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  • Auteurs: Camille Arnold
  • Auteurs: Phyllis Halldorson

N° 1676 - La clause secrète (Camille Arnold)

2,92 €
Extrait : Jacqueline repoussa lentement le tiroir du classeur dont le carton vert était déchiré, après y avoir rangé la traite des établissements Phalippou et Fils… Elle était lasse. Non pas lasse de trop travailler — son emploi de dactylo-facturière chez Fradet , « couverture, plomberie, sanitaire », n'était pas harassant ! — mais, au contraire, de faire un travail monotone et ennuyeux auquel elle ne parvenait pas à s'intéresser. Tandis qu'elle cherchait dans une boîte déglinguée un morceau de sparadrap pour arranger tant bien que mal le tiroir défaillant, elle regardait du coin de l'oeil, avec une sorte d'envie, le comptable, M. Plumet…

3 Romans d'amour (Collectif)

2,55 €
Captifs de l’amour (Sally Heywood) Dès son arrivée à Tago Mago, une île sauvage dont elle vient d’hériter, Sally tombe sous le charme de ce lieu magique situé au large de Malaga. D’autant qu’en chemin, elle a fait la connaissance du beau et séduisant Paul Elliot, qui a ravi son coeur en lui faisant passer la plus belle nuit d’amour qu’elle ait jamais connu. Quelle n’est donc pas sa surprise lorsqu’elle découvre que le bel apollon dont elle est tombée amoureuse n’est autre que celui qui possède la moitié de l’île avec elle… Un papa au-dessus de tout soupçon (Phyllis Halldorson) Fort et doux. Tendre et viril. Papa gâteau et homme d’affaire brillant. Jonathan incarnait à la perfection l’idéal masculin de Chloé. Seulement voilà : l’échec de sa première union avait profondément marqué Jonathan, et le souvenir de son ex-épouse, mystérieusement disparue, le tourmentait encore. Engagée chez lui comme gouvernante pour s’occuper de Candace, seize ans, et de Patty, trois ans, Chloé allait tout mettre en œuvre pour redonner l’envie d’aimer à cet homme si séduisant. Il fallait qu’elle réussisse à tout prix, sinon, elle devrait dire adieu à ses rêves d’amoureuse… Célibataire, riche et sexy (Mary Anne Wilson) Tandis qu’il sortait nu d’un bain de mer, à minuit, Connor McKay entendit un bruissement derrière les cocotiers qui bordaient la plage. Il serra les poings de colère : il n’y avait tout de même pas encore une de ces hystériques folles de lui, de son corps et surtout de sa fortune qui le harcelaient depuis qu’il avait été élu Meilleur Parti de l’année ! C’était justement pour ne pas devenir totalement paranoïaque qu’il s’était réfugié incognito dans cet endroit paradisiaque des Caraïbes. Alors cette jeune effrontée allait voir de quel bois il se chauffait…

N° 1704 - Au bord de l'abîme (Camille Arnold)

3,74 €
Extrait : Gustave Herbelot reposa le vase de Sèvres dont, machinalement, il avait regardé la marque. On aurait dit qu'il faisait, sans y songer, l'inventaire de ce qu'avait laissé, en mourant, Suzanne Teyssière. De tous les bibelots qui ornaient ce salon, le plus ravissant était sans conteste Odile devant qui Gustave vint se planter, les mains aux poches : — Alors, petite ? Nous sommes d'accord ? La jeune fille leva vers lui un regard craintif : — Il le faut bien, tonton. Elle n'était pas sa nièce, mais celle de sa femme, Fernande, qui était morte deux ans plus tôt. Décidément, on ne vivait pas vieux, chez les Guitton : les deux soeurs, Fernande et Suzanne, avaient été orphelines de bonne heure. Puis Fernande était morte à trente-huit ans et voici que Suzanne venait à son tour d'être emportée en quelques jours par une angine de poitrine. Il restait à Gustave, en tout de sa belle famille, cette nièce de dix-sept ans dont il avait été désigné le tuteur…

N° 1567 - L'inutile sacrifice (Camille Arnold)

3,05 €
Extrait : Chaque fois que Madeleine entend l'ascenseur se mettre en marche les aiguilles de son tricot s'immobilisent et elle suspend presque son souffle pour tendre l'oreille. Est-ce lui, cette fois ? Non, l'arrêt se fait à un autre étage... et elle en est, à la fois, déçue et contente : déçue, parce qu'elle languit que Claude soit rentrée... et contente, parce qu'elle pourra faire encore quelques « rangs » de plus à son pull-over. Comment sera-t-il ce soir ? Ne sera-t-il pas trop fatigué par le métro et ses bousculades aux heures de « pointe », ses innombrables escaliers de correspondance ? Ne sera-t-il pas trop énervé par les leçons données à des aspirantes-pianistes qui n'ont pas la moindre disposition pour la musique mais qui, avant de savoir faire une gamme, sont impatientes de pouvoir jouer Tristesse de Chopin à leur première réception ? Ne sera-t-il pas trop démoralisé par une entrevue avec quelque directeur de théâtre ou quelque éditeur qui, après lui avoir prodigué de grandes louanges pour ses oeuvres, se sera répandu en soupirs pour se plaindre de la crise, des frais chaque jour plus lourds qui l'obligent à « ne miser que sur des noms connus du public »…
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