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  • Auteurs: Netty Delance
  • Auteurs: Phyllis Halldorson

3 Romans d'amour (Collectif)

2,55 €
Captifs de l’amour (Sally Heywood) Dès son arrivée à Tago Mago, une île sauvage dont elle vient d’hériter, Sally tombe sous le charme de ce lieu magique situé au large de Malaga. D’autant qu’en chemin, elle a fait la connaissance du beau et séduisant Paul Elliot, qui a ravi son coeur en lui faisant passer la plus belle nuit d’amour qu’elle ait jamais connu. Quelle n’est donc pas sa surprise lorsqu’elle découvre que le bel apollon dont elle est tombée amoureuse n’est autre que celui qui possède la moitié de l’île avec elle… Un papa au-dessus de tout soupçon (Phyllis Halldorson) Fort et doux. Tendre et viril. Papa gâteau et homme d’affaire brillant. Jonathan incarnait à la perfection l’idéal masculin de Chloé. Seulement voilà : l’échec de sa première union avait profondément marqué Jonathan, et le souvenir de son ex-épouse, mystérieusement disparue, le tourmentait encore. Engagée chez lui comme gouvernante pour s’occuper de Candace, seize ans, et de Patty, trois ans, Chloé allait tout mettre en œuvre pour redonner l’envie d’aimer à cet homme si séduisant. Il fallait qu’elle réussisse à tout prix, sinon, elle devrait dire adieu à ses rêves d’amoureuse… Célibataire, riche et sexy (Mary Anne Wilson) Tandis qu’il sortait nu d’un bain de mer, à minuit, Connor McKay entendit un bruissement derrière les cocotiers qui bordaient la plage. Il serra les poings de colère : il n’y avait tout de même pas encore une de ces hystériques folles de lui, de son corps et surtout de sa fortune qui le harcelaient depuis qu’il avait été élu Meilleur Parti de l’année ! C’était justement pour ne pas devenir totalement paranoïaque qu’il s’était réfugié incognito dans cet endroit paradisiaque des Caraïbes. Alors cette jeune effrontée allait voir de quel bois il se chauffait…

N° 1558 - Vengeance posthume (Netty Delance)

3,05 €
Extrait : Antonio Tempico s'approcha de la fenêtre, se pencha sur le jardin, d'où montait le rire clair de Madalena. Madalena riait, Madalena était heureuse ! Il n'en fallait pas plus pour le remplir d'une profonde joie. Depuis dix ans, depuis la mort de sa femme, il ne vivait que pour sa fille, sans autre but que la combler, la choyer, lui faire une existence douce. Il travaillait, il gagnait de l'argent, beaucoup d'argent… pour elle. Et, s'il avait de l'ambition, c'était encore et uniquement pour elle. Il s'était promis que, lorsqu'elle aurait dix-huit ans, elle serait une des jeunes filles les plus richement dotées du pays. Il avait eu le courage, alors qu'elle n'était âgée que de huit ans, de s'en séparer, de la confier à une nourrice, et de s'enfoncer dans le fin fond du Mexique pour essayer d'y faire fortune. Plusieurs années durant, il avait mené la vie rude des prospecteurs de pétrole. La chance avait fini par lui sourire. Il se hâta de vendre le terrain pétrolifère qu'il avait découvert et vint s'installer dans une des régions tempérées — terras templados — du pays, sur les contreforts de la Sierra Madre , face au golfe de la Californie…

N° 1710 - Esclave du désir (Netty Delance)

3,74 €
Extrait : D'un même mouvement, tous les pensionnaires déjà attablés inclinèrent la tête avec un rapide coup d'oeil vers la porte. L'homme à qui s'adressait ce salut collectif — en réponse au sien — se désintéressa d'ailleurs immédiatement de l'assistance et gagna à grands pas la table qui lui était réservée. La pension de famille de Mlle Vertuchon comptait deux genres de clientèle : celle qui prenait ses repas à la table d'hôte et la clientèle plus restreinte mais privilégiée qu'on servait par petites tables. A vrai dire, les menus et les rations étaient les mêmes, et la très sensible différence de prix n'était pas justifiés par le blanchissage du linge — on servait sur des nappes de papier. C'était donc, tout simplement, une sorte de taxe supplémentaire imposée aux quelques individualistes qui préféraient la solitude ou l'intimité à la conversation générale, et leurs aises au coude-à-coude… Yvonne, la grosse servante dont les vingt ans opulents se passaient — à tort ! — de soutien-gorge, appelait ironiquement ces délicats les « serviettes » par opposition aux « torchons » qui constituaient le gros des pensionnaires…

N° 1672 - L'impossible vengeance (Netty Delance)

3,74 €
Extrait : — Je t'assure, dit Simone en riant, que nous sommes venues par là !... Claudine haussa les épaules sans cacher sa mauvaise humeur : — Avec toi, on a toujours des avatars de ce genre !... Il était si simple, trop simple, sans doute, de rester avec les autres, devant la terasse... Mais non, il a fallu aller visiter le parc !... La prochaine fois, je te laisserai aller seule. Au lieu de se fâcher, Simone pouffait. Elle était aussi « parigote » et fille des faubourgs, avec son petit nez en l'air et son accent, que Claudine était racée, distinguée, d'une dignité un peu hautaine d'ailleurs. Et leurs caractères étaient tels que le laissait deviner leur aspect respectif. Belle et dominatrice, Claudine avait, dès son entrée dans la maison Jean-Jacques Flath, subjugué sa camarade de travail dont le coeur sensible ne demandait qu'à se dévouer…
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