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  • Auteurs: Meg Aulnay
  • Auteurs: Philippe Jean

N° 3249 - L'Étoile de l'Oregon d'après le roman de Meg Aulnay

3,75 €
Samantha, partie de son Irlande natale à la recherche de travail, parvient en Oregon, le pays des séquoias millénaires, un paradis ! Après quelques vicissitudes qui n'entament pas son courage, elle finit par trouver un emploi qui lui plait. Un jour qu'elle conduit d'une main ferme la carriole de ses patrons, un jeune homme abime la voiture en la doublant inconsidérément avec son élégant tilbury. Il ose de surcroît, l'odieux personnage ! se moquer insolemment de la jolie rousse qu'il vient d'envoyer au fossé ! C'est Stephen Hamilton, le plus important propriétaire de la contrée : il est fiancé à Carole, une jeune aristocrate, aussi riche et ravissante qu'elle est méprisante. Samantha, qui ne possède rien, ne se montrerait-elle pas raisonnable en épousant David, l'instituteur qui lui témoigne de tendres sentiments ? Mais qu'a affaire la raison avec l'amour ? Or la jeune fille est tombée amoureuse de son ennemi, qui se révèle il est vrai, malgré son incorrigible ironie, l'homme le plus généreux qui soit. Alors, l'Irlandaise décide soudain de devenir quelqu'un, de réussir matériellement, à force de ténacité, de labeur, de risques aussi… L'ETOILE DE L'OREGON, le passionnant roman de Meg Aulnay, vous dira si Samantha, en même temps que son pari, parviendra à gagner l'amour de celui qu'elle aime.

N° 1689 - Une femme unique (Philippe Jean)

4,15 €
Extrait : La nuit était douce. Une brise très légère venait de la mer, juste assez fraîche pour chasser la chaleur accumulée par le sol et les pierres de la villa durant toute une journée ensoleillée sous le ciel sans nuages, de la Côte d'Azur. Marie-Elise et Geneviève avaient mis, sur leurs épaules nues, l'une un châle, l'autre une veste de flanelle. Seule Nora gardait sa tenue de plage. …

N° 1659 - Coeur de pierre (Philippe Jean)

3,74 €
Extrait : Dans tout le village de Brauvoy, on ne voyait que deux lumières en dehors de l'immense clarté qui venait de la place du Marché. C'étaient deux petits lumignons jaunes et tristes : l'un à la ferme des Furet, l'autre dans la maisonnette des Digard. Tous les autres foyers étaient obscurs, car la foule des villageois s'était répandue ce soir-là dans les rues, sur la route, dans les cabarets avoisinant la place où avait lieu le bal. La jeunesse s'en donnait à coeur joie au son d'un orchestre infatigable, tandis que les marmots contemplaient cette agitation avec extase, les doigts dans le nez, ou se poursuivaient à grands cris parmi les couples qu'ils bousculaient. Les jeunes mères étaient assises sous les arbres du mail vaguement éclairés par les derniers reflets des lampes du bal ; elles serraient contre elles leurs enfants endormis, mais elles n'auraient pas voulu être exclues de la fête où, l'année précédente, nombre d'entre elles, encore légères, avaient dansé…

N° 1712 - Prisonnière de son destin (Philippe Jean)

4,50 €
Extrait : — Atelier Didier Dyon ? répéta la concierge. Septième, face. — Merci, madame… Munie du renseignement, Régine attaqua l'escalier, puis sonna… au premier étage. C'était ainsi qu'elle s'y prenait pour forcer le barrage : quand on fait du « porte à porte », le plus dur est de s'introduire dans l'immeuble : aussi relevait-elle dans l'annuaire  le nom d'un locataire qui servait de Sésame ouvre-toi vis-à-vis de la concierge ; et une fois dans la place, elle visitait, un à un, tous les appartements de la maison. Le « truc » n'est pas infaillible. Ainsi, ce matin, depuis que, descendue au métro Montparnasse, elle avait entamé, par en haut, la rue de Rennes, cela n'avait pas encore réussi une seule fois : ou le locataire-clé avait déménagé, ou il était mort, ou il venait de sortir, ou il était en voyage… ou c'était le concierge qui, comme le signalait un écriteau, était « dans l'escalier », et risquait, par conséquent, d'éventer le subterfuge et de chasser, honteusement celle qui cherchait à enfreindre l'interdiction (affichée partout) « aux représentants » et démonstrateurs de pénétrer dans l'immeuble ». Donc, Régine avait essuyé toute une série d'échecs avant d'être, enfin, en mesure de prendre contact avec d'éventuels clients…
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