirmer à ce musicien de talent qu'elle savait chanter et qu'elle était soprano ?

N° 1558 - Vengeance posthume (Netty Delance)

3,05 €
Extrait : Antonio Tempico s'approcha de la fenêtre, se pencha sur le jardin, d'où montait le rire clair de Madalena. Madalena riait, Madalena était heureuse ! Il n'en fallait pas plus pour le remplir d'une profonde joie. Depuis dix ans, depuis la mort de sa femme, il ne vivait que pour sa fille, sans autre but que la combler, la choyer, lui faire une existence douce. Il travaillait, il gagnait de l'argent, beaucoup d'argent… pour elle. Et, s'il avait de l'ambition, c'était encore et uniquement pour elle. Il s'était promis que, lorsqu'elle aurait dix-huit ans, elle serait une des jeunes filles les plus richement dotées du pays. Il avait eu le courage, alors qu'elle n'était âgée que de huit ans, de s'en séparer, de la confier à une nourrice, et de s'enfoncer dans le fin fond du Mexique pour essayer d'y faire fortune. Plusieurs années durant, il avait mené la vie rude des prospecteurs de pétrole. La chance avait fini par lui sourire. Il se hâta de vendre le terrain pétrolifère qu'il avait découvert et vint s'installer dans une des régions tempérées — terras templados — du pays, sur les contreforts de la Sierra Madre , face au golfe de la Californie…

N° 1710 - Esclave du désir (Netty Delance)

3,74 €
Extrait : D'un même mouvement, tous les pensionnaires déjà attablés inclinèrent la tête avec un rapide coup d'oeil vers la porte. L'homme à qui s'adressait ce salut collectif — en réponse au sien — se désintéressa d'ailleurs immédiatement de l'assistance et gagna à grands pas la table qui lui était réservée. La pension de famille de Mlle Vertuchon comptait deux genres de clientèle : celle qui prenait ses repas à la table d'hôte et la clientèle plus restreinte mais privilégiée qu'on servait par petites tables. A vrai dire, les menus et les rations étaient les mêmes, et la très sensible différence de prix n'était pas justifiés par le blanchissage du linge — on servait sur des nappes de papier. C'était donc, tout simplement, une sorte de taxe supplémentaire imposée aux quelques individualistes qui préféraient la solitude ou l'intimité à la conversation générale, et leurs aises au coude-à-coude… Yvonne, la grosse servante dont les vingt ans opulents se passaient — à tort ! — de soutien-gorge, appelait ironiquement ces délicats les « serviettes » par opposition aux « torchons » qui constituaient le gros des pensionnaires…

N° 1672 - L'impossible vengeance (Netty Delance)

3,74 €
Extrait : — Je t'assure, dit Simone en riant, que nous sommes venues par là !... Claudine haussa les épaules sans cacher sa mauvaise humeur : — Avec toi, on a toujours des avatars de ce genre !... Il était si simple, trop simple, sans doute, de rester avec les autres, devant la terasse... Mais non, il a fallu aller visiter le parc !... La prochaine fois, je te laisserai aller seule. Au lieu de se fâcher, Simone pouffait. Elle était aussi « parigote » et fille des faubourgs, avec son petit nez en l'air et son accent, que Claudine était racée, distinguée, d'une dignité un peu hautaine d'ailleurs. Et leurs caractères étaient tels que le laissait deviner leur aspect respectif. Belle et dominatrice, Claudine avait, dès son entrée dans la maison Jean-Jacques Flath, subjugué sa camarade de travail dont le coeur sensible ne demandait qu'à se dévouer…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire