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  • Auteurs: C. Fongrave
  • Auteurs: Olaf Swenson

Au pays du renard blanc (Olaf Swenson) - Souvenirs d'un trafiquant de fourrures

5,80 €
Le Pays du Renard Blanc, c'est la Sibérie septentrionale, vaste étendue de toundras glacées, aux fleuves immenses, où les animaux à fourrure sont plus nombreux que partout au monde. La vie d'Olaf Swenson, fils d'un suédois émigré, s'est passée en allées et venues incessantes, de l'Alaska aux côtes sibériennes, par le détroit de Behring, pour assurer un commerce d'échange vital entre les Etats-Unis et cette région quasi désertique de la Russie d'Asie. Chacune des quarante années de sa carrière de trafiquant de fourrures a été fertile en aventures de toutes sortes : navigations dans les dangereuses mers arctiques, hivernages forcés, raids en traîneaux à chiens et à rennes, pittoresques collectes des fourrures et la chasse ! Son livre fourmille d'histoires étonnantes, où le pathétique le dispute sans cesse à l'humour, et qui mettent en relief le courage, la solidarité, l'énergie incroyable de ces coureurs des glaces autant que l'endurance et la résignation des Sibériens, pauvres et hospitaliers, perdus dans ce pays infernal. Les jeunes garçons et filles à partir de 10 ans, aimeront ce roman vécu du Grand Nord, plein d'émotion et de gaïté, dans lequel on sent passer le vent pur et salubre du pôle.

N° 1031 - Ce que femme veut ! (C. Fongrave)

3,74 €
Extrait : Elle lui tenait les deux mains et le considérait avec tendresse : — Voyons, Pierre, du courage ! Père changera peut-être d'idée. Actuellement il semble buté et il serait dangereux de le harceler. Le jeune homme sourit avec amertume : — Si tu m'aimais autant que je t'aime, tu ne me conseillerais pas aussi aisément la patience. Des larmes brillèrent au bord de ses longs cils dorés et elle serra plus fort les mains de l'aimée : — Ne dis pas cela, tu me déchires le coeur. Je ne te conseille pas la patience, mais la sagesse. Père tient absolument à ce que son gendre soit riche ; il ne veut pas, prétend-il, que je connaisse la médiocrité dans laquelle il a vécu toute sa vie. Tu sais que cette pauvreté auprès de toi ne m'effrayerait pas, mais il affirme que j'ignore tout de l'existence. Nous en sommes là. Evidemment, c'est triste, mais comment passer outre sans causer un mortel chagrin à mon pauvre papa…

N° 922 - L'épreuve sentimentale (C. Fongrave)

3,74 €
Extrait : Les deux jeunes gens se serrèrent la main cordialement et Jean s'éloigna à grands pas, se dirigeant vers le château. A une courte distance, il ralentit et balbutia, se parlant à lui-même : — Pauvre Roger !… Je comprends sa pensée, quoiqu'il la taise avec soin… Mais je n'y puis rien… Pierrette m'aime… et moi je l'adore, le hasard a tout fait. Il leva la tête et aperçut le château, tout près, qui formait une tache grise au milieu de la verdure. Son regard se tourna machinalement vers une des fenêtres du rez-de-chaussée et un sourire détendit ses traits. Aussitôt, il marcha plus vite et escalada le perron. Comme il franchissait le seuil, une voix rieuse s'écria : — Comme ru es resté longtemps, vagabond !…
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