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  • Auteurs: Barbara Sydney
  • Auteurs: Nicola Marsh
  • Auteurs: Sabine Bernard-Derosne
Une nuit sur l'Acropole (Sabine Bernard-Derosne) - Delphine N° 246 - Les Éditions Mondiales
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N° 246 - Une nuit sur l'Acropole (Sabine Bernard-Derosne)

3,95 €
Extrait : Quand Brigitte vint s'asseoir à table, son père, le professeur Hustache, la regarda avec étonnement. Il y avait même de la stupeur dans les yeux du vieil homme, un peu voilés par l'âge, mais toujours très bleus derrière les verres des lunettes. On eût dit que, tout à coup, à la place de Brigitte, il considérait une jeune fille inconnue. — Qu'y a-t-il, papa ? Tu ne te sens pas bien ? Il passa le revers d'une main sur son front. L'étrange expression se dissipa. Il sourit avec bonté. — Mais si, ma chérie, je vais très bien, autant que l'on puisse jouir d'une santé florissante quand on vient tout juste d'atteindre son soixante-quinzième anniversaire. — Oh ! papa, tu as le coeur si jeune ! — Cela dépend de ce que tu appelles le coeur. S'il s'agit de cet organe essentiel du corps humain que l'on divise en deux oreillettes et deux ventricules, il bat, parait-il, trop lentement. Mon sang s'alourdit, comme mes muscles. Comme mon esprit, parfois… A quoi bon parler de ces choses tristes ? Vieillir est le sort commun, hélas !…

Domino N° 4 - Le matador bien aimé (Barbara Sydney)

5,95 €
Extrait : Les chapeaux et les mantilles volèrent dans l'arène, les applaudissements et les ovations jaillirent des gradins comme des bouquets multicolores de feux d'artifice. Un vrai délire s'était emparé des spectateurs et des spectatrices dont on sentait les nerfs mis à vif dans une surexcitation du regard et de l'âme qui les livrait à des transports fous. José Cazilla, le toréador à qui s'adressaient ces ovations enthousiastes, s'avança de sa démarche souple et balancée comparable à celle d'un danseur chorégraphe, vers la loge du Président à qui il allait remettre, selon la tradition, l'oreille du taureau qu'il venait de tuer en faisant preuve d'une audace et d'une témérité jusque-là encore inégalées. C'était là la suprême récompense que l'on pouvait donner à un matador et les vieux amateurs de corridas  affirmaient qu'ils n'avaient jamais vu une aussi remarquable démonstration…

Irrésistibles patrons (Collectif)

4,50 €
Idylle à Manhattan (Trish Wylie) Secrètement amoureuse de son patron, le très séduisant Quinn Cassidy, Clare — quand elle comprend qu'elle n'a rien à espérer de lui — décide de lui présenter sa démission et de réaliser son rêve : créer une agence de rencontres haut de gamme. Mais Quinn, curieusement, semble déçu et très contrarié de la voir partir… Afin de ne pas rompre tout contact avec elle, il lui fait une surprenante proposition : être son premier client car, prétend-il, il doit à tout prix trouver très vite une épouse bien sous tous rapports… Mariage surprise pour Lola (Nicola Marsh) Animer un enterrement de vie de jeune fille pendant une semaine ? Quelle aubaine, pour Lola, qui a bien besoin de renflouer ses finances. D’autant que Chase Etheridge, qui l’a embauchée pour cette mission, est tout à fait charmant… pour ne pas dire irrésistible. Mais il faut qu’elle se reprenne : on ne tombe pas amoureuse de son patron ! Même s’il vous lance des regards troublants… Une attirance imprévisible (Jennie Adams) Sophia est enthousiasmée. Elle vient de décrocher un poste d’assistante chez Grey Barlow, un célèbre homme d’affaires qu’elle va seconder pendant sa convalescence. Une chance pour elle de faire enfin ses preuves ! Cependant, quand elle découvre son nouveau patron, Sophia pressent tout de suite que sa mission sera plus difficile que prévu. Car Grey, qui se révèle aussi irritable qu’étrangement attirant, éveille immédiatement en elle un imprévisible désir…

Domino N° 4 - Le matador bien aimé (Barbara Sydney)

2,90 €
Extrait : Les chapeaux et les mantilles volèrent dans l'arène, les applaudissements et les ovations jaillirent des gradins comme des bouquets multicolores de feux d'artifice. Un vrai délire s'était emparé des spectateurs et des spectatrices dont on sentait les nerfs mis à vif dans une surexcitation du regard et de l'âme qui les livrait à des transports fous. José Cazilla, le toréador à qui s'adressaient ces ovations enthousiastes, s'avança de sa démarche souple et balancée comparable à celle d'un danseur chorégraphe, vers la loge du Président à qui il allait remettre, selon la tradition, l'oreille du taureau qu'il venait de tuer en faisant preuve d'une audace et d'une témérité jusque-là encore inégalées. C'était là la suprême récompense que l'on pouvait donner à un matador et les vieux amateurs de corridas  affirmaient qu'ils n'avaient jamais vu une aussi remarquable démonstration…
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