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  • Auteurs: Comtesse de Ségur
  • Auteurs: Philippe Jean

Les deux nigauds (Comtesse de Ségur)

2,95 €
Paris ? Tout le monde y va. Il n'y a que Simplicie et Innocent pour n'y être jamais allés. Vraiment, c'est trop bête : nos deux amis sont bien décidés à quitter leur douce mais plate campagne pour aller voir de plus près les piquantes merveilles de la grande ville…

N° 196 - Pauvre Blaise (Comtesse de Ségur)

3,42 €
La droiture, la bonté du petit Blaise font la joie de ses parents, M. et Mme Anfry. Le bonheur de cette aimable famille est malheureusement troublé par l'arrivée au château dont ils sont les gardiens, de nouveaux maîtres hautains et durs. Jules, le jeune garçon, tyrannise à souhait le pauvre Blaise, dont il exige la compagnie et qu'il ne manque pas une occasion de calomnier auprès de son père… Mais la patience, l'admirable générosité du petit garçon finiront par triompher de tant de malice, car les coeurs les plus secs sont finalement vaincus par l'innocence et la bonté. Pour Filles et Garçons de 8 à 12 ans.

L'Auberge de l'Ange-Gardien (Comtesse de Ségur)

3,50 €
Deux enfants dorment au bord d'une grande route, sous un vieux chêne touffu… Il fait froid. Ils n'ont rien à manger. Leur mère est morte, leur père a été emmené par les gendarmes; Si le début de cette histoire paraît triste, il n'en va pas de même de la suite, car le hasard veut qu'un brave sergent démobilisé passe sur la route. Délaissant l'auberge Bournier, dirigée par un couple cupide, c'est vers l'Auberge de l'Ange-Gardien qu'il dirigera ses protégés et ni eux ni ses lecteurs n'auront à s'en plaindre. Mille péripéties les y attendent dont la fantaisie, la gaieté et le charme ont fait de ce roman de la comtesse de Ségur l'un de ses plus remarquables succès.

Les deux nigauds (Comtesse de Ségur)

3,50 €
Simplicie et son frère Innocent sont deux enfants de la campagne bretonne qui ne rêvent que d'une chose : vivre à Paris. Après avoir suppliés leurs parents, ils partent pour la capitale accompagnés de leur bonne Prudence. Les désillusions arrivent vite car ces deux enfants gâtés, suffisants et orgueilleux, ne comprennent pas l'accueil que leur réservent les parisiens. Nos deux nigauds finissent par comprendre que la campagne et leurs parents valent largement bien leurs désirs vaniteux. (Source : Editions Casterman)

N° 807 - Un bon petit diable (Comtesse de Ségur)

2,97 €
Orphelin, Charles vit en Écosse chez Madame Mac'Miche, une vieille cousine avare et féroce. Pour se venger de la méchanceté de cette dernière, le jeune garçon imagine mille farces et astuces pour lui jouer de mauvais tours. Mais voilà que la cousine décide de se débarrasser de lui, en l'envoyant dans la sinistre pension de M. Old Nick ! Soutenu par Betty, la domestique, et par la douce et tendre Juliette, notre bon petit diable devra faire preuve de beaucoup de finesse afin d'échapper à ce terrible sort…

N° 1689 - Une femme unique (Philippe Jean)

4,15 €
Extrait : La nuit était douce. Une brise très légère venait de la mer, juste assez fraîche pour chasser la chaleur accumulée par le sol et les pierres de la villa durant toute une journée ensoleillée sous le ciel sans nuages, de la Côte d'Azur. Marie-Elise et Geneviève avaient mis, sur leurs épaules nues, l'une un châle, l'autre une veste de flanelle. Seule Nora gardait sa tenue de plage. …

Histoire de Blondine suivi de Ourson (La Comtesse de Ségur) - Le Livre de Poche N° 77

2,56 €
Une méchante belle-mère, un page trop gourmand, et voilà la princesse Blondine perdue dans la forêt des Lilas. Elle y découvre un superbe château, où vivent une biche et un chat. Veulent-ils son bonheur ou faut-il s'en méfier, comme le dit le perroquet ? La fée Rageuse persécute le pauvre Ourson et son amie Violette. Pour venir à bout de tant d'épreuves, il leur faudra beaucoup de courage et d'amour. À partir de 8 ans.

N° 1659 - Coeur de pierre (Philippe Jean)

3,74 €
Extrait : Dans tout le village de Brauvoy, on ne voyait que deux lumières en dehors de l'immense clarté qui venait de la place du Marché. C'étaient deux petits lumignons jaunes et tristes : l'un à la ferme des Furet, l'autre dans la maisonnette des Digard. Tous les autres foyers étaient obscurs, car la foule des villageois s'était répandue ce soir-là dans les rues, sur la route, dans les cabarets avoisinant la place où avait lieu le bal. La jeunesse s'en donnait à coeur joie au son d'un orchestre infatigable, tandis que les marmots contemplaient cette agitation avec extase, les doigts dans le nez, ou se poursuivaient à grands cris parmi les couples qu'ils bousculaient. Les jeunes mères étaient assises sous les arbres du mail vaguement éclairés par les derniers reflets des lampes du bal ; elles serraient contre elles leurs enfants endormis, mais elles n'auraient pas voulu être exclues de la fête où, l'année précédente, nombre d'entre elles, encore légères, avaient dansé…

N° 1712 - Prisonnière de son destin (Philippe Jean)

4,50 €
Extrait : — Atelier Didier Dyon ? répéta la concierge. Septième, face. — Merci, madame… Munie du renseignement, Régine attaqua l'escalier, puis sonna… au premier étage. C'était ainsi qu'elle s'y prenait pour forcer le barrage : quand on fait du « porte à porte », le plus dur est de s'introduire dans l'immeuble : aussi relevait-elle dans l'annuaire  le nom d'un locataire qui servait de Sésame ouvre-toi vis-à-vis de la concierge ; et une fois dans la place, elle visitait, un à un, tous les appartements de la maison. Le « truc » n'est pas infaillible. Ainsi, ce matin, depuis que, descendue au métro Montparnasse, elle avait entamé, par en haut, la rue de Rennes, cela n'avait pas encore réussi une seule fois : ou le locataire-clé avait déménagé, ou il était mort, ou il venait de sortir, ou il était en voyage… ou c'était le concierge qui, comme le signalait un écriteau, était « dans l'escalier », et risquait, par conséquent, d'éventer le subterfuge et de chasser, honteusement celle qui cherchait à enfreindre l'interdiction (affichée partout) « aux représentants » et démonstrateurs de pénétrer dans l'immeuble ». Donc, Régine avait essuyé toute une série d'échecs avant d'être, enfin, en mesure de prendre contact avec d'éventuels clients…
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