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  • Auteurs: Kristi Gold
  • Auteurs: Pepper Adams
  • Auteurs: Philippe Jean

N° 11 - Marions-nous Savanah (Pepper Adams)

2,56 €
— Dites-moi, docteur Beaulieu, comment connaissez-vous Savanah ? demanda aimablement la vieille dame. Gordon s'agita nerveusement sur son siège, très mal à l'aise. — Euh… Je l'ai rencontrée pendant ses études d'infirmière. Heureusement, tante Jasmine sembla se satisfaire de cette réponse plutôt succincte. Peu fier de lui, Gordon évita son regard. La pauvre… Comment aurait-elle pu imaginer ? L'homme qu'elle avait accueilli avec tant de gentillesse, cet homme d'allure si respectable, avait cinq ans auparavant épousé son innocente petite nièce… Et il n'était venu que pour la lui reprendre.

N° 1350 - Le lien du désir (Kristi Gold)

2,15 €
Riches, beaux et célibataires, ils se lancent un défi : ne pas se marier pendant une décennie ! Mais la neuvième année va se révéler pleine de surprises… De retour à Quail Run pour assister au mariage d’une amie, Tori Barnett n’a pas l’intention de s’attarder dans cette petite ville perdue de l’Oklahoma où elle a vécu une enfance marquée par le mépris des habitants pour sa mère célibataire… N’a-t-elle pas prévu de repartir dès le lendemain à Dallas où l’attend son travail de reporter dans un magazine féminin ? Mais la veille de la réception, elle aperçoit Mitch Warner au bar local, le célèbre héritier d’une grande famille de la région, qui a tourné le dos à la vie mondaine pour s’occuper de son splendide ranch. Pour Tori, c’est là une occasion inespérée d’obtenir une interview de ce célibataire convoité par les plus belles filles de la jet set et poursuivi par la presse — qu’il n’apprécie guère. Et alors qu’elle se demande comment l’aborder avec diplomatie et discrétion, Mitch l’invite à danser…

N° 1134 - Désir sous surveillance (Kristi Gold)

2,56 €
Pour la première fois de sa vie, Erin tenait les guides de son existence. Enfin, elle était en mesure, par son indépendance, de prouver à son intransigeant de père qu'elle savait très bien pourvoir à son épanouissement personnel, et que les ambitions qu'il avait pour elle n'étaient pas la panacée. Alors, maintenant qu'elle avait enfin secoué le joug de l'autorité paternelle, elle n'allait certainement pas laisser un autre homme essayer de la mettre au pas. Et c'était exactement ce que Zach projetait de faire, elle s'en rendait bien compte ! Que s'imaginait-il ? Que les moments torrides qu'ils passaient ensemble lui donnaient des droits sur elle ? Que la façon très sensuelle qu'ils avaient de croquer, ensemble, les plaisirs de la vie lui permettait de la prendre sous son aile ? Tss, tss, pas de ça. D'un autre côté, elle ne voulait pas renoncer à leur badinage érotique, à leur tendre relation... Mon dieu, qu'il était difficile d'être libre ! songea-t-elle. Comment allait-il concilier amour et émancipation ?

N° 1689 - Une femme unique (Philippe Jean)

4,15 €
Extrait : La nuit était douce. Une brise très légère venait de la mer, juste assez fraîche pour chasser la chaleur accumulée par le sol et les pierres de la villa durant toute une journée ensoleillée sous le ciel sans nuages, de la Côte d'Azur. Marie-Elise et Geneviève avaient mis, sur leurs épaules nues, l'une un châle, l'autre une veste de flanelle. Seule Nora gardait sa tenue de plage. …

N° 1659 - Coeur de pierre (Philippe Jean)

3,74 €
Extrait : Dans tout le village de Brauvoy, on ne voyait que deux lumières en dehors de l'immense clarté qui venait de la place du Marché. C'étaient deux petits lumignons jaunes et tristes : l'un à la ferme des Furet, l'autre dans la maisonnette des Digard. Tous les autres foyers étaient obscurs, car la foule des villageois s'était répandue ce soir-là dans les rues, sur la route, dans les cabarets avoisinant la place où avait lieu le bal. La jeunesse s'en donnait à coeur joie au son d'un orchestre infatigable, tandis que les marmots contemplaient cette agitation avec extase, les doigts dans le nez, ou se poursuivaient à grands cris parmi les couples qu'ils bousculaient. Les jeunes mères étaient assises sous les arbres du mail vaguement éclairés par les derniers reflets des lampes du bal ; elles serraient contre elles leurs enfants endormis, mais elles n'auraient pas voulu être exclues de la fête où, l'année précédente, nombre d'entre elles, encore légères, avaient dansé…

N° 1712 - Prisonnière de son destin (Philippe Jean)

4,50 €
Extrait : — Atelier Didier Dyon ? répéta la concierge. Septième, face. — Merci, madame… Munie du renseignement, Régine attaqua l'escalier, puis sonna… au premier étage. C'était ainsi qu'elle s'y prenait pour forcer le barrage : quand on fait du « porte à porte », le plus dur est de s'introduire dans l'immeuble : aussi relevait-elle dans l'annuaire  le nom d'un locataire qui servait de Sésame ouvre-toi vis-à-vis de la concierge ; et une fois dans la place, elle visitait, un à un, tous les appartements de la maison. Le « truc » n'est pas infaillible. Ainsi, ce matin, depuis que, descendue au métro Montparnasse, elle avait entamé, par en haut, la rue de Rennes, cela n'avait pas encore réussi une seule fois : ou le locataire-clé avait déménagé, ou il était mort, ou il venait de sortir, ou il était en voyage… ou c'était le concierge qui, comme le signalait un écriteau, était « dans l'escalier », et risquait, par conséquent, d'éventer le subterfuge et de chasser, honteusement celle qui cherchait à enfreindre l'interdiction (affichée partout) « aux représentants » et démonstrateurs de pénétrer dans l'immeuble ». Donc, Régine avait essuyé toute une série d'échecs avant d'être, enfin, en mesure de prendre contact avec d'éventuels clients…
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