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  • Auteurs: Philippe Jean
  • Auteurs: Thérésa Charles

N° 1428 - Un choix déchirant (Theresa Charles)

2,56 €
Rosamund est jolie et intelligente, elle a vingt ans, mais son coeur est encore celui d'une enfant qui ne s'est pas consolée de la mort de son père. Le trop séduisant Norrey l'a déçue et c'est à la tendresse protectrice de Hugo qu'elle va répondre. Elle est prête à épouser cet homme grave et bon, resté veuf avec deux « petites filles » qu'il adore. Invitée dans la famille de Hugo, Rosamund découvre avec effroi deux adolescentes... qui lui sont farouchement hostiles. Et que doit-elle penser de Lincoln Fernleigh, le déconcertant neveu de Hugo ? Tantôt charmeur, tantôt méprisant, quel jeu joue-t-il avec Rosamund ?

N° 3223 - Les rebelles de Saint-Chad d'après le roman de Thérésa Charles

3,75 €
A l'hôpital de Saint-Chad, dans le sud-ouest de l'Angleterre, Inez Raine est responsable du petit monde turbulent des infirmières de la maternité. Billie, la fille de vieux amis de ses parents, vient justement d'être engagée. Un jeune chirurgien d'avenir, Sean O'Halloran, l'y a précédée. Billie a connu ce rebelle idéaliste et passionné au Canada, où ils ont fait tous les deux leurs études. Ils se sont aimés à la folie. Pourquoi tient-il donc maintenant à s'éloigner d'elle ? Billie est déchirée entre l'amour de Sean et la compassion pour le docteur Denye, dont la femme vient de mourir tragiquement. Elle l'est tout autant devant les misères qu'elle voit à la maternité : une jeune femme étrange surtout l'intrigue : Léna Hickory, une mère célibataire qu'un mystérieux inconnu a tenté d'empoisonner. Le frère ou l'épouse jalouse ? Mais rien ni personne ne peut demeurer longtemps caché dans une petite bourgade. Des liens invisibles relient les êtes entre eux, fût-ce à leur insu. Ce sont ces jeux apparemment hasardeux de la vie que décrit Theresa Charles dans LES REBELLES DE SAINT-CHAD avec son talent riche de psychologie et de réalisme profondément humain.

N° 1689 - Une femme unique (Philippe Jean)

4,15 €
Extrait : La nuit était douce. Une brise très légère venait de la mer, juste assez fraîche pour chasser la chaleur accumulée par le sol et les pierres de la villa durant toute une journée ensoleillée sous le ciel sans nuages, de la Côte d'Azur. Marie-Elise et Geneviève avaient mis, sur leurs épaules nues, l'une un châle, l'autre une veste de flanelle. Seule Nora gardait sa tenue de plage. …

N° 1659 - Coeur de pierre (Philippe Jean)

3,74 €
Extrait : Dans tout le village de Brauvoy, on ne voyait que deux lumières en dehors de l'immense clarté qui venait de la place du Marché. C'étaient deux petits lumignons jaunes et tristes : l'un à la ferme des Furet, l'autre dans la maisonnette des Digard. Tous les autres foyers étaient obscurs, car la foule des villageois s'était répandue ce soir-là dans les rues, sur la route, dans les cabarets avoisinant la place où avait lieu le bal. La jeunesse s'en donnait à coeur joie au son d'un orchestre infatigable, tandis que les marmots contemplaient cette agitation avec extase, les doigts dans le nez, ou se poursuivaient à grands cris parmi les couples qu'ils bousculaient. Les jeunes mères étaient assises sous les arbres du mail vaguement éclairés par les derniers reflets des lampes du bal ; elles serraient contre elles leurs enfants endormis, mais elles n'auraient pas voulu être exclues de la fête où, l'année précédente, nombre d'entre elles, encore légères, avaient dansé…

N° 1712 - Prisonnière de son destin (Philippe Jean)

4,50 €
Extrait : — Atelier Didier Dyon ? répéta la concierge. Septième, face. — Merci, madame… Munie du renseignement, Régine attaqua l'escalier, puis sonna… au premier étage. C'était ainsi qu'elle s'y prenait pour forcer le barrage : quand on fait du « porte à porte », le plus dur est de s'introduire dans l'immeuble : aussi relevait-elle dans l'annuaire  le nom d'un locataire qui servait de Sésame ouvre-toi vis-à-vis de la concierge ; et une fois dans la place, elle visitait, un à un, tous les appartements de la maison. Le « truc » n'est pas infaillible. Ainsi, ce matin, depuis que, descendue au métro Montparnasse, elle avait entamé, par en haut, la rue de Rennes, cela n'avait pas encore réussi une seule fois : ou le locataire-clé avait déménagé, ou il était mort, ou il venait de sortir, ou il était en voyage… ou c'était le concierge qui, comme le signalait un écriteau, était « dans l'escalier », et risquait, par conséquent, d'éventer le subterfuge et de chasser, honteusement celle qui cherchait à enfreindre l'interdiction (affichée partout) « aux représentants » et démonstrateurs de pénétrer dans l'immeuble ». Donc, Régine avait essuyé toute une série d'échecs avant d'être, enfin, en mesure de prendre contact avec d'éventuels clients…
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