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Il y a 9 produits.

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  • Auteurs: Philippe Jean
  • Auteurs: Susie Morgenstern

La liste des fournitures (Susie Morgenstern)

3,50 €
Liste 1 : agenda, fiches bristol blanches quadrillées, feuillets mobiles A4 roses… Liste 2 : juste revenir à la rentrée prochaine avec ses affaires de l'an passé. Liste 3 : un pot de confiture de fruits cueillis toi-même et de fabrication maison, des galets de la plage ou du sable et des coquillages, des clapotis de la mer… Liste 4 : courage, efficacité, dévouement… Autant de listes de fournitures différentes, d'instituteurs différents. Autant de vies d'écoliers bouleversées par une simple liste ! Emma, Ugo, Farrida et Josselin n'imaginaient pas à quel point ! Un livre pour les enfants qui aiment déjà lire tout seuls.

Lettres d'amour de 0 à10 (Susie Morgenstern)

2,96 €
Ernest a dix ans. Dix ans de vide : sa mère est morte le jour de sa naissance et son père a disparu. Dix ans d'ennui : sa vie avec sa grand-mère, prénommée Précieuse, n'a rien de très exaltant : école, goûter, devoirs, soupe. Pas de téléphone, pas de télévision. Seule distraction : une mystérieuse lettre que le grand-père d'Ernest avait envoyée du front pendant la guerre, une lettre indéchiffrable. Ernest est bon élève, solitaire et taciturne, pour ne pas dire muet. Jusqu'au jour où Victoire de Montardent arrive dans sa classe et jette son dévolu sur lui. Car Ernest est beau, ce que les autres files de la classe avaient déjà remarqué…

Lettres d'amour de 0 à10 (Susie Morgenstern)

3,56 €
Ernest a dix ans. Dix ans de vide : sa mère est morte le jour de sa naissance et son père a disparu. Dix ans d'ennui : sa vie avec sa grand-mère, prénommée Précieuse, n'a rien de très exaltant : école, goûter, devoirs, soupe. Pas de téléphone, pas de télévision. Seule distraction : une mystérieuse lettre que le grand-père d'Ernest avait envoyée du front pendant la guerre, une lettre indéchiffrable. Ernest est bon élève, solitaire et taciturne, pour ne pas dire muet. Jusqu'au jour où Victoire de Montardent arrive dans sa classe et jette son dévolu sur lui. Car Ernest est beau, ce que les autres files de la classe avaient déjà remarqué…

L'orpheline dans un arbre (Susie Morgenstern)

3,56 €
« Décrivez la vie d'une famille californienne en trois cents mots » Avec un intitulé pareil, Clara-Camille Caramel avait peu de chance de gagner le concours d'écriture. La Californie, c'est loin, très loin de la Côte d'Azur. Et la vie de famille, elle ignore ce que c'est. Ses parents se sont tués en avion quand elle avait deux ans et demi, sa grand-mère est morte quatre ans plus tard. Mais l'écriture, c'est sa passion. L'imagination aussi. Et qu'imaginer, sinon ce qui vous manque ? Elle a gagné. Le gros lot consiste en un séjour dans une famille californienne. Une vraie. Avec un jeune homme charmant dedans. Il s'appelle Jeremiah et il écrit des lettres drôles, enjôleuses et poétiques à Clara-Camille. Le problème, c'est qu'arrivée à San Francisco elle tombe sur un Jeremiah de soixante-quinze ans qui vit seul avec un chien géant et fabrique des maisons dans les arbres. Clara-Camille a quinze jours pour se résigner. Mais si elle en profitait pour découvrir bien plus qu'une famille ?

Mon royaume est un cheval : Recueil de nouvelles

3,25 €
Jouer le cheval, à l’occasion d’une représentation théâtrale ? C’est une chance d’être seul en scène, ou presque, pour la première fois avec l’élue de son coeur. Ne pas vouloir se séparer de son cheval ? C’est marquer son originalité, occuper sa place et, bientôt, transmettre à quelqu’un qui le mérite son bien le plus précieux. Monter à cheval, lentement mais sûrement ? C’est, pour un escargot de conte, la seule façon de grandir, de voyager loin et de se faire un ami, un vrai, à la vie, à la mort. Voir passer, sur une plage, un cheval rebelle au galop ? C’est le déclic qui manquait à une adolescente pour décider d’être elle-même et d’affirmer son goût pour les choses absurdes et merveilleuses, comme les versions latines. Pour tous, un cheval, c’est plus qu’un cheval. C’est la vie ! De 8 à 11 ans.

Terminale ! Tout le monde descend (Susie et Aliyah Morgenstern)

2,48 €
Je regardais vivre ma fille avec perplexité. Il me semblait que notre silence devenait trop sombre, compliqué, pénible et dangereux. Alors j'ai proposé un duel. Nous avons choisi nos armes : le papier, le crayon - un affrontement muet, mais plein de bruit. Ce que nous n'arrivions pas à nous dire à voix haute est sorti plus facilement sur la feuille en nous servant de l'humour comme garde-fou. Par une suite de petits événements, de querelles sans grande continuité, sans véritable logique ni raison se déroule le drame du couple mère-fille. Peut-être avons-nous appris par ce jeu d'écriture à vivre notre amour ? De 11 à 13 ans.

N° 1689 - Une femme unique (Philippe Jean)

4,15 €
Extrait : La nuit était douce. Une brise très légère venait de la mer, juste assez fraîche pour chasser la chaleur accumulée par le sol et les pierres de la villa durant toute une journée ensoleillée sous le ciel sans nuages, de la Côte d'Azur. Marie-Elise et Geneviève avaient mis, sur leurs épaules nues, l'une un châle, l'autre une veste de flanelle. Seule Nora gardait sa tenue de plage. …

N° 1659 - Coeur de pierre (Philippe Jean)

3,74 €
Extrait : Dans tout le village de Brauvoy, on ne voyait que deux lumières en dehors de l'immense clarté qui venait de la place du Marché. C'étaient deux petits lumignons jaunes et tristes : l'un à la ferme des Furet, l'autre dans la maisonnette des Digard. Tous les autres foyers étaient obscurs, car la foule des villageois s'était répandue ce soir-là dans les rues, sur la route, dans les cabarets avoisinant la place où avait lieu le bal. La jeunesse s'en donnait à coeur joie au son d'un orchestre infatigable, tandis que les marmots contemplaient cette agitation avec extase, les doigts dans le nez, ou se poursuivaient à grands cris parmi les couples qu'ils bousculaient. Les jeunes mères étaient assises sous les arbres du mail vaguement éclairés par les derniers reflets des lampes du bal ; elles serraient contre elles leurs enfants endormis, mais elles n'auraient pas voulu être exclues de la fête où, l'année précédente, nombre d'entre elles, encore légères, avaient dansé…

N° 1712 - Prisonnière de son destin (Philippe Jean)

4,50 €
Extrait : — Atelier Didier Dyon ? répéta la concierge. Septième, face. — Merci, madame… Munie du renseignement, Régine attaqua l'escalier, puis sonna… au premier étage. C'était ainsi qu'elle s'y prenait pour forcer le barrage : quand on fait du « porte à porte », le plus dur est de s'introduire dans l'immeuble : aussi relevait-elle dans l'annuaire  le nom d'un locataire qui servait de Sésame ouvre-toi vis-à-vis de la concierge ; et une fois dans la place, elle visitait, un à un, tous les appartements de la maison. Le « truc » n'est pas infaillible. Ainsi, ce matin, depuis que, descendue au métro Montparnasse, elle avait entamé, par en haut, la rue de Rennes, cela n'avait pas encore réussi une seule fois : ou le locataire-clé avait déménagé, ou il était mort, ou il venait de sortir, ou il était en voyage… ou c'était le concierge qui, comme le signalait un écriteau, était « dans l'escalier », et risquait, par conséquent, d'éventer le subterfuge et de chasser, honteusement celle qui cherchait à enfreindre l'interdiction (affichée partout) « aux représentants » et démonstrateurs de pénétrer dans l'immeuble ». Donc, Régine avait essuyé toute une série d'échecs avant d'être, enfin, en mesure de prendre contact avec d'éventuels clients…
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