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  • Auteurs: Philippe Jean
  • Auteurs: Pierre Pelot
  • Auteurs: Rona Randall
Sierra brûlante (Pierre Pelot) - Pocket Junior N° 450
  • Nouveau

Sierra brûlante (Pierre Pelot) - Pocket Junior N° 450

2,74 €
Qu'est-ce qui porte le plus loin un homme, le désir d'être libre ou celui de faire fortune ? Dans ce western romanesque, rien n'est jamais vraiment établi : ni la culpabilité de l'Indien qui vole un cheval pour sauver sa femme et son fils ni la motivation des cinq « loups » qui se lancent à sa poursuite : tous portent un masque que la « sierra brûlante » fera tomber. Cette édition propose le cahier Entracte, des pages pour en savoir plus.
L'homme du Fjord (Rona Randall) - BS Lecture 3067
  • Nouveau

N° 3067 - L'homme du Fjord d'après le roman de Rona Randall

3,75 €
Extrait : Cette lettre, parmi les papiers de son père, causa un choc à Tessa. Pourquoi James Pickard avait-il pris tant de soin à la ranger ? Certes, c'était un homme bien organisé qui classait méthodiquement les éléments qui pouvaient lui être utiles : notes pour ses conférences, émissions de radio, articles, ouvrages. Dans la vie du célèbre alpiniste, tout était ordonné comme dans l'école d'escalade qu'il dirigeait. Mais il n'avait pas l'habitude de conserver des lettres écrites d'un pays inconnu par une main inconnue… Pourtant la phrase, écrite sur une feuille blanche, s'imposait comme un défi : « Vous souvenez-vous du glacier du Jostedal ? » Sans un mot de plus, le message donnait l'impression pénible que suscitent les lettres anonymes. Tessa examina l'enveloppe : recouvrant à demi le timbre norvégien, le cachet de la poste était nettement imprimé. La lettre avait été postée à Vijne et la date était significative : dix jours avant la tapageuse publicité de la presse, deux jours avant le suicide de James Pickard !… Cette lettre était-elle la goutte d'eau qui avait acculé son père au désespoir ?…

N° 1689 - Une femme unique (Philippe Jean)

4,15 €
Extrait : La nuit était douce. Une brise très légère venait de la mer, juste assez fraîche pour chasser la chaleur accumulée par le sol et les pierres de la villa durant toute une journée ensoleillée sous le ciel sans nuages, de la Côte d'Azur. Marie-Elise et Geneviève avaient mis, sur leurs épaules nues, l'une un châle, l'autre une veste de flanelle. Seule Nora gardait sa tenue de plage. …

N° 1659 - Coeur de pierre (Philippe Jean)

3,74 €
Extrait : Dans tout le village de Brauvoy, on ne voyait que deux lumières en dehors de l'immense clarté qui venait de la place du Marché. C'étaient deux petits lumignons jaunes et tristes : l'un à la ferme des Furet, l'autre dans la maisonnette des Digard. Tous les autres foyers étaient obscurs, car la foule des villageois s'était répandue ce soir-là dans les rues, sur la route, dans les cabarets avoisinant la place où avait lieu le bal. La jeunesse s'en donnait à coeur joie au son d'un orchestre infatigable, tandis que les marmots contemplaient cette agitation avec extase, les doigts dans le nez, ou se poursuivaient à grands cris parmi les couples qu'ils bousculaient. Les jeunes mères étaient assises sous les arbres du mail vaguement éclairés par les derniers reflets des lampes du bal ; elles serraient contre elles leurs enfants endormis, mais elles n'auraient pas voulu être exclues de la fête où, l'année précédente, nombre d'entre elles, encore légères, avaient dansé…

N° 1712 - Prisonnière de son destin (Philippe Jean)

4,50 €
Extrait : — Atelier Didier Dyon ? répéta la concierge. Septième, face. — Merci, madame… Munie du renseignement, Régine attaqua l'escalier, puis sonna… au premier étage. C'était ainsi qu'elle s'y prenait pour forcer le barrage : quand on fait du « porte à porte », le plus dur est de s'introduire dans l'immeuble : aussi relevait-elle dans l'annuaire  le nom d'un locataire qui servait de Sésame ouvre-toi vis-à-vis de la concierge ; et une fois dans la place, elle visitait, un à un, tous les appartements de la maison. Le « truc » n'est pas infaillible. Ainsi, ce matin, depuis que, descendue au métro Montparnasse, elle avait entamé, par en haut, la rue de Rennes, cela n'avait pas encore réussi une seule fois : ou le locataire-clé avait déménagé, ou il était mort, ou il venait de sortir, ou il était en voyage… ou c'était le concierge qui, comme le signalait un écriteau, était « dans l'escalier », et risquait, par conséquent, d'éventer le subterfuge et de chasser, honteusement celle qui cherchait à enfreindre l'interdiction (affichée partout) « aux représentants » et démonstrateurs de pénétrer dans l'immeuble ». Donc, Régine avait essuyé toute une série d'échecs avant d'être, enfin, en mesure de prendre contact avec d'éventuels clients…
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