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  • Auteurs: Ariette Prêle
  • Auteurs: Nicola Marsh

Irrésistibles patrons (Collectif)

4,50 €
Idylle à Manhattan (Trish Wylie) Secrètement amoureuse de son patron, le très séduisant Quinn Cassidy, Clare — quand elle comprend qu'elle n'a rien à espérer de lui — décide de lui présenter sa démission et de réaliser son rêve : créer une agence de rencontres haut de gamme. Mais Quinn, curieusement, semble déçu et très contrarié de la voir partir… Afin de ne pas rompre tout contact avec elle, il lui fait une surprenante proposition : être son premier client car, prétend-il, il doit à tout prix trouver très vite une épouse bien sous tous rapports… Mariage surprise pour Lola (Nicola Marsh) Animer un enterrement de vie de jeune fille pendant une semaine ? Quelle aubaine, pour Lola, qui a bien besoin de renflouer ses finances. D’autant que Chase Etheridge, qui l’a embauchée pour cette mission, est tout à fait charmant… pour ne pas dire irrésistible. Mais il faut qu’elle se reprenne : on ne tombe pas amoureuse de son patron ! Même s’il vous lance des regards troublants… Une attirance imprévisible (Jennie Adams) Sophia est enthousiasmée. Elle vient de décrocher un poste d’assistante chez Grey Barlow, un célèbre homme d’affaires qu’elle va seconder pendant sa convalescence. Une chance pour elle de faire enfin ses preuves ! Cependant, quand elle découvre son nouveau patron, Sophia pressent tout de suite que sa mission sera plus difficile que prévu. Car Grey, qui se révèle aussi irritable qu’étrangement attirant, éveille immédiatement en elle un imprévisible désir…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait  : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1892 - Amour ne dure (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : — Eloignez donc cette lampe de la fenêtre, Patricia. Les papillons sont insupportables ce soir, je n'en ai jamais autant vus ! Patricia mit quelques secondes à s'arracher à la fascination qu'exerçait sur elle le tournoiement affolé des insectes qu'attirait la lumière... Il y en avait de beiges piquetés de brun, des gris pâles qu'une main mystérieuse et habile s'était plu, semblait-il, à orner de délicates arabesques plus foncées, de funèbres dont les lunules noires, ovales, avaient l'apparence d'yeux veloutés taillés en amande… D'autres étaient casqués de fourrure fauve comme des lions minuscules, d'autres encore, d'une coquetterie discrète, laissaient entrevoir des éclairs de flamme sous un uniforme de cendre. — Vous avez entendu ce que je vous ai dit, Patricia, ou vous dormez ? La jeune femme se leva silencieusement, emporta dans ses bras le foyer lumineux qui était une potiche de Chine « sang de boeuf » enjuponnée de taffetas paille…

N° 1884 - A la lumière de cet été (Ariette Prêle)

3,74 €
Extrait : A l'heure de la sieste, la maisonnée tout entière plongeait dans le silence. Chacun était libre de dormir où il voulait : dans l'ombre de la sapinette sur les aiguilles de pins qui revêtaient la mousse d'une natte sèche et luisante, dans le fenil obscur plein de l'entêtante odeur des herbes rêches, dans l'ancienne magnanerie si l'on ne craignait pas les mouches ou dans la « chambre verte » que Sheila préférait à tout le reste. Mais elle arrivait rarement à s'annexer ce lieu de délices situé dans une aile inhabitée de la demeure, baignée de lumière glauque et de fraîcheur particulièrement favorables au sommeil : Delia et sa mère l'occupaient à tour de rôle, sauf cet après-midi là, puisque depuis le matin elles étaient parties faire des courses en ville. Sadi — le mari de Délia — Chris, le frère de Sheila et de Délia, Chad Maddelin enfin, le chef de la famille, allaient choir sur des couches improvisées aux alentours de la maison : sapinette, fenil, voire même bûcher ou buanderie quand il faisait très chaud comme aujourd'hui…
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