Accueil

Accueil

Il y a 4 produits.

Affichage 1-4 de 4 article(s)

Filtres actifs

  • Auteurs: Jacques Sanluys
  • Auteurs: Paul Féval
Frère Tranquille (Paul Féval) - Albin Michel
-40%
  • Promo !
  • -40%

Frère Tranquille (Paul Féval)

6,00 € 10,00 € -40%
Extrait : Tout à fait à la fin du XVe siècle, il y avait en dehors de la porte Bucy, derrière les bâtiments de l'abbaye Saint-Germain-des-Près, deux logis qui se regardaient. L'un était le noble château de la Marche, qui allait devenir l'hôtel du même nom, l'autre était une modeste auberge tenue par Joseph Pavot, dont le principal titre était d'être l'époux légitime de la Pavot, femme célèbre…
La Fête du Roi Salomon (Paul Féval) - Suite de Frère Tranquille - Albin Michel
-40%
  • Promo !
  • -40%

La Fête du Roi Salomon (Paul Féval) - Suite de Frère Tranquille

6,00 € 10,00 € -40%
Extrait : Jean le Blond, costumé en page de la reine de Saba avec la vérité de style que nous avons dite, se promenait, de long en large devant la principale entrée de la tente. Si quelqu'un avait remarqué notre beau jeune homme, alors qu'il était vêtu de sa casaque de gros drap et de son pauvre manteau, on doit penser que ce quelqu'un se serait étonné de le retrouver sous sa brillante livrée…

Le loup blanc (Paul Féval)

3,50 €
La révolte couve en Bretagne où le pouvoir absolu du Régent Philippe d'Orléans pèse très lourdement. Alors, un farouche seigneur Breton, Nicolas Treml de la Tremlays, se dresse contre l'oppresseur et provoque en duel le Régent de France. Hélas ! ce geste désespéré laisse sous la tutelle du rapace Hervé de Vaunoy tous les biens de Nicolas, ainsi que la vie de son seul fils, le petit Georges…

N° 1917 - Le dernier mot du coeur (Jacques Sanluys)

3,95 €
Extrait : A regret je franchis le portillon. C'était stupide d'avoir choisi le métro comme moyen de transport ! Il y avait une vingtaine d'arrêts, deux changements, pour aller jusqu'à « La Fourche ». Un bien long voyage ! Je m'étais privée sans raison du beau soleil d'octobre... Le bruit de la rame qui arrivait coupa court à mes réflexions. Trop tard pour changer d'avis !... Je me dirigeai vers le milieu du quai, là où allait venir se placer le wagon des « premières ». Des cris d'effroi, soudain me glacèrent… Le train stoppa net, durement. Des gens s'élancèrent vers la voiture de tête. Le conducteur sortit d'un bond de sa cabine. Il sauta sur la voie, suivi par le chef de train… Déjà, des voyageurs formaient un cercle. Je ne voulu pas me mêler à la foule. C'était un suicide, sans aucun doute. L'affreux spectacle ne m'attirait pas ! Le chef de station, qui s'était précipité pour aider ses camarades de travail à secourir la victime revenait au pas de charge vers la cabine vitrée qui lui sert de bureau…
close Shopping Cart

Nouveau compte S'inscrire