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  • Auteurs: Joseph-Louis Sanciaume
  • Auteurs: Philippe Jean
Princesse d'un jour (Joseph-Louis Sanciaume) - Collection Mirabelle N° 41 - Editions des Remparts
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N° 41 - Princesse d'un jour (Joseph-Louis Sanciaume)

9,90 €
Florence quitta le chalet et s'aventura dans un sentier de montagne... Si le colonel Werden s'apercevait de son absence, quelle scène ! Soudain, elle entendit des pas, tira vite de son sac ses lunettes noires. Un garçon débouchait du sentier : jeune et brun, avec des épaules droites et larges... Il la salua, elle répondit. Ils lièrent connaissance. — Voulez-vous que je vous apprenne à passer la frontière de Sylvistrie au nez et à la barbe des douaniers ? Quelques minutes plus tard, ils foulaient le sol de la principauté... — Otez vos lunettes, demanda-t-il au retour. Elles vous enlaidissent tellement ! Elle hésita, s'exécuta. — Je m'en doutais, murmura-t-il. La photo épinglée au mur de ma chambre que les deux inconnus m'ont remise, c'est vous ! Il expliqua son histoire. On lui avait donné cette photo comme celle d'une femme redoutable, par qui les jours de la jeune princesse Stéphanie étaient menacés... une femme à signaler. — On vous a dit des choses abominables, murmura-t-elle. Il éclata de rire : — Je sais qu'ils ont menti... ... Ainsi commence la passionnante histoire de la petite Princesse d'un jour...

N° 44 - La route dangereuse (Joseph-Louis Sanciaume)

12,00 €
A la pension Gaspardi, de Nice, Danielle attend, impatiente, cet engagement d'un impresario qui lui permettra enfin de faire valoir ses grands talents de musicienne. Enrico, le charmant camarade, qui est d'ailleurs amoureux d'elle, attend lui aussi. Mais voici que miss Brown, une autre pensionnaire, appelle à son chevet de mourante la douce Danielle. Elle lui confie deux enveloppes : l'une contient 25 billets de 10.000 francs (ils sont pour elle), l'autre un paquet de lettres qu'elle a mission de faire tenir au mystérieux M. Framon. Enrico, hélas ! s'emparera des lettres… Et Danielle ne pourra exécuter son serment. Rongée d'inquiétude, elle quitte Nice subrepticement et regagne Paris, pour échapper à ce fol amoureux. Un soir, au soir du concert où elle tient le piano, un automobiliste inconnu tente de l'enlever. Un jeune homme qui passait et l'agresseur en fuite. Et ce miraculeux sauveteur va devenir le chevalier servant de Danielle. Mais un jour, Danielle apprendra le vrai nom de Paul Brière. Et qu'il est lié, lui aussi, à cette dramatique histoire de lettres. Enrico est revenu… Mais Paul aussi reviendra. Et dans ce train d'Angers, qui semblait emporter Danielle vers l'oubli, surgira soudain la chère silhouette…

N° 1689 - Une femme unique (Philippe Jean)

4,15 €
Extrait : La nuit était douce. Une brise très légère venait de la mer, juste assez fraîche pour chasser la chaleur accumulée par le sol et les pierres de la villa durant toute une journée ensoleillée sous le ciel sans nuages, de la Côte d'Azur. Marie-Elise et Geneviève avaient mis, sur leurs épaules nues, l'une un châle, l'autre une veste de flanelle. Seule Nora gardait sa tenue de plage. …

N° 1659 - Coeur de pierre (Philippe Jean)

3,74 €
Extrait : Dans tout le village de Brauvoy, on ne voyait que deux lumières en dehors de l'immense clarté qui venait de la place du Marché. C'étaient deux petits lumignons jaunes et tristes : l'un à la ferme des Furet, l'autre dans la maisonnette des Digard. Tous les autres foyers étaient obscurs, car la foule des villageois s'était répandue ce soir-là dans les rues, sur la route, dans les cabarets avoisinant la place où avait lieu le bal. La jeunesse s'en donnait à coeur joie au son d'un orchestre infatigable, tandis que les marmots contemplaient cette agitation avec extase, les doigts dans le nez, ou se poursuivaient à grands cris parmi les couples qu'ils bousculaient. Les jeunes mères étaient assises sous les arbres du mail vaguement éclairés par les derniers reflets des lampes du bal ; elles serraient contre elles leurs enfants endormis, mais elles n'auraient pas voulu être exclues de la fête où, l'année précédente, nombre d'entre elles, encore légères, avaient dansé…

N° 1712 - Prisonnière de son destin (Philippe Jean)

4,50 €
Extrait : — Atelier Didier Dyon ? répéta la concierge. Septième, face. — Merci, madame… Munie du renseignement, Régine attaqua l'escalier, puis sonna… au premier étage. C'était ainsi qu'elle s'y prenait pour forcer le barrage : quand on fait du « porte à porte », le plus dur est de s'introduire dans l'immeuble : aussi relevait-elle dans l'annuaire  le nom d'un locataire qui servait de Sésame ouvre-toi vis-à-vis de la concierge ; et une fois dans la place, elle visitait, un à un, tous les appartements de la maison. Le « truc » n'est pas infaillible. Ainsi, ce matin, depuis que, descendue au métro Montparnasse, elle avait entamé, par en haut, la rue de Rennes, cela n'avait pas encore réussi une seule fois : ou le locataire-clé avait déménagé, ou il était mort, ou il venait de sortir, ou il était en voyage… ou c'était le concierge qui, comme le signalait un écriteau, était « dans l'escalier », et risquait, par conséquent, d'éventer le subterfuge et de chasser, honteusement celle qui cherchait à enfreindre l'interdiction (affichée partout) « aux représentants » et démonstrateurs de pénétrer dans l'immeuble ». Donc, Régine avait essuyé toute une série d'échecs avant d'être, enfin, en mesure de prendre contact avec d'éventuels clients…
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