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  • Auteurs: Linda Turner
  • Auteurs: Philippe Jean
Philly et le play-boy - Linda Turner - Harlequin Rouge passion N° 447

N° 447 - Philly et le play-boy (Linda Turner)

2,56 €
Morgan Stewart a tout pour lui : le charme, la fortune, et le pouvoir depuis qu'il occupe des fonctions de député. Redoutablement déterminé, il s'oppose au vote d'une loi de réévaluation des budgets attribués aux foyers pour sans-abris, et use de son influence et de sa force de séduction pour convaincre ses électeurs. Mais, Philly O'Neil, elle, ne s'y laisse pas prendre et défend bec et ongles la cause de tous les pauvres gens démunis qui affluent au foyer qu'elle dirige. Tout éloigne Philly de son play-boy de député : son éducation, sa façon de voir la vie, ses idéaux et ses ambitions. Mais de la haine à l'amour, et de l’ennemi à l'amant, la distance est-elle vraiment infranchissable ?
La fleur de la vengeance - Linda Turner - Harlequin Rouge passion N° 427

N° 427 - La fleur de la vengeance (Linda Turner)

2,15 €
— M’engagerez-vous, madame Mac MacDonald ? La voix de Sullivan Wayne ne dénotait aucune émotion. Dans ses yeux gris, Rose retrouvait la même détermination qu’autrefois, mais plus aucune trace de cette tendresse qui avait entouré leurs étreintes passionnées… Rien d’étonnant : Rose avait fini par épouser le pire ennemi de Sullivan ! Qu’est-ce qui poussait alors son premier amant à lui offrir aujourd’hui ses services de contremaître ? — Je tiens à préciser que je ne fais pas partie du contrat, monsieur Wayne…, déclara Rose qui dissimulait son trouble. Vous savez sans doute que l’homme qui me servait de contremaître a été renvoyé pour gestes déplacés. — Soyez tranquille, madame MacDonald, répondit Sullivan, étrangement calme. C’est vous la patronne, et vous déciderez de cela, comme du reste…
Une femme unique (Philippe Jean) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1689

N° 1689 - Une femme unique (Philippe Jean)

4,15 €
Extrait : La nuit était douce. Une brise très légère venait de la mer, juste assez fraîche pour chasser la chaleur accumulée par le sol et les pierres de la villa durant toute une journée ensoleillée sous le ciel sans nuages, de la Côte d'Azur. Marie-Elise et Geneviève avaient mis, sur leurs épaules nues, l'une un châle, l'autre une veste de flanelle. Seule Nora gardait sa tenue de plage. …
Coeur de pierre (Philippe Jean) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1659

N° 1659 - Coeur de pierre (Philippe Jean)

3,74 €
Extrait : Dans tout le village de Brauvoy, on ne voyait que deux lumières en dehors de l'immense clarté qui venait de la place du Marché. C'étaient deux petits lumignons jaunes et tristes : l'un à la ferme des Furet, l'autre dans la maisonnette des Digard. Tous les autres foyers étaient obscurs, car la foule des villageois s'était répandue ce soir-là dans les rues, sur la route, dans les cabarets avoisinant la place où avait lieu le bal. La jeunesse s'en donnait à coeur joie au son d'un orchestre infatigable, tandis que les marmots contemplaient cette agitation avec extase, les doigts dans le nez, ou se poursuivaient à grands cris parmi les couples qu'ils bousculaient. Les jeunes mères étaient assises sous les arbres du mail vaguement éclairés par les derniers reflets des lampes du bal ; elles serraient contre elles leurs enfants endormis, mais elles n'auraient pas voulu être exclues de la fête où, l'année précédente, nombre d'entre elles, encore légères, avaient dansé…
Prisonnière de son destin (Philippe Jean) - Le Petit Livre Ferenczi N° 1712

N° 1712 - Prisonnière de son destin (Philippe Jean)

4,50 €
Extrait : — Atelier Didier Dyon ? répéta la concierge. Septième, face. — Merci, madame… Munie du renseignement, Régine attaqua l'escalier, puis sonna… au premier étage. C'était ainsi qu'elle s'y prenait pour forcer le barrage : quand on fait du « porte à porte », le plus dur est de s'introduire dans l'immeuble : aussi relevait-elle dans l'annuaire  le nom d'un locataire qui servait de Sésame ouvre-toi vis-à-vis de la concierge ; et une fois dans la place, elle visitait, un à un, tous les appartements de la maison. Le « truc » n'est pas infaillible. Ainsi, ce matin, depuis que, descendue au métro Montparnasse, elle avait entamé, par en haut, la rue de Rennes, cela n'avait pas encore réussi une seule fois : ou le locataire-clé avait déménagé, ou il était mort, ou il venait de sortir, ou il était en voyage… ou c'était le concierge qui, comme le signalait un écriteau, était « dans l'escalier », et risquait, par conséquent, d'éventer le subterfuge et de chasser, honteusement celle qui cherchait à enfreindre l'interdiction (affichée partout) « aux représentants » et démonstrateurs de pénétrer dans l'immeuble ». Donc, Régine avait essuyé toute une série d'échecs avant d'être, enfin, en mesure de prendre contact avec d'éventuels clients…
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