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  • Auteurs: Gladys Davidson
  • Auteurs: Peter Lerangis
La route d'Eldorado (Peter Lerangis) - MANGO Jeunesse
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La route d'Eldorado (Peter Lerangis)

2,15 €
Miguel et Tulio, deux aventuriers en quête d'or et de gloire Après avoir gagné une carte d'Eldorado en trichant aux dés, Miguel et Tulio s'embarquent pour l'aventure de leur vie. Ensemble, ils bravent les océans déchaînés, souffrent de la faim et de la soif, et s'enfoncent dans la jungle profonde, à la recherche de la mythique cité d'or. Pris pour des dieux, ils sont accueillis à bras ouverts dans la fabuleuse cité. Mais des forces maléfiques oeuvrent à Eldorado. Finalement, après s'être battus pour sauver la cité d'une destruction certaine, Miguel et Tulio font une découverte capitale : leur amitié est plus précieuse que tout l'or et la gloire que peut offrir Eldorado.

N° 706 - La rose magique (Gladys Davidson)

12,00 €
Extrait : I - Deux Princes Il était une fois un vieux Roi fort riche, qui avait un très méchant fils et un neveu très bon. Le fils se nommait le prince Ragio ; et ce nom lui allait à merveille, car on ne vit jamais Prince plus désagréable, plus laid, plus stupide, et d'un caractère plus mauvais, dans tout le Monde des fées. Personne ne l'aimait, et le peuple tremblait à la pensée qu'un jour il serait le maître ; car, au lieu de s'occuper des affaires de l'état, comme un Prince sage doit le faire, il passait tout son temps à s'amuser avec des compagnons de paresse, et il faisait toujours le mal partout où il allait. Sa mauvaise conduite était un perpétuel sujet de douleur pour son père, et le pauvre vieux Roi en fut devenu fou, n'eût été la bonté de son neveu, le prince Florizel, qui l'aidait de son mieux et lui était, en vérité, une grande consolation. Ce jeune Prince était aussi beau que son cousin était laid ; il était aimable, intelligent, plein de vaillance et de noblesse. Il assistait aux conseils et prêtait au vieux Roi toute l'assistance qu'il pouvait ; plus d'une fois, grâce à ses sages avis, on put se tirer d'ennuis causés par la conduite déréglée du prince Ragio. Le peuple aimait le prince Florizel, et l'aurait bien voulu pour Roi ; mais, pendant longtemps, il garda ce voeu secret, tant il craignait que le méchant Prince ne tuât son favori…
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