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Il y a 8 produits.

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  • Auteurs: Maurice Métral
  • Auteurs: Philippe Jean
  • Auteurs: Wendy Etherington

N° 3159 - Le visage perdu d'après le roman de Maurice Métral

3,75 €
Extrait : Nadia allait-elle faire une bêtise ? Pourquoi répondre à ce rendez-vous insolite, entre la campagne et la forêt, dans un chalet isolé, où seul un jardinier venait entretenir le parc et aérer les pièces aménagées sur deux étages ? Une maison étrange, mi-bois, mi-pierre, surmontée d'un clocheton. On savait certes à qui la demeure appartenait : une famille anglaise, les Cummings…

N° 3121 - L'aube rouge d'après le roman de Maurice Métral

3,75 €
Elle voulait un enfant de lui, au risque de sacrifier sa propre vie… Elle désirait une victoire à la mesure du sentiment qui la dévorait… B.S. vous propose un roman de Maurice Métral, L'AUBE ROUGE, un récit qui vous bouleversera, avec, comme une confrontation dans la lumière valaisanne, la fatalité et l'amour.

N° 2963 - Le refuge de la tendresse (Maurice Métral) - Les jeudis de Julie (Georges-Jean Arnaud)

4,50 €
Encarts BS Lecture 2963 à détacher Le refuge de la tendresse  d'après le roman de Maurice Métral Deux guides valaisans, Jean-Philippe et Helga, alternent la solitude amère et les retrouvailles heureuses. Une vie sans histoire jusqu'au moment où Jean-Philippe est victime d'un grave accident de montagne. Pendant qu'on le transporte par hélicoptère dans un hôpital, Helga donne la vie à son premier enfant. Eprouvée par la douleur physique, la jeune maman l'est davantage par la souffrance morale : Jean-Philippe pourra-t-il exercer de nouveau son métier, vaincra la montagne ? Entre-temps, comme il faut bien vivre. Helga prend la place de son mari… Jean-Philippe, comme un enfant, doit tout recommencer, refaire un pas, un autre pas, deux pas. L'amour d'une femme, la tendresse et le dévouement de sa mère, suffiront-ils pour « ressusciter un homme » ? Les jeudis de Julie  d'après le roman de Georges-Jean Arnaud Extrait : Marie Lacaze travaillait à Sigean depuis la mort de son mari et ne pouvait s'occuper de sa petite fille Julie comme elle l'aurait souhaité. L'enfant devait rentrer seule dans leur vieille maison isolée au bord de l'étang, préparer son goûter, faire ses devoirs avec l'entière confiance de sa mère. La première fois où Marie prit conscience que sa fille avait un camarade fut un jeudi soir…

N° 1689 - Une femme unique (Philippe Jean)

4,15 €
Extrait : La nuit était douce. Une brise très légère venait de la mer, juste assez fraîche pour chasser la chaleur accumulée par le sol et les pierres de la villa durant toute une journée ensoleillée sous le ciel sans nuages, de la Côte d'Azur. Marie-Elise et Geneviève avaient mis, sur leurs épaules nues, l'une un châle, l'autre une veste de flanelle. Seule Nora gardait sa tenue de plage. …

N° 1659 - Coeur de pierre (Philippe Jean)

3,74 €
Extrait : Dans tout le village de Brauvoy, on ne voyait que deux lumières en dehors de l'immense clarté qui venait de la place du Marché. C'étaient deux petits lumignons jaunes et tristes : l'un à la ferme des Furet, l'autre dans la maisonnette des Digard. Tous les autres foyers étaient obscurs, car la foule des villageois s'était répandue ce soir-là dans les rues, sur la route, dans les cabarets avoisinant la place où avait lieu le bal. La jeunesse s'en donnait à coeur joie au son d'un orchestre infatigable, tandis que les marmots contemplaient cette agitation avec extase, les doigts dans le nez, ou se poursuivaient à grands cris parmi les couples qu'ils bousculaient. Les jeunes mères étaient assises sous les arbres du mail vaguement éclairés par les derniers reflets des lampes du bal ; elles serraient contre elles leurs enfants endormis, mais elles n'auraient pas voulu être exclues de la fête où, l'année précédente, nombre d'entre elles, encore légères, avaient dansé…

N° 1712 - Prisonnière de son destin (Philippe Jean)

4,50 €
Extrait : — Atelier Didier Dyon ? répéta la concierge. Septième, face. — Merci, madame… Munie du renseignement, Régine attaqua l'escalier, puis sonna… au premier étage. C'était ainsi qu'elle s'y prenait pour forcer le barrage : quand on fait du « porte à porte », le plus dur est de s'introduire dans l'immeuble : aussi relevait-elle dans l'annuaire  le nom d'un locataire qui servait de Sésame ouvre-toi vis-à-vis de la concierge ; et une fois dans la place, elle visitait, un à un, tous les appartements de la maison. Le « truc » n'est pas infaillible. Ainsi, ce matin, depuis que, descendue au métro Montparnasse, elle avait entamé, par en haut, la rue de Rennes, cela n'avait pas encore réussi une seule fois : ou le locataire-clé avait déménagé, ou il était mort, ou il venait de sortir, ou il était en voyage… ou c'était le concierge qui, comme le signalait un écriteau, était « dans l'escalier », et risquait, par conséquent, d'éventer le subterfuge et de chasser, honteusement celle qui cherchait à enfreindre l'interdiction (affichée partout) « aux représentants » et démonstrateurs de pénétrer dans l'immeuble ». Donc, Régine avait essuyé toute une série d'échecs avant d'être, enfin, en mesure de prendre contact avec d'éventuels clients…

N° 1334 - Pour une nuit seulement ? (Wendy Etherington)

2,15 €
Si Anthony ne s’était pas trompé de lit un soir, s’il n’avait pas atterri dans le sien, jamais Francesca n’aurait compris combien elle était attirée par le garçon à la silhouette athlétique et au sourire pétillant qu’elle connaît… depuis l’école primaire ! Une situation d’autant plus embarrassante que cette attraction n’est pas réciproque. Du moins le pense-t-il… jusqu’au moment où elle lit, dans le regard d’Anthony, cette lueur ardente qui ne trompe pas. Un désir passionné qui la bouleverse, car jamais il n’a eu un geste qui aurait pu le lui faire deviner. Doit-elle faire le premier pas et risquer de gâcher vingt ans d’une belle amitié ? Ou tenir compte de ses scrupules et regretter toute sa vie l’occasion manquée d’avoir découvert l’amour entre ses bras ?
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